Correspondance de Voltaire/1739/Lettre 1211
Apparence
Correspondance de Voltaire/1739
1211. — À M. L’ENVOYÉ DE…[1].
À Paris, le 18 octobre.
J’avais pour, monsieur, qu’il n’entrât trop d’amour-propre dans le plaisir que m’a fait la traduction italienne de la Henriade de M. Nenci ; mais puisque vous en êtes content, je ne dois plus douter du jugement que j’en ai porté, et je n’ai qu’à remercier l’auteur qui m’a embelli. Je compte avoir l’honneur de vous faire ma cour dès que j’aurai un peu de santé. Vous connaissez mon tendre et respectueux attachement pour vous.
- ↑ Éditeurs, de Cayrol et François.