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Dictionnaire de théologie catholique/PIERRE LOMBARD/V. Conclusion générale

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Dictionnaire de théologie catholique
Letouzey et Ané (Tome 12.2 : PHILOSOPHIE - PREDESTINATIONp. 290-292).
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V.Conclusion générale. Ce qui vient d’être dit sur les vicissitudes des IV libri Sententiurum et l’appréciation de leur méthode et de leur contenu théologique explique eu grande partie leur succès et la nature de leur influence. Il suffira de ramener a quelques chefs principaux ces données éparses.

Beaucoup d’appréciations oui été émises, qui ne concordent pas toujours, aussi bien sur la valeur intrinsèque du livre que sur les causes de son succès ; il en est de trop élogieuses qui associent Pierre Lombard

aux grands docteurs du Moyen Age, Albert le Grand et Thomas d’Aquin ; il en est de simplistes, comme celle de Wernle, qui attribuait à peu près au hasard sa vogue dans l’enseignement, EinfiXhrung in dus theolo gische Studium, Tubingue, l (.)()8, p. 228.

Les caractères de l’ouvrage ne permettent nullement d’attribuer le génie à son auteur ; on l’a vu facilement plus haut. La comparaison avec divers de ses contemporains ni’lui est pas non plus avantageuse, ni pour la vigueur philosophique, ni pour la finesse dialectique, ni pour la compréhension personnelle ou pieusement approfondie du dogme, ni pour la netteté des airs précis ou l’expression vigoureuse d’un esprit maître de sa pensée. Sans parler ici de saint Anselme de Cantorbéry, Pierre Lombard est inférieur, par un au moins de ses côtés, à Gilbert de La Porrée, à Pierre Abélard, à Hugues de Saint-Victor, à l’auteur de la Summa Sententiarum, à Robert de Melun, et à d’autres qui succèdent à sa génération dans les écoles. Mais, par contre, un haut ensemble de qualités moyennes et l’absence de caractéristiques trop spéciales donnent aux /V libri Sententiarum certains avantages, dont les circonstances du moment rehaussaient la valeur et qui lui assuraient pour l’enseignement scolaire une réelle supériorité. Régulièrement orthodoxe, en dehors des quelques opinions mentionnées ci-dessus, souvent marqué d’un réel sens théologique, soit dans une solution occasionnellement personnelle, soit dans le choix judicieux de son garant, fort réservé vis-à-vis des tendances dialectiques, en réalité moins peut-être qu’en apparence, indépendant de tout système philosophique, orné de qualités pédagogiques qui soutenaient l’intérêt, extraordinairement complet pour l’époque clans sa synthèse, parfaitement renseigné sur toutes les discussions et opinions du moment, ce qui pouvait stimuler l’initiative querelleuse des commentateurs, appuyé sur une documentation patristique supérieure à celle des contemporains, l’ouvrage de Pierre Lombard se présentait, dans la seconde moitié du xiie siècle, entouré de l’éclat qui avait accompagné le Maître, et muni de tout un ensemble d’avantages qu’on trouvait rarement réunis. Des qualités plus rares ou plus brillantes, qui pouvaient imposer d’autres œuvres à l’attention, auraient trouvé ailleurs leur rançon ; sa réserve trop impersonnelle devant les solutions avait au moins l’avantage de laisser le jeu libre à l’originalité du commentateur.

On ne peut perdre de vue non plus que les circonstances historiques contribuaient à mettre en valeur le nouvel ouvrage. Le magister était devenu episcopus, au siège même de Paris ; il eut tout de suite pour principal protagoniste Pierre de Poitiers, qui composa son commentaire avant 1175 et fut chancelier des écoles de Paris jusqu’en 1205 ; puis, l’auréole que lui donna le décret du concile du Latran en 1215 assura définitivement son triomphe. Mais, avant cela, la manière dont il est accueilli, attaqué ou défendu, montre qu’il attirait les regards tout autrement qu’une œuvre scolaire ordinaire.

