Discussion:L’Italien/XII
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- — Vous le craignez ! Ô Dieu ! dites-moi plutôt, dites-moi que vous
espérez vous conserver à moi, et l’espérance alors renaîtra dans mon cœur[1] !
- Elena ayant approuvé cette décision, ils prirent congé du vieillard qui
leur donna quelques instructions sur la direction à suivre. Arrivés dans le chemin creux où le jeune garçon avait vu les carmes, l’orpheline promena de tous côtés des regards inquiets, tandis que Paolo, tantôt silencieux, tantôt chantant et sifflant pour s’étourdir, sondait de[2] l’œil chaque buisson qui pouvait receler des gens mal intentionnés. La route, après avoir traversé la vallée, conduisait à des montagnes couvertes de troupeaux. Le soleil était près de se coucher lorsque, de la hauteur où nos voyageurs étaient parvenus, ils découvrirent le grand lac de Celano et l’amphithéâtre de montagnes qui l’environne.
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