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Correspondance de Voltaire/1752/Lettre 2492

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Correspondance de Voltaire/1752
Correspondance : année 1752, Texte établi par Condorcet, GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 37 (p. 548).

2492. — À M. LE CHEVALIER DE LA TOUCHE[1].

Ce n’est pas sans raison, monsieur, qu’on m’avait dit que vous êtes le plus généreux de tous les hommes. Je l’éprouve bien dans le malheur horrible que j’éprouve pour une bagatelle. Ce malheur est beaucoup augmenté depuis la visite dont vous m’avez honoré. Oserai-je vous supplier de vouloir bien envoyer demain, avant dîner, votre secrétaire d’ambassade chez un homme que ni sa maladie ni sa situation ne laissent en état de venir vous assurer de son respect et de sa tendre reconnaissance ? V.


Jeudi au soir[2].

  1. Éditeur, Th. Foisset.
  2. Sans doute 28 décembre 1752.