L’influence qu’il a eue est plus difficile à délimiter et à apprécier, car le jeu des commentateurs est pour une part appréciable, souvent prépondérante, dans les inconvénients ou les avantages dont son œuvre a été l’occasion. C’est surtout par son programme théologique qu’il a continué à régner jusqu’aux temps modernes, les exposés d’ensemble systématiques et les manuels de dogme n’ayant que tardivement fait place à des traités que ne connaissait pas le livre de Pierre Lombard, comme le De Ecelesia, ou que ne réclamaient pas encore les controverses ultérieures, comme le Dr romano pontifiee. Cette lacune est d’autant plus étonnante que les traités généraux des canonistes, déjà chez Gratien, ont des pages intéressantes sur l’Église, (H8

les membres de l'Église, etc., et que, plus tard, les traités spéciaux, comme ceux de Jacques de Viterbe et d’Augustin Triumpho, à l'époque de Philippe le Bel el de Louis de Bavière, émanés de théologiens ou de canonistes, présentaient une matière toute prête pour entrer dans un programme d’ensemble. La Somme contre les gentils de saint Thomas a donné un exemple peu’ou pas suivi.

L’exposé dialectique, réduit chez le Magister, a rapidement débordé des cadres où il l’avait restreint, ce que Pierre le Chantre, Verbum abbreviatum, 3, P. L., t. cev, col. 28-29, Etienne de Tournai, Lettres d’Etienne de Tournai, édit. Desilve, Paris, 1893, lettre cclxxiv, p. 344-345, dans P. L., epist. ccli, t. ccxi, col. 517, et d’autres ne tarderont pas à déplorer. Mais plus tard, l’idée philosophique est venue féconder la synthèse dogmatique ; ce qui vaut mieux.

La documentation patristique n’a malheureusement pas suivi la voie de progrès ouverte par Pierre Lombard. Son livre est pris comme arsenal de textes, et ceux-ci, trop souvent, deviennent desséchés et sans vie en s’isolant des originalia, comme on disait alors ; les exceptions chez les théologiens suivants sont rares, l’information patristique s’appauvrit, l’herméneutique ne progresse pas ou guère au delà des eadem verba in diversis signifteationibus exposés ci-dessus.

En se dissociant des éléments dus à l’espace et au temps, la théologie a remplacé aussi par quelque chose de plus absolu, de plus général et de plus indépendant des circonstances, le caractère occasionnel ou fragmentaire qui s’accuse dans beaucoup des œuvres patristiques ; à plus d’un égard, c’est un gain. Mais la tournure scolaire, qu’elle a prise à la place, la différencie totalement aussi du caractère pastoral, de la note pieuse et du ton religieux qui faisait le grand attrait éducateur des traités patristiques. L'évêque instruisait alors son peuple ; une partie de cet enseignement passe désormais aux écoles qui en modifient le programme et la méthode. La théologie y devient plus technique, plus précise ; en un sens, c’est un progrès, à condition que chacun refasse pour soi la synthèse de ces divers éléments dissociés ; mais, chez beaucoup, en raison même de la diminution d’attention donnée à la valeur religieuse du dogme, elle perd de sa fraîcheur et prend une forme qui l’empêche de s’emparer aussi foncière ment de l'âme humaine et chrétienne. Sans doute, le changement se faisait dès avant Pierre Lombard et sans lui. On ne peut pas en rendre celui-ci responsable, bien que son livre se prêtât à accentuer cette tendance. Il faut, au contraire, reconnaître que sa modération dialectique, la richesse patristique, l’ampleur de son programme, l’orthodoxie de son enseignement et maintes fois son sens théologique ont apporté un sérieux élément de progrès, dans les circonstances où il parut, et justifient l’appréciation d’un des Pères du concile de Trente qui range Pierre Lombard parmi les « doctores benc merilos de Ecclesia ». Concilium Tridenlinum. t. v. 1911. p. 155, lig. in.

