Discussion:« Quand je pouvais me plaindre en l’amoureux tourment »

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Variantes[modifier]

Ô dure cruauté de ma passion forte ![1]
Mais je me plains à tort du mal que je supporte
Vu qu’un si beau désir fait naitre mes douleurs :

Vénus cherche son fils, Vénus toute en colère
Cherche l’aveugle Amour par le monde égaré :
Mais ta recherche est vaine, ô dolente Cythère :
Car il s’est à la fin dans mon cœur retiré.[2]

  1. Éd. 1858: Ô supplice muet, que ta force est terrible !
    Mais je me plains à tort de ma gêne [
    torture]
    invisible,
  2. Éd. 1858 : Il s’est couvertement dans mon cœur retiré.