Correspondance 1812-1876, 5/1864/DLXVII
Apparence
DLXVII
À M. NOËL PARFAIT, À PARIS
Palaiseau, vendredi, juillet 1864.
Eh bien, mon cher parrain[1], avez-vous lu le roman terrible[2] ? Puis-je savoir votre avis ?
Viendrez-vous en causer avec moi, en acceptant mon petit dîner de Palaiseau ; ou, si vous n’avez pas le temps, irai-je à Paris le jour que vous m’indiquerez ? Je voudrais bien connaître votre jugement, ô juge impeccable, et pouvoir m’y appuyer.
Pardonnez-moi mon impatience, et comprenez-la.
À vous de cœur.
GEORGE SAND.