I. Textes.

Livre des Sentences : Pétri Lombardi libri IV Sententiariim, studio et cura PP. Collegii S. Bonnventuræ in lucem edili, 2 vol., Quaracchi, 1916 ; l re édit. dans le commentaire de saint Bonaventure, S. Bonavenlurie opéra omnia, Quaracchi, t. i-iv, 1883-1889 ; dans P. L., t. cxcii, col. 519-964, ainsi que dans son édition de la Summa theologica divi Thomæ Aquinalis, Paris, 1841, au début du t. i, col. 11-454, reproduit la réimpression de l'édition de Jean Aleaume, faite à Anvers en 1757. — Texte des gloses sur les psaumes, P. L., t. cxci, col. 55-1296. — Texte des gloses sur les épîtres de saint Paul, ibid., col. 1297-1696 et t. cxcii, col. 9-520.

II. Ouvrages généraux.

1° Bibliographes ancien* et . historiens des littératures, des diocèses, des universités, etc. —

Bellarmin, De scriploribus ecclesiasticis, Cologne, 1631,

p. X~> ; C. Oudin, Commentarius de scriploribus Ecclesia : antiquUs, t. ii, Leipzig, 1722, col. 1202-1206 ; G. Cave, Scriplorum ecclesiasticorum historia lilteraria, t. ii, Oxford, 1743, p. 216 ; J.-A. Fabricius et J.-D. Mansi, Bibliotheca latina mzdiæ el infime ietatis, t. v, Padoue, 1754, p. 26 4-265 ; Histoire littéraire de la France, t.xii, Paris, 1830, p. 585-609 ; R. Ceillier, Histoire générale des auteurs sacrés et ecclésiastiques, t. xxiii, Paris, 1763, p. 14.

G. Tiraboschi, Sloria délia litteratwa italiana, Florence, 1805-1813, t. m b, p. 207-304 ; L.-A. Cotta, Museo Xovarese, Milan, 1701, p. 2>7-258 ; G. Ferrari, Opéra, t. iv, Milan, 1791, p. 370-384 (Patria di Pier Lombard » ).

G. Dubois, Historia Ecclesix Parisiensis, t. ii, Paris, 1710, p. 123 ; Gallia christiana, t. vii, Paris, 1744, col. 68-70.

C.-E. Du Boulay (Bulœus), Historia universitalis Parisiensis, t. ii, Paris, 1665, p. 324 et 326 ; Sarti et Fattorini, De Claris archigymnasii Bononiensis professoribus, t. i b, Bologne, 1772, p. 4-5, ou édit. Albicini et Malagola, Bologne, 1888-1896, t. i, p. 622-623.

2° Historiens récents de la littérature médiévale, des universités, de la philosophie, de la théologie ou du dogme. — H. Hurter, Nommclalor, 3e édit., t. ii, 1906, p. 114-115 ; M. Grabmann, Die Geschichte der scholastischen Méthode, 2 vol., t. ii, Fribourg-en-Br., 1911, p. 359-407 ; du même, Die Geschichte der katholischen 7'heologie seit dem Ausgang der Vàlerzeil, Fribourg-en-Br., 1933, p. 40-46 et 290 ; J. de Ghellinck, S. J., Le mouvement théologique du XIIe siècle, études, recherches et documents, Paris, 1914, p. 75-24-4 et passim ; F. Cayré, Précis de patrologie, t. ii, Paris, 1930, p. 452-458 ; Manitius, Geschichte der laleinischen Literatur des Miltelalters, t. iii, Munich, 1931, p. 151.

