Chapelets de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de la Sainte Vierge/Indulgences chapelet des sept Douleurs

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INDULGENCES
ACCORDÉES PAR LES SOUVERAINS PONTIFES A CEUX QUI DISENT LE CHAPELET DES SEPT-DOULEURS.
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Indulgence de dix ans à celui qui, gardant auprès de soi un Chapelet des Sept-Douleurs, pratiquera quelque bonne œuvre, ou de culte envers Dieu, ou de charité, soit spirituelle, soit temporelle, envers le prochain, pourvu qu'on récite chaque fois sept Pater et sept Ave.

Indulgence de deux cents jours pour chaque Pater et Ave que l'on récite sur le Chapelet dans une église de l'ordre des Servites.

Indulgence de deux cents jours également pour chaque Pater et Ave que l'on récite sur ledit Chapelet, même hors des églises des Servites, mais seulement certains jours déterminés, savoir : les vendredis, les solennités des Sept-Douleurs, et tous les jours de carême.

Indulgence de cent jours pour chaque Pater et Ave que l'on récitera sur le Chapelet en quelque lieu et quelque jour que ce soit.

Indulgence de sept ans, et d'autant de quarantaines, outre les indulgences ci-dessus, toutes les fois que l'on dit, en quelque temps et lieu que ce soit, le Chapelet tout entier, soit qu'on le dise seul ou qu'on le fasse en compagnie des autres.

Indulgence de deux cents ans lorsqu'on récite le Chapelet après s'être approché du sacrement de la pénitence.

Indulgence de cent ans, chaque fois qu'on dit le Chapelet en entier.

Indulgence de cent cinquante ans, lorsque, s'étant confessé et ayant communié dans la semaine ou huitaine, on récite le Chapelet un lundi, un mercredi, un vendredi, ou un jour quelconque de fête commandée.

Indulgence plénière pour celui qui, ayant l'habitude de dire le Chapelet tout entier, quatre fois par semaine, pendant toute une année, le dit en outre le jour même qu'il aura choisi dans l'année pour se confesser et communier, afin de gagner cette indulgence.

Indulgence plénière pour quiconque récite le Chapelet tous les jours, durant un mois, le jour qu'il aura choisi [illisible]

Enfin, [illisible], toutes les fois que l’on récite en entier l'hymne Stabat Mater.

Il est à remarquer que, pour gagner les induigences exposées ci-dessus, les Chapelets doivent être bénits par les supérieurs de l’ordre des serviteurs de Marie, ou par leurs délégués, et que, une fois qu'on les a bénits, on ne peut plus les vendre, ni prêter, autrement la bénédiction, ou plutôt son effet, pour gagner les indulgences, cesse. Il convient aussi d'accompagner la pratique des bonnes œuvres énumérées de quelque pieuse pensée ou réflexion sur les douleurs de Marie.

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