Contes des fées/Épilogue
Apparence
EPILOGUE
La ruse n’en est pas nouvelle :
— Le vieux Conteur que j’ai cité
N’a jamais encore existé
Autre part que dans ma cervelle.
Tout ce que je vous en ai dit
Est pour donner à chaque conte
Que j’invente et que je raconte
Plus de force et plus de crédit.
Je connais la nature humaine,
Et sais qu’un poète inconnu
N’en serait autrement venu
A vous mener où je vous mène.
9 novembre 1880.