Discussion:Anatole

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Éditions[modifier]

  • 1815 : Firmin Didot Gallica
  • 1864 : Même édition que celle transcrite mais mieux scannée sur Gallica. Gallica
  • 1886 : Le midi : journal républicain XXIII

Critiques[modifier]

  • dans la muse française [1] par Adolphe de Saint-Valry 1823-1824, édition critique
  • 1897 : [2] => publication d'une lettre de Sophie Gay sur son arbitrage amoureux pour l'un des lecteur du roman
  • 1839 Eusèbe G*****
  • Mme de Genlis prétend que le roman Anatole est plagié sur son travail.

Statistiques[modifier]

  • environ 61 289 mots soit environ 4 heures de lecture (à 250 mots/mn)

Vocabulaire — orthographe[modifier]

  • siége, complétement
  • au delà
  • remercîment
  • nommez-le moi ! (à corriger ?)
  • Mais, répondez-donc,… (à corriger ?)
  • interprêtée
  • Rhétel ou Réthel
  • ingénuement,
  • protége
  • manéges
  • dénoûment
  • poëte
  • piéges

Citations[modifier]

  • — Et cette parente a-t-elle un mari, des enfants, une gouvernante ? Faudra-t-il servir tout ce monde-là !

— Grâce au ciel, elle est veuve ; et je pense qu’elle est riche, car son mari était, je crois, aussi vieux que son château ; et l’on n’épouse guère un vieillard que pour sa fortune.

  • — Ah ! tout cet embarras ne sera pas éternel, madame s’en lassera bientôt, surtout s’il est vrai que madame de Saverny soit aussi belle qu’on l’assure ; ne savez-vous pas Richard, que deux jolies femmes n’ont jamais demeuré bien longtemps ensemble ?

Les remarques philosophiques de mademoiselle Julie furent interrompues par le retour du carrosse de madame de Nangis.

  • Je vous connais ; la beauté a sur vous un empire absolu ; votre admiration pour elle va jusqu’au délire. C’est avec cet amour du beau en général, que vous avez trompé tant de jolies femmes qui se croyaient tendrement aimées, lorsqu’elles n’étaient que passionnément admirées.
  • Après deux ans de soins et de résignation, elle est devenue la riche héritière d’un mari trop vieux pour être longtemps regretté ; et M. de Nangis profite sans scrupule de l’injustice de son père.
  • …je consacrai tous mes instants au soin de prouver à Mélanie que je ne vivais que pour elle. Son cœur me devina bientôt, et répondit au mien. Modestie à part, je ne puis expliquer cette préférence que par l’excès de mon amour ; car, dans le nombre de mes rivaux, il y en avait de très-séduisants ; et je crois que s’ils avaient pu se résoudre à s’aimer un peu moins eux-mêmes, ils auraient été plus aimés que moi.

Comparaison entre éditions 1815-1872 sur chapitre I[modifier]

  • Les dialogues sont sous forme de répliques et non plus dans le paragraphe. Le texte est aéré.
  • Les majuscules surnuméraires dans le texte ont été supprimées. (exp. : à la Cour)
  • corps-de-logis => corps de logis
  • Grace au ciel => Grâce au ciel
  • par-tout => partout ; long-temps => longtemps
  • cloîtrée => cloitrée ?
  • Un jour, mon beau-père lui fit part du projet qu’il avait de sacrifier l’existence de sa fille à la fortune de son fils. =>sa fille,

Textes des chapitres I très proches entre les deux éditions, à part une virgule et une erreur manifeste de l'édition de 1872 corrigée.