Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 6/1067

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Louis Conard (Volume 6p. 75-76).

1067. À PHILIPPE LEPARFAIT.
Lundi 5 h.

Hier matin, pendant que je te croyais à Évreux, j’ai reçu une lettre de Duquesnel qui me dit de venir « maintenant » pour régler les costumes, les décors et les coupures, puis de revenir dans une dizaine de jours pour le commencement des répétitions. Dans cette lettre, il me dit qu’il m’attend lundi (aujourd’hui) ou mardi. Je lui ai répondu qu’il aurait ta visite en même temps que ma lettre et il ne va pas savoir ce que tout cela signifie.

Bref, je fais mes paquets dès ce soir et je pars définitivement pour Paris, dès que je t’aurai vu. Donc, accours me dire adieu et convenir de nos résolutions.

À toi,

Ton G. Flaubert.
Mardi matin.
Paix des Neiges

7e quatrain.

2

« parmi les fraîches importunes »

fraîches ? je ne peux pas lire ; je ne comprends pas.

Est-ce : « Je suis sur le courant des âges !..

Je ne sais pas où est Delattre.

Boulevard Saint-Michel, sans doute, ou plus probablement à la campagne… À la chasse ! Le délire de la chasse.

À toi.

Qui est un sieur Clément, rue Grosse-Horloge ?