Œuvres de Philippe Desportes (éd. 1858)

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Texte établi par Alfred Michiels, Adolphe Delahays (p. 2).



Diane. Premières Amours[modifier]

Livre I[modifier]

Sonnet I : « Je vous offre ces vers qu’Amour m’a fait escrire » page 13
Sonnet II : « Le penser qui m’enchante et qui, le plus souvent » 14
Sonnet III : « Je me laisse brûler d’une flamme couverte » 14
Sonnet IV : « Le jour que je fus né, l’impitoyable archer » 14
Sonnet V : « Voicy du gay printans l’heureux advenement » 15
Sonnet VI : « Ô grand démon volant, arreste la meurtriere » 15
Sonnet VII : « Ô lict ! s’il est ainsi que tu soit inventé » 15
Sonnet VIII : « Si la foy plus certaine en une ame non feinte » 16
Sonnet IX : « Dès le jour que mon ame, amoureuse insensée » 16
Sonnet X : « Je suis chargé d'un mal qui sans fin me travaille » 17
Sonnet XI : « Du bel œil de Diane est ma flamme empruntée » 17
Sonnet XII : « Vallon, ce Dieu tyran, qui me fait endurer » 17
Sonnet XIII : « Durant les grand’s chaleurs, j’ai vu cent mille fois » 18
Sonnet XIV : « Las ! qui languit jamais en si cruel martire » 18
Sonnet XV : « Un jour l’aveugle Amour, Diane et ma maistresse » 19
Sonnet XVI : « Ayant (brûlé d’Amour) gemi, crié, pleuré » 19
Sonnet XVII : « Je le sçay trop, qu’il ne faut que j’espere » 19
Sonnet XVIII : « Ny les dédains de son jeune courage » 20
Sonnet XIX : « Las ! que me sert de voir ces belles plaines » 20
Sonnet XX : « L’aspre fureur de mon mal vehemente » 21
Chanson : « Ceux qui peignent Amour sans yeux » 21
Sonnet XXI : « On ne voit rien qui soit si solitaire » 22
Sonnet XXII : « Eloignant vos beautés, je vous laisse en ma place » 22
Sonnet XXIII : « Or que mon beau soleil loin de moy se retire » 23
Sonnet XXIV : « Pour estre absent du bel œil qui me tue » 23
Sonnet XXV : « Lors que le trait par vos yeux decoché » 23
Sonnet XXVI : « Mon Dieu ! mon Dieu! que j’aime ma deesse » 24
Sonnet XXVII : « Elle pleuroit, tout paille de crainte » 24
Sonnet XXVIII : « Je ne me plains de vostre cruauté » 25
Sonnet XXIX : « Si c’est aimer que porter bas la vue » 25
Sonnet XXX : « Las ! que me sert, quand la douleur me blesse » 25
Sonnet XXXI : « Je le confesse, Amour, je te suis redevable » 26
Sonnet XXXII : « Marchands, qui recherchez tout le rivage more » 26
Sonnet XXXIII : « Si tost qu’au plus matin ma Diane s’eveille » 26
Sonnet XXXIV : « Celuy que l’Amour range à son commandement » 27
Sonnet XXXV : « Par vos graces, madame, et par le dur martire » 27
Sonnet XXXVI : « Pour me recompenser de tant de passion » 28
Sonnet XXXVII : « Amour, quand fus-tu né ? Ce fut lors que la terre » 28
Sonnet XXXVIII : « Celle a qui j'ay sacré ces fleurs de ma jeunesse » 28
Sonnet XXXIX : « Doncques sera-t-il vray que l'ennuy qui me ronge » 29
Sonnet XL : « Puis-je pas à bon droit me nommer miserable » 29
Sonnet XLI : « S’il est vray que le ciel ait sa course eternelle » 30
