Paradis-au-Marais (rue de).
C’était encore en 1250 un chemin que l’enceinte de Philippe-Auguste avait enfermé dans la ville. Dès l’année 1291, on l’appelait rue de Paradis ou des Jardins ; elle devait cette première dénomination, qui a prévalu, à une enseigne représentant le Paradis. — Une décision ministérielle du 23 ventôse an X, signée Chaptal, fixa la moindre largeur de cette voie publique à 9 m. Cette moindre largeur a été portée à 10 m. en vertu d’une ordonnance royale du 27 septembre 1826. Les bâtiments du Mont-de-Piété et les maisons nos 13 et 4 sont alignés. — Bassin d’égout. — Conduite d’eau entre les rues Vieille-du-Temple et des Guillemites. — Éclairage au gaz (compe Lacarrière).
Conformément à un projet publié en vertu d’un arrêté préfectoral du 22 avril 1843, la largeur de la rue de Paradis serait portée à 13 m.