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Discussion:« C’est fait, mon cœur, quittons la liberté. »

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Traduction[modifier]

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C'est fait, mon cœur, quittons la liberté.
De quoi me huy servirait la défense,
Que d'agrandir et la peine et l'offense ?
Plus ne suis fort ainsi que j'ai été.

La raison fut un temps de mon côté
Or révoltée elle veut que je pense
Qu'il faut servir, et prendre en récompense
Qu'onc d'un tel nœud nul ne fut arrêté.

S'il se faut rendre, alors il est saison,
Quand on n'a plus devers soi la raison.
Je vois qu'amour, sans que je le desserve,

Sans aucun droit, se vient saisir de moi
Et vois qu'encore il faut à ce grand Roi
Quand il a tort, que la raison lui serve.


Source[modifier]

Image source : manuscrit original mis en ligne par l'université de Chicago.



Notes[modifier]

  1. Traductions et commentaires Wikisource