Correspondance de Voltaire/1759/Lettre 3816
Correspondance de Voltaire/1759
3816. — À M. BERTRAND.
26 mars.
Vite, la poste part. Il faut, mon cher ami, que je vous remercie du fond de mon cœur ; il faut que vous épuisiez votre éloquence pour faire valoir tous les sentiments de ma reconnaissance, et mes tendres et respectueux remerciements à M. de Freudenreich et à M. de Bonstetten.
Comment va le Mémoire pour Lyon[1] ? Ne pourriez-vous point me communiquer aussi un certain livre sur les Tremblements[2] ? Il me semble qu’il figurerait très-bien dans une académie des sciences. Je vous embrasse ; je suis à vous pour la vie. V.
Point de nouvelles aujourd’hui du Portugal. Point de jésuite de pendu. La justice est lente.