Chronique de la quinzaine - 14 juillet 1832

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Chronique no 7
14 juillet 1832


CHRONIQUE DE LA QUINZAINE.

14 juillet 1832.


Il ne nous est venu du dehors pendant cette quinzaine que des nouvelles d’une importance assez secondaire, et la situation extérieure n’a guère changé depuis le mois dernier. Le vent politique tourne cependant, dit-on, chaque jour davantage à la guerre. À la bonne heure. La guerre n’est pas peut-être absolument inévitable, elle ne semble pas néanmoins devoir être bien prochaine.

Ce ne sera pas pourtant la faute du roi de Hollande, si la paix de l’Europe n’est point encore, cette fois, troublée. Ce prince, vraiment doué d’une merveilleuse persévérance, semble, en effet, ne pas croire à l’irrévocabilité du dernier protocole, plus qu’à celle de tous ceux qui l’avaient précédé. La conférence, récemment encore, le met en demeure d’accepter ses vingt-quatre articles, faute de quoi elle lui déclare qu’elle va décidément l’y contraindre par corps ; mais le roi Guillaume ne s’épouvante pas pour si peu. Voici donc qu’avec un imperturbable sang-froid, sans songer le moins du monde au traité de Londres, il vient en proposer un de sa façon. Il se trompe fort néanmoins s’il va jusqu’à s’imaginer que la diplomatie ne montrera pas autant de patience, que lui d’entêtement. S’il ne survient quelqu’autre cause de collision, il faudra bien, de force ou de gré, que le pauvre monarque se résigne et succombe enfin sous le nombre des protocoles.

Ce qui donne au surplus, rien n’est plus certain, si grande confiance au roi de Hollande, ce qui l’encourage et le fortifie surtout dans ses résistances, c’est, son alliance avec la Russie, c’est la protection qu’il attend d’elle. Il aurait tort, cependant, de trop compter sur cet appui. L’épée du czar pèse moins aujourd’hui ; probablement elle ne ferait plus pencher de son côté la balance politique. C’était un fer mal trempé. Voyez comme il s’est ébréché seulement pour frapper la Pologne. Voyez aussi quelles félicitations recueille Nicolas, à propos de cette funeste victoire, qui lui a coûté tant d’armées. Voyez, comme en plein parlement, à la face de l’Europe, vient d’être traité l’autocrate par les membres les plus éloquens et les plus honorables de la chambre des communes d’Angleterre. Donc, non-seulement il ne s’agit pas maintenant pour cet empereur de venir aider ses amis, au centre de l’Europe, mais encore il faut qu’il soit même prudent chez lui. Il ne faut point qu’il achève d’égorger Varsovie et d’épuiser ce qui reste du sang généreux de la Lithuanie : on ne le laisserait pas faire, au moins. À notre défaut, et c’est une grande honte pour nous, l’Angleterre se charge de le lui défendre, et s’empare de cette mission qui nous appartenait et que notre gouvernement a désertée. Lord Durham part pour Saint-Pétersbourg ; il y va plaider une cause bien belle et qui, certes, était tout-à-fait du ressort du maréchal que nous avons là comme ambassadeur. Le moins que puisse obtenir le plénipotentiaire anglais, c’est assurément que les traités de 1815 soient exécutés au profit de la Pologne. Jusqu’à ce que le jour de la complète indépendance se soit levé pour elle, ce sera quelque chose.

Revenant de la Russie, si nous traversons l’Allemagne, nous n’y passons qu’au milieu de peuples qui, certes, auraient aussi grand besoin que quelque puissante intervention vînt protéger leurs droits et leur liberté. Les persécutions des petits princes contre la presse et les assemblées fédérales n’ont pas en effet discontinué. La confédération prépare même, à ce qu’il semble, des mesures générales, et s’apprête à couvrir tout le sol germanique d’un roseau bien serré de despotisme et de censure. Qu’importe ? On verra si la pensée n’en sait pas, sinon briser d’abord, au moins ronger bientôt les mailles les plus solides.

