Dictionnaire infernal/6e éd., 1863/Nombre deux
Apparence
Henri Plon, (p. 494).
Nombre deux. Depuis Pythagore, qui avait regardé le nombre deux comme représentant le mauvais principe, ce nombre était aux yeux de l’Italie le plus malheureux de tous ; Platon, imbu de cette doctrine, comparaît le nombre deux à Diane, toujours stérile, et partant peu honorée. C’est d’après le même principe que les Romains avaient dédié à Plu ton le deuxième mois de l’année et le deuxième jour du mois ; parce que tout ce qui était de mauvais augure lui était spécialement consacré.
Diverses croyances s’attachaient à quelques autres nombres. Voy. Neuf, etc.