Discussion Auteur:Catherine Bernard
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Éditions
[modifier]- Œuvres complètes
- Le Comte d’Amboise
- 1689 : Le Comte d'Amboise, nouvelle volume 1 Google et volume 2 Google
- 1735 : Bibliothèque de campagne, ou Amusemens de l'esprit et du cœur, tome Ier Gallica ; seconde édition contenant Ines de Cordoue et le comte d'amboise Gallica
- 1746 : Recueil de romans historiques. Tome second Gallica contient Le Comte Gallica contient Le Comte d'Amboise (a perdu les introductions)
- Brutus
- 1691 : Gallica
- Éléonore d’Yvrée
- Ines de Cordoue
- 1697 : Ines de Cordoue
- 1735 : Bibliothèque de campagne, ou Amusemens de l'esprit et du cœur, tome Ier Gallica
- Laodamie tragédie
- Frédéric de Sicile
- 1680 : Google À Paris, chez Jean Ribou, d’une jeune fille de 17 ans
- dans Recueil de romans historiques, tome 8
- La tragédie Bradamante en 5 actes publiée en 1695 chez Michel III Brunet, 1696 attribuée… et aussi à Corneille
- un chanson [1]
- L’Imagination et le bonheur [2] [3]
- Le Commerce galant, ou Lettres tendres et galantes de la jeune Iris et de Timandre, attribué à C. Benard et Jacques Pradon
- 1696 : A Lyon, chez Antoine Perisse Google
- Le Petit Chemin de Potsdam ou quelques anecdotes de la vie de Fréderic II, comédie en un acte Google an XI par Madame **
- La mention … Les malheurs de l’amour est-elle réellement contemporaine de Catherine Bernard ou postérieure ?
- Gallica : ça a l’air d’être le cas dans cette édition de 1687 d’Éléonore d’Ivrée
- 1993, Oeuvres volume 1 Google, annoté par Franco Piva
Critiques
[modifier]- Edwige KELLER-RAHBÉ « Catherine Bernard, une “rivale très dangereuse” pour les “beaux esprits” de son temps »
- Œuvres complètes Gallica
- Sur sa vie :
- Une nièce du grand Corneille (sic) [4], [5], Revue biblio-iconographique, 1 janvier 1889 par Eugène Asse
- dans le Nouvelliste [6] Vie romancée ? elle est parente des Corneille, travaille comme ouvrière, est aimée de Lulli …
- son abjuration de la foi protestante annoncée dans le mercure galant d'octobre 1685 [7]
…
Je ne doute point que vous n'appreniez avec beaucoup de plaisir, que Mademoiselle Bernard de Roüen, pour qui les galants Ouvrages qui ont paru d'elle vous ont donné tant d'estime, a fait Abjuration depuis huit jours. Comme elle a infiniment de l'esprit, il est aisé de juger qu'elle n'a renoncé aux erreurs où sa naissance l'avoit engagée, qu'après une serieuse & longue recherche de la verité. Mais, Madame, il ne s'agit plus de vous parler de la Conversion des Particuliers, conme j'ay fait dans la pluspart de mes Lettres, il faut presentement vous entretenir de celle de quantité de Villes
- Sur Le Commerce galant, ou Lettres tendres et galantes de la jeune Iris et de Timandre attribué à C. Benard et Jacques Pradon
- dans Le mercure galant Google page 237
- Sur Riquet à la houppe
- Comœdia, 12 juillet 1928 [10]
Nouvelles littéraires
Le Congrès des Ecrivains de France.
Les 3, 4 et 5 août 1928 se tiendra à Strasbourg le quatrième Congrès des Ecrivains de France, …
… … …
Riquet à la Houppe ?
De qui est Riquet à la Houppe ? Cette question est posée dans la Revue des Deux Mondes par Mme Jeanne Roche-Mazon. Elle est, d'ailleurs, aussitôt résolue. En effet, après une étude analytique très serrée de ce conte, si différent par son mystère et son débraillé des autres contes de Perrault, Mme Roche-Mazon établit de façon très forte que Perrault emprunta cette histoire à une femme de lettres à demi-ridicule, qui mourut au début du dix-huitième siècle, Mlle Catherine Bernard.
L'histoire parut pour la première fois dans le livre de ladite bas-bleu, Inès de Cordou manière de Mille et une Nuits d'Espagne, où, pour charmer son ennui, la femme de Philippe II, Elisabeth de France, se fait conter par ses femmes toutes sortes de récits galants. Le deuxième de ces récits est précisément Riquet à la Houppe. Même nom, même titre.
Voilà qui est péremptoire, puisque Inés de Cordoue était parue en 1696, près d'un an ayant l'apparition des Contes de ma mère l'Oye.
Au surplus, cette pauvre et tant oubliée Catherine Bernard n'inspirat-elle pas à Voltaire son Brutus et la meilleure scène de cette tragédie?
Ah ! ces pauvres auteurs ratés, de combien de « génies » furent-ils fabricateurs?
- sur Federic de Sicile
- dans le Mercure Galant Gallica
divers
[modifier]- La comédie française de 1680 à 1900 : dictionnaire général des pièces et des auteurs : Laodamie, reine d’Épire, tragédie en cinq actes, en vers, par Mlle Bernard. — 11 février 1689. [11]