Dictionnaire philosophique/Garnier (1878)/Amplification

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Éd. Garnier - Tome 17
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AMPLIFICATION[1].


On prétend que c’est une belle figure de rhétorique ; peut-être aurait-on plus raison si on l’appelait un défaut. Quand on dit tout ce qu’on doit dire, on n’amplifie pas ; et quand on l’a dit, si on amplifie, on dit trop. Présenter aux juges une bonne ou mauvaise action sous toutes ses faces, ce n’est point amplifier ; mais ajouter, c’est exagérer et ennuyer.

J’ai vu autrefois dans les collèges donner des prix d’amplification. C’était réellement enseigner l’art d’être diffus. Il eût mieux valu peut-être donner des prix à celui qui aurait resserré ses pensées, et qui par là aurait appris à parler avec plus d’énergie et de force ; mais en évitant l’amplification, craignez la sécheresse.

J’ai entendu des professeurs enseigner que certains vers de Virgile sont une amplification, par exemple ceux-ci (Æn., lib. IV, V. 522-29) :


Nox erat, et placidum carpebant fessa soporem
Corpora par terras, silvæque et sacva quierant
Æquora ; quum medio volvuntur sidéra lapsu ;
Quum tacet omnis ager, pecudes, pictæque volucres ;

Quæque lacus late liquidos, quæque aspera dumis
Rura tenent, sonino posite sub nocte silenti
Lenibant curas, et corda oblita laborum :
At non infelix animi Phœnissa.


Voici une traduction libre de ces vers de Virgile, qui ont tous été si difficiles à traduire par les poëtes français, excepté par M. Delille.


Les astres de la nuit roulaient dans le silence ;
Éole a suspendu les haleines des vents ;
Tout se tait sur les eaux, dans les bois, dans les champs ;
Fatigué des travaux qui vont bientôt renaître,
Le tranquille taureau s’endort avec son maître ;
Les malheureux humains ont oublié leurs maux ;
Tout dort, tout s’abandonne aux charmes du repos ;
Phénisse[2] veille et pleure !

Si la longue description du règne du sommeil dans toute la nature ne faisait pas un contraste admirable avec la cruelle inquiétude de Didon, ce morceau ne serait qu’une amplification puérile ; c’est le mot ut non infelix animi Phœnissa, qui en fait le charme.

La belle ode de Sapho, qui peint tous les symptômes de l’amour, et qui a été traduite heureusement dans toutes les langues cultivées, ne serait pas sans doute si touchante si Sapho avait parlé d’une autre que d’elle-même : cette ode pourrait être alors regardée comme une amplification.

La description de la tempête au premier livre de l’Énèide n’est point une amplification : c’est une image vraie de tout ce qui arrive dans une tempête ; il n’y a aucune idée répétée, et la répétition est le vice de tout ce qui n’est qu’amplification.

Le plus beau rôle qu’on ait jamais mis sur le théâtre dans aucune langue est celui de Phèdre. Presque tout ce qu’elle dit serait une amplification fatigante si c’était une autre qui parlât de la passion de Phèdre. (Acte 1er scène III.)


Athènes me montra mon superbe ennemi.
Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue.
Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ;
Je sentis tout mon corps et transir et brûler ;
Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,
D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables.


Il est bien clair que puisque Athènes lui montra son superbe ennemi Hippolyte, elle vit Hippolyte. Si elle rougit et pâlit à sa vue, elle fut sans doute troublée. Ce serait un pléonasme, une redondance oiseuse dans une étrangère qui raconterait les amours de Phèdre ; mais c’est Phèdre amoureuse, et honteuse de sa passion ; son cœur est plein, tout lui échappe.


Ut vidi, ut perii, ut me malus abstulit error !

Ecl., VIII, 41.


Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue.


Peut-on mieux imiter Virgile ?


Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ;
Je sentis tout mon corps et transir et brûler.

