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Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0810

La bibliothèque libre.
Louis Conard (Volume 5p. 170-171).

810. À SA NIÈCE CAROLINE.
Paris, mercredi matin [avril 1865].
Mon Bibi,

C’est demain soir à 6 heures que j’ai rendez-vous chez Perrin pour savoir si j’aurai des billets ; donc demain soir ou vendredi matin, terme de rigueur, vous recevrez une dépêche qui vous apprendra si j’aurai, oui ou non, des places.

Si l’on ne m’en donne qu’une, et pour moi, que faire ? J’y suis retourné (à l’Opéra) hier. Les stalles d’orchestre sont à des prix fabuleux.

Quelle chaleur !

Je t’embrasse bien fort.

Ton vieux ganachon d’oncle.