Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1782
1782. À AUGUSTE HOUZEAU[1].
[Croisset, début de janvier 1879.]
Convenu, cher ami ! Le 12 janvier prochain, je vous attends pour déjeuner avec les bons petits camarades. Ce matin, j’ai prévenu Laporte.
Je dois avoir laissé chez vous une canne en bois d’oranger. Mais n’en ayez souci, je la ferai prendre ou irai la prendre.
Tout à vous.
- ↑ Chimiste, professeur à Rouen.