Peut-on mieux imiter Sapho ? Ces vers, quoique imités, coulent de source ; chaque mot trouble les âmes sensibles et les pénètre ; ce n’est point une amplification, c’est le chef-d’œuvre de la nature et de l’art.

Voici, à mon avis, un exemple d’une amplification dans une tragédie moderne[3] qui d’ailleurs a de grandes beautés.

Tydée est à la cour d’Argos, il est amoureux d’une sœur d’Électre[4] ; il regrette son ami Oreste et son père ; il est partagé entre sa passion pour Électre[5], et le dessein de punir le tyran. Au milieu de tant de soins et d’inquiétudes, il fait à son confident une longue description d’une tempête qu’il a essuyée il y a longtemps.


Tu sais ce qu’en ces lieux nous venions entreprendre ;
Tu sais que Palamède, avant que de s’y rendre,
Ne voulut point tenter son retour dans Argos
Qu’il n’eût interrogé l’oracle de Délos.
À de si justes soins on souscrivit sans peine :
Nous partîmes, comblés des bienfaits de Tyrrhène.
Tout nous favorisait ; nous voguâmes longtemps
Au gré de nos désirs, bien plus qu’au gré des vents ;
Mais, signalant bientôt toute son inconstance,
La mer en un moment se mutine et s’élance ;
L’air mugit, le jour fuit, une épaisse vapeur
Couvre d’un voile affreux les vagues en fureur ;
La foudre, éclairant seule une nuit si profonde,
À sillons redoublés ouvre le ciel et l’onde,
Et, comme un tourbillon embrassant nos vaisseaux.
Semble en source de feu bouillonner sur les eaux.
Les vagues, quelquefois nous portant sur leurs cimes.
Nous font rouler après sous de vastes abîmes,
Où les éclairs pressés, pénétrant avec nous,
Dans des gouffres de feu semblaient nous plonger tous ;
Le pilote effrayé, que la flamme environne,
Aux rochers qu’il fuyait lui-même s’abandonne.
À travers les écueils, notre vaisseau poussé,
Se brise et nage enfin sur les eaux dispersé.


On voit peut-être dans cette description le poëte qui veut surprendre les auditeurs par le récit d’un naufrage, et non le personnage qui veut venger son père et son ami, tuer le tyran d’Argos, et qui est partagé entre l’amour et la vengeance.

Lorsqu’un personnage s’oublie, et qu’il veut absolument être poëte, il doit alors embellir ce défaut par les vers les plus corrects et les plus élégants.


Ne voulut point tenter son retour dans Argos
Qu’il n’eût interrogé l’oracle de Délos.


Ce tour familier semble ne devoir entrer que rarement dans la poésie noble. « Je ne voulus point aller à Orléans que je n’eusse vu Paris. » Cette phrase n’est admise, ce me semble, que dans la liberté de la conversation.


À de si justes soins on souscrivit sans peine.


On souscrit à des volontés, à des ordres, à des désirs ; je ne crois pas qu’on souscrive à des soins.


Nous voguâmes longtemps
Au gré de nos désirs, bien plus qu’au gré des vents.


Outre l’affectation et une sorte de jeu de mots du gré des désirs et du gré des vents, il y a là une contradiction évidente. tout l’équipage souscrivit sans peine aux justes soins d’interroger l’oracle de Délos. Les désirs des navigateurs étaient donc d’aller à Délos ; ils ne voguaient donc pas au gré de leurs désirs, puisque le gré des vents les écartait de Délos, à ce que dit Tydée.

Si l’auteur a voulu dire au contraire que Tydée voguait au gré de ses désirs aussi bien et encore plus qu’au gré des vents, il s’est mal exprimé. Bien plus qu’au gré des vents signifie que les vents ne secondaient pas ses désirs et l’écartaient de sa route. « J’ai été favorisé dans cette affaire par la moitié du conseil bien plus que par l’autre » signifie, par tous pays, la moitié du conseil a été pour moi, et l’autre contre. Mais si je dis : « la moitié du conseil a opiné au gré de mes désirs, et l’autre encore davan- tage », cela veut dire que j’ai été secondé par tout le conseil, et qu’une partie m’a encore plus favorisé que l’autre.