En Italie, où le pouvoir se trouve également en lutte avec l’esprit du siècle, le Vatican a remonté ses batteries spirituelles, et lancé récemment des foudres ; en d’autres termes le pape vient d’excommunier Ancône, on ne dit pas précisément, si c’est y compris ou non compris notre garnison. En tout cas, l’excommunication est une arme bien vieille et qui doit être bien rouillée. On ne s’en était, il est vrai, guère servi depuis l’invention de la poudre. Quel qu’en puisse être l’effet, pour maintenir son autorité, le Saint-Père fera mieux de compter sur les fusils de ses soldats et sur les canons de l’Autriche.

Hors de l’Europe, le grand-seigneur a fait seul au moins et plus habilement rentrer, sous le joug, ses provinces révoltées. Ibrahim s’est laissé battre complètement en Syrie, par les troupes de Mahmoud, et voici que ce sultan novateur, qui ne paraît pas pourtant avoir encore réformé le cordon, envoie solennellement un ambassadeur demander au pacha d’Égypte sa vieille tête.

Mais passons par Alger, où notre domination s’étend et se régularise, où notre colonie prospère et se fortifie sous la ferme administration du duc de Rovigo ; puis, hâtons-nous de rentrer en France, car la France est bien belle en ce mois de juillet. Elle n’est plus transie de froid, ainsi qu’elle était à la fin de juin. Oh ! non ; elle a mis ses habits d’été. Voyez-vous comme elle s’est parée de fleurs, comme elle respire avec délices son vent tiède et parfumé, comme elle regarde avec amour son ciel pur. Et puis le soleil mûrit ses fruits et ses blés. Déjà ses moissons se commencent heureuses et abondantes et des vendanges aussi heureuses, aussi abondantes, lui sont promises. — Oui, je vous le dis, la France est bien belle en ce moment.

Ce n’est cependant pas assez. Ne faudrait-il pas aussi que le choléra se décidât enfin à nous quitter. Il n’y paraît, néanmoins, nullement songer. Loin de là. Voici qu’au contraire les gazettes médicales nous prédisent sérieusement son acclimatement chez nous. Dieu veuille que ces messieurs de la faculté ne pénètrent pas mieux les projets de cette peste, qu’ils n’en ont semblé, jusqu’ici, connaître le traitement.

Mais si l’épidémie persiste, la situation politique intérieure ne s’est pas non plus sensiblement améliorée. L’arrêt de la cour de cassation a bien inévitablement fait cesser l’état de siége de Paris. Il n’a guère produit, d’ailleurs, d’autres résultats. Il était cependant permis de croire que ce rude coup allait achever de renverser le système du treize mars, si fortement ébranlé, surtout depuis qu’il avait perdu, par la mort de M. Périer, la clé de sa voûte. Mais le système a tenu bon.

Ayant ainsi résisté, par la grâce de Dieu, le ministère s’est avisé de sa force. Il a jugé qu’il pouvait fort bien se passer de président, et n’a même pas voulu s’adjoindre M. Dupin, qui n’eût, à vrai dire, que médiocrement consolidé la machine administrative. Le conseil restera donc tel quel jusqu’à la réunion des Chambres, qu’il ne juge pas néanmoins prudent de convoquer avant le mois de novembre, comme il en avait été question d’abord.

En attendant, le maréchal Soult, qui n’a pu réussir à se faire adjuger la présidence, est parti pour les eaux ; et le général Sébastiani ne tardera pas, dit-on, à l’y suivre. C’est juste. Il est bon que ces messieurs aillent se délasser de toutes les fatigues qu’ils se sont données pour défendre la liberté des peuples et l’honneur du pays ; il est bon, s’ils se sont épuisés en maintenant la paix à tout prix, qu’ils fassent provision de force, afin de soutenir la guerre, que va leur déclarer sans doute, à la session prochaine, la menaçante opposition des signataires du compte-rendu.