Chanson : « Helas ! tyran plein de rigeur » 30
Sonnet XLII : « Or que bien loin de vous je languys soucieux » 30
Sonnet XLIII : « Solitaire et pensif, dans un bois écarté » 31
Sonnet XLIV : « Ô songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain » 31
Sonnet XLV : « Je me travaille assez pour ne faire apparoir » 31
Sonnet XLVI : « Quand j’approche de vous, et que je prends l’audace » 32
Sonnet XLVII : « Malheureux fut le jour, le mois et la saison » 32
Sonnet XLVIII : « Les premiers jours qu’Amour range sous sa puissance » 33
Sonnet XLIX : « Ces eaux qui, sans cesser, coulent dessus ma face » 33
Sonnet L : « Helas ! de plus en plus, le malheur qui m’outrave » 33
Sonnet LI : « Heureux anneau de ma belle inhumaine » 34
Sonnet LII : « Quand la fiere beauté qu’uniquement j’admire » 34
Sonnet LIII : « Je recherche à toute heure, avec la souvenance » 34
Sonnet LIV : « Je te l’avois bien dit, pauvre cœur desolé » 35
Sonnet LV : « Amour brûle mon cœur d’une si belle flamme » 35
Sonnet LVI : « Si la pitié trouve en vous quelque place » 36
Sonnet LVII : « Si j’aime jamais plus, pour vivre mal-contant » 36
Sonnet LVIII : « J’ai long-tans voyagé, courant tousjours fortune » 36
Sonnet LIX : « Puis que je fay rien en vous obeïssant » 37
Sonnet LX : « Je suis repris, helas ! je suis repris » 37
Sonnet LXI : « Madame, apres la mort, qui les beautez efface » 38
Sonnet LXII : « Las ! on dit que l’espoir nourrit l’affection » 38
Sonnet LXIII : « Amour a mis mon cœur comme un rocher à l’onde » 38
Sonnet LXIV : « Comme un pauvre malade en la couche arresté » 39
Sonnet LXV : « Si ce n’est qu’amitié, c’est la plus enflamée » 39
Sonnet LXVI : « J’ay par long-tans, comme amour m’affolloit » 39
Sonnet LXVII : « J’accompare ma dame au serpent furieux » 40
Sonnet LXVIII : « Ma nef passe au destroit d’une mer courroucée » 40
Plainte : « Helas ! je meurs en presence de celle » 41
Complainte : « Depuis l’aube du jour, je n’ay point eu de cesse » 42
Sonnet LXIX : « Puis qu’on veut que l’image en mon cœur si bien peinte » 44
Dialogue : « Amour, ame des cœurs, esprit des beaux espris » 44
Plainte : « Sus ! sus ! mon lut, d’un accort pitoyable » 44
Dialogue : « Amour, ame des cœurs, esprit des beaux espris » 46
Complainte : « Puis que le ciel cruel, trop ferme en mes malheurs » 47
Complainte : « Or que je suis absent des beaux yeux de ma dame » 48
Chant d’amour : « Puis que je suis épris d’une beauté divine » 50
Procez contre Amour : « Chargé du desespoir, qui trouble ma pensée » 53
Chanson : « Helas ! que me faut-il faire » 57
Complainte : « Je veux maudire Amour, dieu de sang et de flame » 57
Chanson : « L’Amour qui loge en ma poitrine » 59
Plainte : « Quand je pense aux plaisirs qu’on reçoit en aimant » 60
Contr’Amour : « Ce malheureux Amour, ce tyran plein de rage » 61
Rymes tierces : « Si jamais plus ma liberté j’engage » 65
Sonnet LXIX : « Puis que par ton secours mon braiser est estaint » 66