« J’ai réussi auprès du parterre bien plus qu’au gré des connaisseurs » veut dire les connaisseurs m’ont condamné.

Il faut que la diction soit pure et sans équivoque. Le confident de Tydée pouvait lui dire : Je ne vous entends pas : si le vent vous a mené à Délos et à Épidaure, qui est dans l’Argolide, c’était précisément votre route, et vous n’avez pas dû voguer longtemps. On va de Samos à Épidaure en moins de trois jours avec un bon vent d’est. Si vous avez essuyé une tempête, vous n’avez pas vogué au gré de vos désirs ; d’ailleurs vous deviez instruire plus tôt le public que vous veniez de Samos. Les spectateurs veulent savoir d’où vous venez et ce que vous voulez. La longue description recherchée d’une tempête me détourne de ces objets. C’est une amplification qui parait oiseuse, quoiqu’elle présente de grandes images.


La mer.... signalant bientôt toute son inconstance.


Toute l’inconstance que la mer signale ne semble pas une expression convenable à un héros, qui doit peu s’amuser à ces recherches. Cette mer qui se mutine et qui s’élance en un moment, après avoir signalé toute son inconstance, intéresse-t-elle assez à la situation présente de Tydée, occupé de la guerre ? Est-ce à lui de s’amuser à dire que la mer est inconstante, à débiter des lieux communs ?


L’air mugit, le jour fuit ; une épaisse vapeur
Couvre d’un voile affreux les vagues en fureur.


Les vents dissipent les vapeurs, et ne les épaississent pas ; mais quand même il serait vrai qu’une épaisse vapeur eût couvert les vagues en fureur d’un voile affreux, ce héros, plein de ses malheurs présents, ne doit pas s’appesantir sur ce prélude de tempête, sur ces circonstances qui n’appartiennent qu’au poëte. Non erat his locus.


La foudre, éclairant seule une nuit si profonde,
À sillons redoublés ouvre le ciel et l’onde,
Et, comme un tourbillon embrassant nos vaisseaux,
Semble eu source de feu bouillonner sur les eaux.


N’est-ce pas là une véritable amplification un peu trop ampoulée ? Un tonnerre qui ouvre l’eau et le ciel par des sillons ; qui en même temps est un tourbillon de feu, lequel embrasse un vaisseau et qui bouillonne, n’a-t-il pas quelque chose de trop peu naturel, de trop peu vrai, surtout dans la bouche d’un homme qui doit s’exprimer avec une simplicité noble et touchante, surtout après plusieurs mois que le péril est passé ?

Des cimes de vagues, qui font rouler sous des abîmes des éclairs pressés et des gouffres de feu, semblent des expressions un peu boursouflées qui seraient souffertes dans une ode, et qu’Horace réprouvait avec tant de raison dans la tragédie (Art poét., v. 97) :


Projicit ampullas et sesquipedalia verba.
 
Le pilote effrayé, que la flamme environne.
Aux rochers qu’il fuyait lui-même s’abandonne.


On peut s’abandonner aux vents ; mais il me semble qu’on ne s’abandonne pas aux rochers.


Notre vaisseau poussé... nage dispersé.


Un vaisseau ne nage point dispersé ; Virgile a dit, non en parlant d’un vaisseau, mais des hommes qui ont fait naufrage (Én., liv. I, vers 122) :


Apparent rari nantes in gurgite vasto.