Quant à M. Barthe, qui continue à se bien porter, et garde toujours les sceaux avec le même zèle et la même distinction, il a récemment fait preuve, dans son département, d’une merveilleuse activité. Le personnel du parquet a été soumis à une révision générale et à de sévères épurations, ainsi que cela se pratiquait aux meilleurs jours de la restauration, M. Laurence et beaucoup d’autres magistrats dissidens ont été remerciés de leurs services. Ce n’est pas tout au moins ; M. Barthe est infatigable. Il a fait encore une circulaire à ses procureurs-généraux. Il leur est spécialement recommandé, dans ce curieux morceau, de bien tenir la presse en bride, et de ne pas souffrir que cette indocile cavale s’avise de prendre le galop, et de courir par le champ des théories et du mouvement. C’est bien assez en effet qu’on ne la mette pas une fois pour toutes en fourrière, et qu’on lui permette d’aller au pas sur le terrein du juste milieu.

Le National et plusieurs autres feuilles indépendantes ont nouvellement encore été saisis, selon le vœu de cette instruction. Ils ne doivent pas pourtant se le dissimuler. S’ils la veulent rigoureusement exécuter, messieurs les procureurs-généraux ne sont pas au bout de leurs réquisitoires.

Sans ce surcroît d’occupation qu’on leur donne, les parquets ne manquaient cependant pas assurément de besogne. Par suite de la levée de l’état de siège et de l’annulation des jugemens des conseils de guerre, M. Persil avait déjà sur les bras pour le moins douze cents procès criminels tout neufs. Et ce n’est rien encore, car il y avait déjà dans les prisons encombrement de vieux complots. Voici par exemple une conspiration fort arriérée. C’est la conspiration de la rue des Prouvaires. Celle-ci est une de nos plus anciennes. Elle date du carnaval. C’est une conspiration carliste, si vous voulez. On ne lui peut pourtant pas faire de passe-droit. Elle attend depuis assez long-temps. Elle est pressée. On s’occupe donc en ce moment de l’expédier. Mais vous voyez, cela est long. Qu’y faire ? La cour d’assises n’a pas vingt sections, ni le procureur-général vingt substituts. Carlistes ou républicaines, les conjurations attendront, et seront jugées à leur rang. Tant pis pour elles. On leur avait donné les conseils de guerre. Cela marchait vraiment beaucoup plus vite. Il fallait qu’elles s’en contentassent.

Pour ce qui est de l’une des plus importantes, celle dont MM. de Fitz-James, Hyde de Neuville et Chateaubriand étaient les chefs, on a dû renoncer à en faire quelque chose. Comme nous l’avions bien prévu, l’on n’a pas trouvé qu’il y eût lieu à suivre contre cette mystérieuse régence dont les membres, après un emprisonnement de quelques jours, ont été rendus à la liberté.

Au surplus dans la Vendée, dont on les accusait d’entretenir et de diriger l’insurrection, la tranquillité semble momentanément du moins rétablie sur presque tous les points. On ne croit pas pourtant que la duchesse de Berry se soit encore embarquée. C’est son départ que l’on attend sans doute pour lever l’état de siège qui continue à régir nos départemens de l’Ouest.

Durant cette quinzaine le plus grand calme a régné d’ailleurs dans nos autres provinces. On s’y est occupé beaucoup de récoltes et d’industrie, et point du tout d’émeutes.

On fait à Roanne l’essai du nouveau chemin de fer, et grâce à la vapeur nous avons maintenant en France une route sur laquelle on fait très commodément ses douze lieues à l’heure.