Livre II[modifier]

Sonnet I : « Amour, trie et choisis les plus beaux de ces vers » page 67
Sonnet II : « Arreste un peu, mon cœur, où vas-tu si courant ? » 67
Sonnet III : « Si je me siez à l’ombre, aussi soudainement » 68
Sonnet IV : « Las ! trop injuste Amour, veux-tu jamais cesser ? » 68
Sonnet V : « O mon petit livret, que je t’estime heureux ! » 68
Sonnet VI : « Privé des doux regards, qui mon ame ont ravie » 69
Plainte : « En quel desert, quel bois ou quel rivage » 69
Sonnet VII : « Ma dame, Amour, Fortune et tous les elemens » 71
Sonnet VIII : « Je me veux rendre hermite et faire penitence » 71
Sonnet IX : « Vous voulez estre hermite, hermite allez vous rendre » 71
Sonnet X : « Amour de sa main propre a portrait cet image » 72
Sonnet XI : « Hé ! ne suffit-il pas qu’Amour, trop animé » 72
Sonnet XII : « Si le mary jaloux de la belle Cypris » 73
Sonnet XIII : « Je sçay qu’ell’ ont des yeux, les autres damoiselles » 73
Sonnet XIV : « Malheureux que je suis ! je vous soulois descrire » 74
Priere au sommeil : « Somme, doux repos de nos yeux » 74
Sonnet XV : « Yeux, qui guidez mon ame en l’amoureux voyage » 76
Sonnet XVI : « Au saint siege d’Amour, des grands dieux le vainqueur » 76
Sonnet XVII : « Si vous voulez que ma douleur finisse » 77
Chanson : « Un doux trait de vos yeux, ô ma fiere deesse » 77
Chanson : « Je ne veux jamais plus penser » 78
Sonnet XVIII : « Depuis que sous vos loix mon ame est retenuë » 79
Sonnet XIX : « Helas ! chassez ce couloir obstiné ! » 79
Sonnet XX : « Que trop d’amour me seiche et me devore ainsi » 79
Sonnet XXI : « Vous le voulez, et j’ay trop de coustume » 80
Sonnet XXII : « Encor aucunefois, cet archer decevant » 80
Sonnet XXIII : « Puis que mon plus bel âge, en servant despensé » 80
Sonnet XXIV : « Je ne suis point jaloux ny ne le veux point estre » 81
Sonnet XXV : « Belle et guerriere main apprise à la victoire » 81
Sonnet XXVI : « Chassez de votre cœur l’injuste cruauté » 82
Sonnet XXVII : « Si vous m’aimez, madame, helas ! si vous m’aimez » 82
Sonnet XXVIII : « Hé ! que n’est-il permis, aussi bien qu’à mes yeux » 82
Songe : « Celle que j’aime tant, lasse d’estre cruel » 83
Rymes tierces : « Pleurs et soupirs, je vous ouvre la porte » 83
Complainte : « La terre, nagueres glacée » 84
Sonnet XXIX : « Mary jaloux, qui me defens la vuë » 87
Sonnet XXX : « J’excuse le mary de celle qui m’a pris » 88
Sonnet XXXI : « D’où vient qu’une beauté, qui m’est toujours presente » 88
Sonnet XXXII : « Junon, royne des dieux, de courroux toute plaine » 88
Sonnet XXXIII : « Puis que, pour mon malheur, ceste unique beauté » 89
De la jalousie : « Amour à petit feu fait consommer mon ame » 89
Sonnet XXXIV : « Celle à qui mes escrits ont donné tant de gloire » 92
Sonnet XXXV : « Jamais fidelle amant n’eut plus douces pensées » 93
Sonnet XXXVI : « Ma vie à un enfer peut estre comparée » 93
Sonnet XXXVII : « Vostre cœur s’est changé, maistresse, et je l’endure » 93
Épigramme : « Vous m’avez fait jetter au plus vif de la flame » 94
Sonnet XXXVIII : « Vous l’aviez inventé, rapporteurs dangereux » 94