Voilà où le mot nager est à sa place. Les débris d’un vaisseau flottent et ne nagent pas. Desfontaines a traduit ainsi ce beau vers de l’Énéide : « À peine un petit nombre de ceux qui montaient le vaisseau purent se sauver à la nage. »

C’est traduire Virgile en style de gazette. Où est ce vaste gouffre que peint le poëte, gurgite vasto ? où est l’apparent rari nantes ? Ce n’est pas avec cette sécheresse qu’on doit traduire l’Énéide : il faut rendre image pour image, beauté pour beauté. Nous faisons cette remarque en faveur des commençants. On doit les avertir que Desfontaines n’a fait que le squelette informe de Virgile, comme il faut leur dire que la description de la tempête par Tydée est fautive et déplacée. Tydée devait s’étendre avec attendrissement sur la mort de son ami, et non sur la vaine description d’une tempête.

On ne présente ces réflexions que pour l’intérêt de l’art, et non pour attaquer l’artiste.


.... Ubi plura nitent in carmine, non ego paucis
Offendar maculis.

Hor., de Art. poet.


En faveur des beautés on pardonne aux défauts.

Quand j’ai fait ces critiques, j’ai tâché de rendre raison de chaque mot que je critiquais. Les satiriques se contentent d’une plaisanterie, d’un bon mot, d’un trait piquant ; mais celui qui veut s’instruire et éclairer les autres est obligé de tout discuter avec le plus grand scrupule.

Plusieurs hommes de goût, et entre autres l’auteur du Tèlèmaque, ont regardé comme une amplification le récit de la mort d’Hippolyte dans Racine. Les longs récits étaient à la mode alors. La vanité d’un acteur veut se faire écouter. On avait pour eux cette complaisance ; elle a été fort blâmée. L’archevêque de Cambrai prétend que Théramène ne devait pas, après la catastrophe d’Hippolyte, avoir la force de parler si longtemps ; qu’il se plait trop à décrire les cornes menaçantes du monstre, et ses écailles jaunissantes, et sa croupe qui se recourbe ; qu’il devait dire d’une voix entrecoupée : « Hippolyte est mort : un monstre l’a fait périr ; je l’ai vu, »

Je ne prétends point défendre les écailles jaunissantes et la croupe qui se recourbe ; mais en général cette critique souvent répétée me paraît injuste. On veut que Théramène dise seulement: « Hippolyte est mort : je l’ai vu, c’en est fait. »

C’est précisément ce qu’il dit, et en moins de mots encore... « Hippolyte n’est plus. » Le père s’écrie ; Théramène ne reprend ses sens que pour dire :


.... J’ai vu des mortels périr le plus aimable ;


et il ajoute ce vers si nécessaire, si touchant, si désespérant pour Thésée :


Et j’ose dire encor, seigneur, le moins coupable.


La gradation est pleinement observée, les nuances se font sentir l’une après l’autre.

Le père attendri demande « quel Dieu lui a ravi son fils, quelle foudre soudaine ?... » Et il n’a pas le courage d’achever ; il reste muet dans sa douleur ; il attend ce récit fatal ; le public l’attend de même. Théramène doit répondre ; on lui demande des détails, il doit en donner.

Était-ce à celui qui fait discourir Mentor et tous ses personnages si longtemps, et quelquefois jusqu’à la satiété, de fermer la bouche à Théramène ? Quel est le spectateur qui voudrait ne le pas entendre, ne pas jouir du plaisir douloureux d’écouter les circonstances de la mort d’Hippolyte ? qui voudrait même qu’on en retranchât quatre vers ? Ce n’est pas là une vaine description d’une tempête inutile à la pièce, ce n’est pas là une amplification mal écrite : c’est la diction la plus pure et la plus touchante ; enfin c’est Racine.

On lui reproche le héros expiré. Quelle misérable vétille de grammaire ! Pourquoi ne pas dire ce héros expiré, comme on dit il est expiré, il a expiré ! Il faut remercier Racine d’avoir enrichi la langue à laquelle il a donné tant de charmes, en ne disant jamais que ce qu’il doit, lorsque les autres disent tout ce qu’ils peuvent.

