Correspondance de Voltaire/1755/Lettre 2876
Apparence
Correspondance de Voltaire/1755
2876. — À M. TRONCHIN DE LYON[1]
11 février 1755.
Je ne sais encore, monsieur, si c’est vous, ou monsieur votre très-aimable frère, ou M. Labat, qui achète ce qu’on appelle Saint-Jean, et ce que j’appelle les Délices ; mais je désire fort l’acquérir.
- ↑ Revue suisse, 1855, page 276.