Correspondance inédite de Hector Berlioz/133
Texte établi par Daniel Bernard, Calmann Lévy, éditeur, 1879 (2e éd.) (p. 316).
CXXXIII.
À M. DAMCKE.
26 avril [1865 ? ].
Mon cher ami, ne m’attendez pas pour aller au concert hongrois. Je suis trop bien portant aujourd’hui et je veux rester tranquille. On ne vit qu’une fois… et encore !