Discussion Auteur:Elizabeth Inchbald

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  • Simple histoire, tome 2 Gallica traduit par Jean-Baptiste-Denis Desprès (1752-1832), Paris, Dauthereau, 1826
  • Simple Histoire, par Mistriss Inchbald, précédée d'une notice historique sur sa vie, Lady Mathilde faisant suite à Simple Histoire, par la même, Paris, Jules Laisne, libraire, Ch. Vimont, libraire, 1834 Internet Archive


Voir aussi[modifier]

  • [1]
  • [2]
  • Critique-résumé sur La Nature et l'Art [3]
  • Notice biographique de 1797, La Décade philosophique, littéraire et politique [4]
  • Histoire des littératures étrangères... depuis leurs origines jusqu'en 1850. Littératures anglaise, slave par Eugène Hallberg,… [5] — enfin, une actrice, mistress INCHBALD (1753-1821), dont les romans et les comédies, quelque temps estimés au-dessus de leur valeur, n'ont guère d'autre mérite que d'avoir rapporté beaucoup d'argent à leur auteur.
  • REVUE D HISTOIRE LITTÉRAIRE DE LA FRANCE 1913 [6]:

Mme de Staël… Celle-ci, très féminine, quoi qu'en ait dit Talleyrand avait une préférence marquée pour la société des hommes, et ne s'en cachait pas. Au fond elle méprisait les Anglaises : c'est pourquoi, dans les Considérations comme dans Corinne, elle loue leur douceur, leurs vertus domestiques, leur modestie et nous les donne en définitive pour de simples dupes — et pour les dupes les plus ennuyeuses du monde. Selon Hobhouse elle dit, en quittant le pays. « les femmes sont nulles », et les jugeant ainsi elle ne se donna aucun mal pour les connaître. Elle ne vit ni Jane Austen. ni Hannah Moore, ni Mrs. Richard Trench, ni miss Edgeworth. Elle eut une seule entrevue, mais caractéristique, avec Mrs. Inchbald qui, après une carrière accidentée au théâtre, comme actrice et comme auteur, tournait maintenant à la dévotion. Mrs. Inchbald vivait à cette époque fort retirée en la compagnie peu réjouissante de ses pensées. Il va sans dire que Mme de Staël n'eut pas de cesse qu'elle ne l'eût fait sortir de sa solitude, la priant vivement, la première fois qu'elle la vit de lui expliquer pourquoi elle fuyait le monde ; puis elle saisit cette occasion pour déclamer devant une femme sans famille sur les joies de la maternité, et cela avec tant d'éloquence que Mrs. Inchbald regagna sa maison déserte plus déprimée que jamais.