Sonnet XXXIX : « Ne dites plus, amans, que l’absence inhumaine » 94
Sonnet XL : « Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux » 95
Chanson : « Las ! en vous esloignant, ma dame » 95
Sonnet XLI : « Cheveux, present fatal de ma douce contraire » 96
Sonnet XLII : « Aimons-nous, ma deesse, et monstrons à l’épreuve » 96
Stances : « Lors qu’un de vos rayons doucement me blessa » 97
Sonnet XLIII : « J’ay fait de mes deux yeux une large riviere » 97
Sonnet XLIV : « Vostre bouche, ô deesse ! a mal prophetizé » 98
Sonnet XLV : « Cent et cent fois le jour je fay nouveaux discours » 98
Chanson : « Celuy que le ciel tout-puissant » 98
Sonnet XLVI : « Je m’estoy dans le temple un dimanche rendu » 99
Sonnet XLVII : « Que maudits soient mes yeux, si pronts à mon dommage » 100
Sonnet XLVIII : « Quand nous aurons passé l’infernale riviere » 100
Sonnet XLIX : « Ô mort ! tu pers ton tans de me poursuivre ainsy » 101
Stances : « Sommeil, qui, trop cruel au tans de mes amours » 101
Sonnet L : « J’estoy sans connoissance estendu dans ma couche » 101
Sonnet LI : « Cette humeur qui m’aveugle et me bande les yeux » 102
Sonnet LII : « Quel supplice infernal, quelle extrême souffrance » 102
Sonnet LIII : « Dieu des hommes perdus, sera-ce jamais fait ? » 102
Sonnet LIV : « Dressez-moy sans cesser querelle sur querelle » 103
Sonnet LV : « Puisqu’il vous plaist, Madame, et qu’avez tant d’envie » 103
Sonnet LVI : « Tant d’amour, tant de foy dont vos lettres sont plaines » 104
Sonnet LVII : « J’ai tant souffert d’ennuis, de honte et de misere » 104
Sonnet LVIII : « Le robuste animal dont l’Inde est nourriciere » 104
Sonnet LIX : « Belle et cruelle main, qui m’avez enchaisné » 105
Sonnet LX : « Chacun jour mon esprit loin du corps se retire » 105
Sonnet LXI : « Beaux nœux crespes et blonds nonchalamment épars » 105
Dialogue : « Qui vous rend, ô mes yeux ! vostre joye premiere » 106
Sonnet LXII : « Quoy que vous en pensiez, je suis toujours semblable » 106
Chanson : « Amour, grand vainqueur des vainqueurs » 107
Sonnet LXIII : « La Foy, qui pour son temple a choisi ma poitrine » 108
Sonnet LXIV : « Sur le tombeau sacré d’un que j’ay tant aimé » 108
Sonnet LXV : « Jamais, au grand jamais, on ne verra changer » 109
Chanson : « Que vous m'allez tourmentant » 109
Sonnet LXVI : « Que je hay l’inconstance et que j’estime fous » 109
Sonnet LXVII : « Quand j’admire, étonné, vostre beauté parfaite » 110
Sonnet LXVIII : « On verra défaillir tous les astres aux cieux » 110
Sonnet LXIX : « Si j’aime autre que vous, que l’honneste pensée » 110
Sonnet LXX : « Pendant que mon esprit mille douceurs conçoit » 111
Sonnet LXXI : « Chaste sœur d’Apollon dont je suis esclairé » 111
Sonnet LXXII : « Lettres, le seul repos de mon ame agitée » 112
Sonnet LXXIII : « Aux plus rudes assaux d’une aspre maladie » 112
Sonnet LXXIV : « Si l’amour de ma foy rend vostre ame craintive » 112
Sonnet LXXV : « Ô vers que j’ai chantez en l’ardeur qui m’enflame » 113
Stances : « Belle et fiere deesse à qui je suis voüé » 113
Sonnet LXXVI : « J’ay couru, j’ay tourné, volage et variable » 114