Boileau fut le premier[6] qui fit remarquer l’amplification vicieuse de la première scène de Pompée.


Quand les dieux étonnés semblaient se partager
Pharsale a décidé ce qu’ils n’osaient juger.
Ces fleuves teints de sang, et rendus plus rapides
Par le débordement de tant de parricides ;
Cet horrible débris d’aigles, d’armes, de chars.
Sur ces champs empestés confusément épars ;
Ces montagnes de morts, privés d’honneurs suprêmes.
Que la nature force à se venger eux-mêmes,
Et dont les troncs pourris exhalent dans les vents
De quoi faire la guerre au reste des vivants, etc.


Ces vers boursouflés sont sonores : ils surprirent longtemps la multitude qui, sortant à peine de la grossièreté, et qui plus est de l’insipidité où elle avait été plongée tant de siècles, était étonnée et ravie d’entendre des vers harmonieux ornés de grandes images. On n’en savait pas assez pour sentir l’extrême ridicule d’un roi d’Égypte qui parle comme un écolier de rhétorique, d’une bataille livrée au delà de la mer Méditerranée, dans une province qu’il ne connaît pas, entre des étrangers qu’il doit également haïr. Que veulent dire des dieux qui n’ont osé juger entre le gendre et le beau-père, et qui cependant ont jugé par l’événement, seule manière dont ils étaient censés juger ? Ptolémée parle de fleuves près d’un champ de bataille où il n’y avait point de fleuves. Il peint ces prétendus fleuves rendus rapides par des débordements de parricides, un horrible débris de perches qui portaient des figures d’aigles, des charrettes cassées (car on ne connaissait point alors les chars de guerre), enfin des troncs pourris qui se vengent et qui font la guerre aux vivants. Voilà le galimatias le plus complet qu’on pût jamais étaler sur un théâtre. Il fallait cependant plusieurs années pour dessiller les yeux du public, et pour lui faire sentir qu’il n’y a qu’à retrancher ces vers pour faire une ouverture de scène parfaite.

L’amplification, la déclamation, l’exagération, furent de tout temps les défauts des Grecs, excepté de Démosthène et d’Aristote.

Le temps même a mis le sceau de l’approbation presque universelle à des morceaux de poésie absurdes, parce qu’ils étaient mêlés à des traits éblouissants qui repandaient leur éclat sur eux ; parce que les poëtes qui vinrent après ne firent pas mieux ; parce que les commencements informes de tout art ont toujours plus de réputation que l’art perfectionné ; parce que celui qui joua le premier du violon fut regardé comme un demi-dieu, et que Rameau n’a eu que des ennemis ; parce qu’en général les hommes jugent rarement par eux-mêmes, qu’ils suivent le torrent, et que le goût épuré est presque aussi rare que les talents.

Parmi nous aujourd’hui la plupart des sermons, des oraisons funèbres, des discours d’appareil, des harangues dans de certaines cérémonies, sont des amplifications ennuyeuses, des lieux communs cent et cent fois répétés. Il faudrait que tous ces discours fussent très rares pour être un peu supportables. Pourquoi parler quand on n’a rien à dire de nouveau ? Il est temps de mettre un frein à cette extrême intempérance, et par conséquent de finir cet article.


  1. Questions sur l’Encyclopédie, première partie, 1770. (B.)
  2. M. Pierre Didot aîné, dans la préface de ses Amours de Didon, 1822, in-8o, a signalé l’erreur que commet ici Voltaire en traduisant Phœnissa par Phénisse ; c’est faire d’un nom de pays un nom de famille. (B.)
  3. Électre, tragédie de Crébillon, acte II, scène I.
  4. Lisez Ytys.
  5. Lisez Iphianasse.
  6. Préface de la traduction du Traité du sublime, à la fin.


Amour socratique

Amplification

Ana, Anecdotes