P. Féret, La faculté de théologie de Ptu-is et ses docteurs les plus célèbres. Moyen Age, t. i, Paris, 1894, p. xii et vi et passim ; Hastings Rahsdall, The universities of Europe in the Middle Ages, t. i, Oxford, 1895, p. 56 sq., 270 sq., 128 sq. ; H. Denifle, O. P., Die Universilàten des Miltelalters bis 1400. i. Die Enlstehung der Universilàten des M. A. bis 1400, Berlin, 1885, p. 655 sq. ; du même, Abdlards Sentenzen und die Bearbeitungen seiner Theologia vor Mille des XII. Jalurhunderts, dans VArchiv für Lit. u. Kirchengeschichte des M. A., t. i, ' 1885, p. 402-469 et 584-624 ; du même, Ergdnzungsband I zu Denifle’s Luther und Lutherlum, Quellenbelege, Mayence, 1905, p. 358-366 ; du même, Quel livre servait de base à l’enseignement des miitres en théologie dans l’université de Paris ? dans Revue thomiste, t. ii, 1894, p. 149-162 ; Bourgain, La chaire française au XIIe siècle, Paris, J879, p. 169-193.

M. de Wulf, Histoire de la philosophie médiévale, 5e édit., t. i, Louvain, 1924, p. 192-197 et passim ; B. Geyer, Ucberiveg’s Grundriss der Geschichte der Philosophie der… scholastischen Zeil, t. ii, Berlin, 1928, p. 272-276 ; J. Bach, Die Dogmmgeschichle des Miltelalters vom christologischen Standpunkte, t. ii, Vienne, 1875, p. 192-194 et 390-446 ; O. Baltzer, Beilràge zur Geschichte des christologischen Dogm’is im XI. und XII. Jahrhunderl, dans Studien zur Geschichte der Théologie und der Kirche, t. n a, Leipzig, 1898 ; Loofs, Leilfaden zum Sludium der Dogmengzsehichle, 4e édit., Halle, 1906, p. 520, 527, 528, 541-543, etc. ; Seeberg, Lehrbuch der Dogmzngischichle, Leipzig, 3e édit., 1930, p. 196-202 et passim ; ces deux derniers beaucoup mieux renseignés et plus exacts que A. Harnack, Lehrbuch der Dogmengeschichb-, 4° édit., t. iii, Tubingue, 1910, p. 373 sq., 412, 618, etc.

III. Études monographiques.

- 1° Articles d’encyclopédies. — Morgott, dans Kirchenlexikon, 2e édit., t. ix, Fribourg, 1895, col. 1916-1923 ; Seeberg, dans Protest. Realencyklopiidie, t. xi, Leipzig, 1902, p. 630-642 ; J. de Ghellinck, dans The catholic encyclopxdia, t. xi, New-Ybrk, 1911, p. 768-769 ; Ersch et Gruber, dans Allgem ?ine Encyklopàdie der Wissenschaften und Kunste, iiie section, t. xix, Leipzig, 1844, p. 396-397 ; Encyclopxdia britannica, 11° édit., t. xxi, Londres, 1910, p. 293 ; Migne, Dictionnaire de patrologie, t. iii, Paris, 1854, col. 1126-1140.

Éludes spéciales.

F. Protois, Pierre Lombard,

évêque de Paris, dit le Maître des Sentences. Son époque, sa vie, ses écrits, son influence, Paris, 1880 ; les Prolegomena de l'édit. de Quaracchi, Pétri Lombardi libri IV Sententiarum, t. i, 1916, citée plus haut, p. v-lxxx ; Espenberger, Die Philosophie des Pelrus Lombardus und ihre Slellung imXII. Jahrhundert. Munster, 1901, dans les Beilràge zur Geschichte der Philosophie des Miltelalters de Bàumker, t. iii, fasc. 5 ; O. Baltzer, Die Sentenzen des Peints Lombardus, Leipzig, 1902, dans les Studien zur Geschichte der Théologie und Kirche, t. viii, tasc. 3 ; Bresch, Essai sur les « Sentences » de

Pierre Lombard, Strasbourg, 1857 i Mignon, Le « Tractâtes théologiens et Pierre Lombard, dans la Bévue des sciences siastiques t. util, 1890, p. 514-547 ; Mémoires de Tréooux, année 1759, p. 2641, et année 1764, p. 1238.