Les Amours d’Hippolyte[modifier]

Sonnet I : « Icare est cheut icy, le jeune audacieux » page 115
Sonnet II : « Quand je pouvoy me plaindre en l’amoureux tourment » 115
Sonnet III : « Venus cherche son fils, Venus, tout en colere » 116
Sonnet IV : « Quand je suis tout le jour de douleur agité » 116
Sonnet V : « Puis que vous le voulez, demeurez inhumaine » 117
Sonnet VI : « Je ne puis pour mon mal perdre la souvenance » 117
Sonnet VII : « Amour sceut une fois si vivement m’attaindre » 118
Sonnet VIII : « Dieu, qui fais de mon cœur ta victime sanglante » 118
Sonnet IX : « Amour peut à son gré me tenir oppressé » 118
Sonnet X : « Amour, qui vois mon cœur à tes piés abbatu » 119
Sonnet XI : « Cesse, ô trop foible esprit ! de plus faire defance » 119
Sonnet XII : « Celuy qui n’a point veu le printans gracieux » 120
Sonnet XIII : « Pourquoy si plein d’orgueil marches-tu sur ma teste » 120
Sonnet XIV : « Je sens fleurir les plaisirs en mon ame » 120
Sonnet XV : « Ce n’est assez que soyez si bien née » 121
Sonnet XVI : « Mon Dieu, que de beautez sur le front de ma dame ! » 121
Sonnet XVII : « Qu’une secrette ardeur me devore et saccage » 122
Sonnet XVIII : « Pourquoy si folement croyez-vous à un verre » 122
Sonnet XIX : « L’arc de vos bruns sourcils mon cœur tyrannisans » 122
Stances : « Lors que j’escry ces vers, il ne faut que l’on pense » 123
Elegie : « Je delibere en vain d’une chose advenuë » 124
Complainte : « Sauvage loy d’Amour et de ma destinée ! » 125
Priere : « Grand Dieu d’Amour, enfant de Cytherée » 126
Chanson : « Douce liberté desirée » 127
Fantaisie : « D’où vient qu’un beau soleil, qui luit nouvellemant » 128
Sonnet XX : « Quand quelquesfois je pense à ma premiere vie » 129
Sonnet XXI : « Vous me cachez vos yeux (las ! trop cruellement) » 129
Sonnet XXII : « J’ay languy malheureux quatre longues journées » 130
Chanson : « Que je suis redevable aux cieux » 130
Sonnet XXIII : « Las ! que puis-je avoir fait, ô moy, pauvre insensé » 131
Sonnet XXIV : « Ma bouche à haute voix chante assez liberté » 131
Sonnet XXV : « Mettez-moy sur la mer, quand elle est courroucée » 132
Sonnet XXVI : « Grand Jupiter, ministre de l’orage » 132
Sonnet XXVII : « Amour en mesme instant m’aiguillonne et m’arreste » 132
Sonnet XXVIII : « Ô beaux yeux inhumains, pourquoy m’embrazés-vous » 133
Sonnet XXIX : « Qui fait plainte d’Amour en doit estre ignorant » 133
Chanson : « Pour vous aimer je veux mal à mon cœur » 133
Chanson : « Quel feu par les vens animé » 134
Le cours de l’an : « L’an, comme un cercle rond qui tout en soy retourne » 136
Elegie : « Ayez le cœur d’un tigre ou d’une ourse cruelle » 138
Il n'y a pas de Sonnet XXX ---
Sonnet XXXI : « Quand le soleil doré laisse nostre hemisphere » 139
Sonnet XXXII : « Deux clairs soleils, la nuict estincelans » 139
Sonnet XXXIII : « En pire estat ma fortune est venuë » 140
Elegie : « Jamais foible vaisseau, deçà, delà porté » 140
Sonnet XXXIV : « Amour, à qui j’ay fait tant de fois sacrifice » 143
Sonnet XXXV : « Ce jour un pauvre amant triste et desesperé » 144
Sonnet XXXVI : « Ô mon cœur plein d’ennuis que, trop pront, j’arrache » 144
Sonnet XXXVII : « Durant qu’un feu cruel dedans Rome saccage » 144
Sonnet XXXVIII : « Loin du nouveau soleil en mes vœux adoré » 145
Sonnet XXXIX : « Si ceste grand’ beauté, tant douce en apparence » 145
Sonnet XL : « Quand premier Hippolyte eut sur moy la victoire » 146
Sonnet XLI : « Je ressemble en aimant au valeureux Persée » 146
Sonnet XLII : « Ô doux venin mortel ! Ô guide tromperesse ! » 146
Sonnet XLIII : « Tant d’outrageux propos, de courroux et d’orage » 147
Sonnet XLIV : « Avoir pout toute guide un desir temeraire » 147
Sonnet XLV : « A pas lens et tardifs tout seul je me promaine » 147
Sonnet XLVI : « Aspre et sauvage cœur, trop fiere volonté » 148
Sonnet XLVII : « Je crois que tout mon lict de chardons est semé » 148
