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Aristippe, ou De la Cour/Table des matieres

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Augustin Courbé (p. 245-262).
TABLE
DES MATIERES,
ET DES CHOSES PLVS
REMARQVABLES, CONTE-
nuës dans Aristippe.
A

ACtion. Il est aiſé de ſe tromper, dans le iugement qu’on fait des actions des hommes, puis que ceux qui les ſont, y ſont les premiers trompez, pag. 74. & ſuiuantes.
Affaires publiques. La ſpeculation en est plus honneſte que le maniment, 7
d’Agrippa, Ministre d’Eſtat de l’Empereur Auguste, 210.212

 

d’Alcibiade, & de la viuacité de ſon eſprit, 114
l’Ambition dereglée a ſouuent eſté cauſe de la perte de grands Perſonnages, 339.340.
de l’Amitié. Sans elle la felicité eſt imparfaite, & defectueuſe, & la Vertu foible & impuiſſante, 17
les Amis ſont les plus vtiles, & les plus deſirables des biens estrangers. 18
Amour extrauagant & ridicule de certaines Reines hipocon-driaques, 46.47
de l’Amour qui gouuerne la Politique, lors qu’vne femme s’empare de l’eſprit d’vn Fauory, 204.205.
Aristippe, nom de l’Autheur de cet Ouurage, qui il eſtoit, 5.& ſuiu.
Artiſan fameux, dont parle l’Histoire d’Alexandre, 94
Aſſemblées Politiques. L’Eſprit y doit agir librement, & ſans contrainte ; & la Prudence y exercer ſes operations en repos, 108

De la laſcheté de ceux, qui fremiſſent au moindre recit qui leur est fait du peril, qui les retient & empeſche de dire leur ſentiment, auec liberté, 109
de l’Autheur de cet Ouurage, 5. & suiuantes.
d’vne Authorité aueugle & müette, 45
Il y a des Grands qui ne ſont remarquables que par leur Grandeur, 45
Semblables à ces hautes montagnes infructueuſes, qui ne produiſent, ni herbe, ni plante, 45.46
B

BArberouſſe, qui auoit intelligence auec André Dorie, 125.126
du Cardinal Birague. Baſſeſſe remarquable, 252
C

CAton estoit vn austere Republicain, mais hors d’vſage, qui ne ſçauoit pas s’accommoder à la portée de ſon Siecle, 156. & ſuiuantes.
Application d’vn Vers de Virgile bien à propos, 158.159
de Christine, Reine de Suede. Bel Éloge, 12.15
Ciceron eſtoit courageux & vaillant, pour le moins dans le Senat, 110
peu de Citoyens luy ſont ſemblables auiourd’huy, 112.
vn braue Citoyen doit eſtre ſemblable à Ciceron, 110.111
Cleon Gouuerneur de la Republique d’Athenes, mocqué pour ſon extrauagante probité, 170.171
Philippes de Commines ; Eſtonnement & ſurpriſe remarquable, 224
Conference. Quelque cõnoiſſance naturelle que nous ayons, & quelque lumiere qui nous vienne d’enhaut, nous ne deuons point mépriſer ce ſurcroiſt de raiſon, & ce plus grand eſclairciſſement de verité, qui ſe tire de la Confercnce, 19. & suiuantes.
la Conqueſte de la Grece propoſée à des plus petits Princes d’Italie, 95
du Conſeil. C’est le grand Element de la vie ciuile, il n’eſt gueres moins neceſſaire que l’Eau, & le Feu, 19.20
Les Iugemens les plus vifs manquent de clarté en leurs propres intereſts, 20.21
Celuy qui prend & reçoit confeil, ne doit pas eſtre estimé moins ſage, 29.30
Conſeillers. Il y en a qui par vne humeur chagrine & fancaſque, opinent ordinairement à la mort, & qui s’endorment quelquesfois ſur les Fleurs de-Lis, 175
Tels Conſeillers ne ſont pas ceux qui doiuent eſtre appcllez, aupres des Rois, 174
de la Cour, & du commerce de piperies, que l’on y exerce, 127. & ſuiuantes.
D

DEliberation. Comment s’entend ce que les Romains diſoient, qu’on deuoit deliberer auec l’Occaſion, & en la preſence des Affaires, 91.92.
Demosthene parut trop pointilleux dans le Conſeil d’Athenes, ſur le ſuiet d’vne petite Iſle, qui eſtoit conteſtée entre les Atheniens & le Roy Philippes, 165

des Dialogues, ii.iz de Dieu. II n’y a que luy ſeul qui ſoit pleincment contcnt de íoymeſme, 18 des Difcours de cet Ouurage, de leur Authcuſj &c la grande approbacion qu’ilsonteuë, deçà &dclà les Monts, 5. & ia sttiutntes. Andrc Doric auoit inteiligcnce auec Barberousse , quoy qu’il fuſt bon ſcruiteur de l’Empercur Charlcs> Quint, Ï2j - 116 ■ E EQuiuoques plaiſans, d’vn Homme dclongue robbc, qui auoit peu de connoisl’ancedcs bonnes I.ettres, 57 du Duc d’Efpernon, 3.4 l’Efprit prend vn mcruciljeux plaiſir dans le paiſonnemcnt, , S8 Ce qui luy paroist ami êc fauorablc dans la penſéc , ſe reuolte & : deuicnt contraire dans l’opcration, 89. 90 Euenemens. Les plus grands ne ſont pas touſiours produits par des grandcs cauſcs , 71. & ſniuantes.

  • . ’ «V

f ^ - • ? f . FAueur cst vneFille, qui tuë bien fouuent ſa propre Merc, zoj des Fauoris , Sc leur dcſcription , 178. ’cr ſuiuantes. Commcnt, &c par quels moycns ils s’introduiſcnt &c s’elcucnt à la Courj & comment peu à peu ils s’ernparent de rÊſptitd’vn Prince, 181. dr Jùtunntcs. De quelles rufes &c de quels artifices ils ſe ſcruent pour s’asluiettir tout à fait le Prince, a- íìn de regner cux-meſmcs Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/257 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/258 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/259 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/260 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/261 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/262 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/263 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/264 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/265 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/266 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/267 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/268 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/269 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/270