Si l’on avait écouté M. Michel Chevalier, quand la fantaisie nous en prendrait, nous pourrions à présent nous promener ainsi par tous nos départemens ; car les Saint-Simoniens ne prêchaient pas avec moins de ferveur les chemins de fer que l’émancipation de la femme. Mais comme ils demandaient la destruction de l’hérédité, l’on n’a pas voulu de leur économie politique. Les maris et les propriétaires se sont levés contre eux en masse. On a fermé l’église Taitbout. On a mis aux prises avec les juges d’instruction le père suprême et les apôtres de la religion nouvelle. C’était bien assez. C’était trop. Si ces hommes étaient fous, au moins avaient-ils des momens lucides, au moins leur folie était-elle aimable et divertissante. Eh bien ! persécutés à Paris, ils se retirent paisiblement à Ménilmontant, sur la montagne. Ils se renferment quarante dans une maison de campagne qui leur appartient. Qu’importe qu’ils arrosent et bêchent leur jardin, qu’ils y chantent de la poésie de leur façon, qu’ils s’y promènent avec de petites redingottes bleues, des gilets qui se boutonnent par derrière et des ceintures qui leur serrent la taille ? Qu’importe encore qu’ils reçoivent sous leurs tilleuls les curieux qui les viennent visiter ? Qu’importe qu’ils donnent aux jeunes filles des fleurs de leur parterre ? Quel mal tout cela fait-il ? Était-ce besoin de disperser cette inoffensive association comme une émeute ? Fallait-il absolument envoyer là des commissaires de police et de la garde municipale ? En vérité, dans ce pays de toute liberté, il n’y a de liberté pour personne.

Cette longue série de faits épuisée, occupons-nous cependant un peu des nouvelles et des publications littéraires de cette quinzaine.

Nous avons eu d’abord Marc-Loricot, ou le petit Chouan de 1830[1], par M. Victor Ducange. L’aristocratie des lecteurs a peut-être tort de dédaigner, comme elle fait, cet écrivain. Ses in-dix-huit, grossièrement imprimés et fort mal mis, valent bien assurément beaucoup de nos fashionables in-octavo. Ce dernier roman par exemple, à cela près du style, dont l’incorrection et la trivialité sont impardonnables, ne manque pas en vérité d’un certain mérite. La fable en est intéressante et ses détails ont souvent de la grâce et de la vérité ; d’ailleurs M. Ducange conte avec décence et retenue. Ses scènes d’amour ne sont jamais effrontées et impudiques. C’est là ce qui le sépare tout-à-fait de l’école fangeuse de M. Pigault-Lebrun. Il serait bon cependant que M. Ducange se défît de l’habitude qu’il a de prendre à partie son lecteur et de causer avec lui ; car la conversation de cet auteur semble n’être alors nullement celle de la bonne compagnie. Mais voilà pourquoi sans doute vous trouvez partout ses livres sur les comptoirs et dans les antichambres. Cela fait en somme un succès très réel, quelque populaire et de mauvais ton qu’il soit.

Deux nouveaux petits volumes carlistes : Louise[2], soi-disant de madame la duchesse de G… et les Souvenirs de France et d’Écosse[3], par M. Jadin, viennent aussi tout récemment de se produire. En conscience, ceux-ci ne valent même plus leurs aînés, l’Éméraude et le Saphir. Il faut cependant citer ici ces innocens in-dix-huit, non pas seulement pour mémoire, mais à l’intention des fidèles, qui font collection de ces livres-là comme œuvre pie et méritoire. On peut dire d’ailleurs, à l’éloge de ces histoires enfantines, qu’en son bon temps M. Bouilly n’a fait jamais mieux.

Voici maintenant un fort beau volume. Le Manoir de Beaugency[4]. On attribue cet ouvrage à une femme, à une femme jeune même et par conséquent bien jolie. — Oh ! Madame, lui dirons-nous donc, cela nous attriste vraiment, que vous ayez fait ce livre. Ce n’est pas que vous n’y ayez mis beaucoup du charme de votre esprit, et des émotions de votre cœur. Mais vous avez mal placé tant de qualités précieuses. Pourquoi donc, vous aussi, vous êtes-vous jetée dans la cohue des imitateurs de Walter-Scott ? Pourquoi donc, en ressouvenir de lui, nous avoir aussi donné votre Meg ? Pourquoi nous avoir menés à la cour d’Isabelle de Bavière ? Allez, vous ne vous y êtes pas trouvée vous-même à l’aise. N’y retournez plus, cela vous gêne. Et je vous en prie, madame, donnez-nous vite un autre livre tout de vos impressions et de votre âme.

