De la Seine à la Volga/Chapitre VIII/1
• • • }. ;.f~.. .- .n~ :PAllT o~ ; llELFORT . CHAPITRE V I11 LA VOLGA EN BICYCLETTE DE BELFORT A SA I 5T-PiTE RSBOTJRG Quatre années de ma vie s’étaientdéjà écoulées à Belfort, dans un bureau. Dans ce cadre étroit du service de place et de subdivision imposé à l’officier d’état-major, ma pensée n1e semblait investie, emprisonnée. Quelques rares et très courtes manœuvres étaient seules venues troubler ce long sommeil. Je luttais de toutes mes forces p our m ’arracher à cette torpeur, n1ais les excut·sions à pied, à cheval, à bicyclette, dans les Vosges, dans le Jura pendant l’été, les longu es séances de patinage en h iver n e m e suffi saient plus. J’éprouvais un besoin pressant de changer d’air, de m e retremper dans une vie plus miliPage:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/163 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/164 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/165 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/166 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/168 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/170 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/171 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/172 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/173 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/174 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/175 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/176 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/177 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/178 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/179 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/180 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/181 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/182 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/183 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/184 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/185 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/186 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/187 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/188 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/189 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/190 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/191 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/192 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/193 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/194 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/195 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/196 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/197 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/198 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/199 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/200 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/201 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/202 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/203 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/204 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/205 Je vendis pour soixante roubles (cent quatre-vingts francs) mon vélocipède à un peintre qui n’était jamais monté sur un instrument de ce genre, mais que mon voyage avait rempli d’enthousiasme. Enfin, tout se trouva prêt pour la seconde partie de mon voyage, et, non sans une certaine appréhension, je partis pour traverser cette grande Russie dont je ne savais presque rien, et où, d’après les Allemands civilisés des provinces baltiques, je devais rencontrer toute sorte d’ennuis de la part de la poiice soupçonneuse, et de dangers au milieu de populations ignorantes.