Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 2/0295
295. À LOUISE COLET.
Samedi, 8 heures.
J’ai reçu tantôt un rendez-vous de Duplan (pour la Revue des Deux-Mondes) m’indiquant ce soir même à 8 h. ½.
Je ne puis, par conséquent, t’aller voir, chère amie. À demain donc. Je viendrai de bonne heure, vers 4 ou 5 heures et resterai jusqu’au soir.
Le souvenir d’hier ne sera pas des plus mauvais.
Travaille bien ce soir ; que La Muse me remplace et te serre aussi fort.
Adieu, à demain.
À toi.