Mais ce livre-ci : Sous les tilleuls[5] de M. Alphonse Karr, c’est bien un roman qui veut être un roman du cœur, et qui le veut un peu trop, il est possible. Quoi qu’il en soit, c’est le coup d’essai d’un jeune homme, et c’est un brillant début. À peine avons-nous eu le temps de lire cet ouvrage qui n’a paru qu’hier. Nous ne voulons donc pas le juger absolument sur une première impression, mais nous en reparlerons, et, à son propos, nous examinerons une question de style assez importante.

Une brochure volumineuse, intitulée de la Domination française en Afrique[6], mérite encore assurément d’être distinguée. L’auteur de cet excellent écrit, M. Paul Raynal, a fait la campagne d’Alger. Son travail plein de faits observés sur les lieux, et qui le rendent intéressant pour tous, tire encore une grande importance des vues sages qu’il contient, et des améliorations qu’il indique dans le système d’administration de cette colonie naissante vers laquelle se tournent aujourd’hui tant de spéculations et d’intérêts.

Nous devons bien enfin maintenant quelques mots à nos poètes de la quinzaine.

M. Édouard Alletz, connu par plusieurs ouvrages consciencieux dont nous avons parlé déjà dans cette revue, publie en ce moment, sous le titre d’Études poétiques du cœur humain, un recueil de poésies qui fait suite en quelque sorte à ses précédents travaux, et vient les compléter. Nous regrettons que la place nous manque pour en citer quelques fragmens.

Au passage de M. de Lamartine à Marseille, et parmi les hommages dont l’élite de cette poétique cité a salué le départ de l’illustre voyageur, on a distingué une ode de M. Joseph Autran, dont nous citerons les strophes suivantes, qui se recommandent par un mouvement plein de naturel et d’harmonie :

Et cependant il est quelques âmes encore
Qu’un beau nom fait vibrer, quelques fronts que colore
À l’aspect de ton front un reflet radieux !
Il est de jeunes cœurs qui t’aiment, ô Poète !
Et de vivans échos dont la bouche répète
Tes chants qui sont eux même un pur écho des cieux !

Ceux-là, lorsque tes pas visitent leur enceinte,
Lèvent vers toi leurs yeux où l’allégresse est peinte,
Et de plus près enfin leur cœur s’est épanché,
Lorsqu’ils ont contemplé ce bienfaisant génie
Dont ils ne connaissaient encore l’harmonie
Que comme un don venu d’un bienfaiteur caché.

Et quand leurs longs regards sur la vague lointaine
Auront vu s’abaisser la voile qui t’entraîne,
Et l’horizon douteux prêt à la submerger,
Ils diront : Que le ciel lui soit doux, et que l’onde
Transporte sans malheur ce mortel cher au monde
Au rivage étranger !

Ne terminons pas sans accorder encore une mention honorable à un modeste recueil de poésies qui se présente à nous sous le titre de Souvenirs de guerre[7]. L’auteur, qui ne dit pas son nom, est un soldat de la vieille armée. Ses vers sont quelque peu négligés, mais on y trouve de la vraie chaleur, on y respire bien l’odeur de la poudre. Nous n’osons vraiment pas promettre une grande fortune à ces chants nationaux et militaires qui valent pourtant bien assurément ceux de M. Casimir Delavigne. Et cependant les Messéniennes sont proclamées ouvrage classique par l’Université. Concurremment avec Racine et Corneille, cela se donne maintenant en prix dans les collèges.


jacques lerond.
  1. Chez Ch. Gosselin.
  2. Chez Urbain Canel.
  3. Idem.
  4. Chez Mame-Delaunay
  5. Chez Ch. Gosselin.
  6. Chez Doudey-Dupré.
  7. Chez Delaunay.