Correspondance de Voltaire/1753/Lettre 2618

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Correspondance de Voltaire/1753
Correspondance : année 1753GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 38 (p. 91).

2618. — À M. ***[1].

Je vous demande mille pardons, monsieur, de la liberté que prend ma pauvre nièce. Pardonnez à une pauvre femme en larmes. Je suis bien loin de pouvoir être dans votre voisinage. Je suis très-malade ; si je peux me traîner demain chez vous, j’irai vous remercier de toutes vos bontés et vous en demander la continuation. V.

  1. Éditeur, Th. Foisset.

    – Ce billet est autographe ; mais la suscription n’existe plus. On ignore comment il s’est trouvé en la possession du chevalier de La Touche.


    Il est peut-être adressé à M. James de La cour, chez lequel Voltaire se faisait adresser à Francfort sa correspondance intime. (Th. F.)