Sonnet XLVIII : « Ô champs, cruels volleurs du bien qui me tourmente ! » 149
Sonnet XLIX : « La mort, qui porte envie aux plus rares beautez » 149
Chanson : « Blessé d’une playe inhumaine » 149
Chanson : « Que n’ay-je la langue aussi pronte » 150
Stances : « Si je languy d’un martire inconnu » 150
Sonnet L : « Bien souvent Hippolyte, à grand tort courroucée » 151
Sonnet LI : « L’eau tombant d’un lieu haut goute à goute a puissance » 151
Sonnet LII : « Bien que le mal d’Amour, qui me rend furieux » 152
Stances : « Quand au matin le grand flambeau des cieux » 152
Sonnet LIII : « Bien qu’une fièvre tierce en mes veines boüillonne » 153
Sonnet LIV : « S’il n’y a rien si froid ne si glacé que celle » 153
Sonnet LV : « Vous n’estes point mes yeux, ô trompeuse lumiere » 153
Sonnet LVI : « Ayant trois ans entiers toute Rome asservie » 154
Sonnet LVII : « Autour des corps, qu’une mort avancée » 154
Sonnet LVIII : « Tourne, mon cœur, ailleurs ton esperance » 155
Complainte : « Quelle manie est égale à ma rage ? » 155
Sonnet LIX : « Amour, si j’ay souffert, fidelle à ton empire » 156
Sonnet LX : « Si les pleurs que j’espans, si le triste langage » 156
Sonnet LXI : « Depuis deux ans entiers que j’aime une beauté » 157
Sonnet LXII : « Pour tant d’ennuis divers, tant de flamme et de glace » 157
Sonnet LXIII : « J’estoy dans une sale ombragé de la presse » 157
Sonnet LXIV : « Si doucement par son regard me tuë » 158
Sonnet LXV : « Si la fureur d’amour, rendant l’ame agitée » 158
Sonnet LXVI : « Vouloir ambitieux, esperance interdite » 159
Sonnet LXVII : « Bien que ma patience et ma foy vous ennuye » 159
Stances : « Quand j’espreuve en aimant les rigueurs d’une dame » 159
Sonnet LXVIII : « Les sanglots continus, l’ardeur, l’impatience » 161
Sonnet LXIX : « A mon terrestre ciel j’ose faire la guerre » 161
Sonnet LXX : « Soucy chaud et glacé, que la crainte a fait naistre » 162
Sonnet LXXI : « Espouvantable nuict, qui tes cheveux noircis » 162
Sonnet LXXII : « Quand je voy flamboyer cette heureuse planette » 162
Sonnet LXXIII : « Comme quand il advient qu’une place est forcée » 163
Sonnet LXXIV : « Celle qui de mon mal ne prend point de soucy » 163
Sonnet LXXV : « Sommeil, paisible fils de la nuict solitaire » 164
Sonnet LXXVI : « Si le pasteur de Troye, éleu divinement » 164
Sonnet LXXVII : « Rendez-vous plus cruels, beaux yeux qui me blessez » 164
Sonnet LXXVIII : « Ravy de mon penser, si hautement je volle » 165
Sonnet LXXIX : « Le tyran des Hebreux transporté de furie » 165
Sonnet LXXX : « Quand l’ombrageuse nuit nostre jour décolore » 166
Sonnet LXXXI : « Que je suis redevable à la douce pensée » 166
Sonnet LXXXII : « Amour, choisis mon cœur pour butte à tous tes traits » 166
Sonnet LXXXIII : « Langue muette, à mon secours tardive » 167
Sonnet LXXXIV : « De quels cousteaux fut mon ame blessée » 167
Sonnet LXXXV : « Mes yeux, accoustumez au jour de vostre veuë » 167
Sonnet LXXXVI : « Je vey contant les jours et les heures passées » 168
Sonnet LXXXVII : « Au nid des aquilons en la froide Scythie » 168
Sonnet LXXXVIII : « Je veux jurer ces vers, qui rendront tesmoignage » 169
Tombeau d’Amour : « Cy gist l’aveugle Amour, sa puissance est étainte » 169
Chanson : « Tant que j’ay eu du sang, des soupirs et des larmes » 169
Chanson : « Pour voir ma fin toute asseurée » 170
Chanson : « Sçavez-vous ce que je desire » 171
Chanson : « Le mal qui me rend miserable » 172
Chanson : « Pour faire qu’une affection » 173
Chanson : « Si tost que vostre œil m’eut blessé » 175
Stances : « Si l’angoisse derniere en rigueur est semblable » 175

Cleonice. Dernières Amours[modifier]

Elegies[modifier]

Livre I[modifier]

Livre II[modifier]

Imitations de L’Arioste[modifier]

Meslanges : Diverses Amours[modifier]

Meslanges : Bergeries[modifier]

Meslanges : Cartels et Masquarades[modifier]

Meslanges : Epitaphes[modifier]

Œuvres Chrestiennes[modifier]