P. von Watter, Pic Sentenzen magistri Gandulphi de Bononia, Vienne. 1924, p. xxxiii-lvii ; J. Annat, Pierre Lombard et ses sources palrisliques, dans Bulletin de littérature ecclésiastique, 1906, p. 84-95 ; Fr. Pelster, S. J., Wann bat Petrus Lombardus die l.ibri IV Sententiarum « oollendet ? dans Gregorianum, t. ii, 1921, p. 387-392 ; du même, Dos oermeintliche Original der Sentemen des Petrus Lombardus, dans Scholastik, t. v. 1930, p. 569-573 ; A. Landgraf, Kannte Langlon das Original der Colleclanea des Lombarden ? dans Becherches de théologie ancienne et médiévale, t. iii, 1931, p. 72-75 ; J. de Ghellinck, La carrure de l’ierre Lombard. Quelques précisions chronologiques, dans la Benne d’histoire ecclésiastique, t. xxvil, 1931, p. 792-83(1 ; du même, Les Opéra dubia oel spuria attribués à Pierre Lombard. danBévue d’hist. eccl., t. xxviii, 1932, p. 829-845 ; du même, Les notes marginales du » Lifter Sententiarum », ibid., t. xiv, 1913, p. 511-536 et 705-719 ; du même, Le traité de Pierre Lombard sur les sept ordres ecclésiastiques. Ses sources, ses copistes, ibid., t. x, 1909, p. 290-302, 720-728, et t. xi, 1910, p. 29-46 ; du même, Lu carrière de l’ierre Lombard. Nouvelle précision chronologique, ibid., t. xxx, janv. 1924 ; du même, I. « reviviscence des péchés pardonnes à l'époque de Pierre Lombard et de Gandulphe de Bologne, dans la Nouvelle revue théologique, t. xii, 1909, p. 404-108 ; . Debie, La première distinction du De ptenilenlia « de Gratien, danBeo. d’hist. eccl., t. xv, 1914-1920, p. 251273 et 442-455 ; J. de Blic, .Sur la récente édition de Gandulphe de Bologne : Pierre Lombard est-il pour Gandulphe une auctorilas » ? dans les Becherches de science religieuse, t. xvi, 1926, p. 407-415 ; F. M. Cbossat, S. J., La « Somme des Sentences », œuvre de Hugues de Mortagne vers 1155 (Spicilegium sacrum Lovaniense, iasc. 5), Louvain, 1923, l>. 1-19, et passim ; A. Landgraf, nombreuses études parues dandiverses revues et mentionnées au cours de l’article pour la partie biographique, historico-littéraire et théologique ; Facombe, Beryll Smalley, item, surtout pour la partie d’histoire littéraire ; Lottin, item, surtout pour la pai tic théologique ; Hameau, Notices et extraits de quelques manuscrits, etc. mentionne plus haut, dans la partie des sermons.

I. Schupp, Die Gnadenlehre des Petrus Lombardus, dans les l’reiburger theologische Studien, Fribourg-en-Br., t. xxx v, 1932 ; Fr. Zigon, Der Begrif) der Caritas beim Lombarden, und der hl. Thomas, dans Divus Thomas, Fribourg, t. iv, 1926, p. 404-424 ; I. Stuller, S..[., Petrus Lombardus und Thomas non Aquin uber die Xatur der t Caritas », dans Zeitschrift jur katholische Théologie, t. I.I, 1927, p. 399-108 ; J, Seipel, Die Lehre von der gottlichen Tugend der I.iebe in des Petrus Lombardus Bùchern der Sentenzen und in der Somma theologica des hl. Thomas von Aquin, dans Der Katholik, t. lxxxvi. 2' part., 1900, p. 37-49 et 190-201 ; J. Cavallcra, Saint Augustin et le Livre des Sentences de Pierre Lombard, dans Archives de philosophie, t. vii, 2e ' part., 1930, p. 186(438 1-199 [451 ].

J. de Ghellinck.