Discussion Auteur:Félicité de Choiseul-Meuse

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Généalogie[modifier]

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k73411w/f353.item B. Maximilien-Jean de Choiseul, marquis de Choiseul-Meuse, colonel du régiment de Meuse, né le 7 juin 1715, mort le 17 octobre 1738 ; épousa le 18 mars 1734 Anne-Emilie-Justine Paris de la Montagne, fille de Claude Paris de la Montagne, trésorier général des armées de Flandre et d'Elisabeth de la Roche dont : 1 Maximilien-Claude-Joseph. qui suit. 2. François-Joseph, qui suivra après son frère.

François-Joseph, comte de Choisel-Meuse, né le 21 juillet 1736, mort en 1816 (?) ; guidon... marié en 1761 à Anne-Elisabeth de Braque, morte en... dont Félicité de Choiseul-Meuse, née..., morte... ; auteur connu sous la signature de comtesse de Choiseul-Meuse, a publié un grand nombre de romans de 1810 à 1824. Cette branche de la famille Choiseul s'est éteinte Gaston Phoeubus

Descendance[modifier]

Article sur le père d'un de ses enfants : Paris de Treffonds [1] SOCIETE HISTORIQUE DE SOISSONS -- Les Seigneurs et le Château de Pringy Nous avons vu que l'année 1794 avait été la plus lourde d'inquiétudes pour M. de Treffonds ; et qu'il s'était alors déclaré une progéniture toute « reconnue ou adoptée ». Nous en avons retrouvé la trace :

- Paris Louise Sophie, âgée de 14 ans, placée à Neuilly-Saint-Front ;

- Alexandre Victor Treffonds, 6 ans, alors élevé à Pringy ;

- et Emé Paris, alors dans sa première année étant à Paris.

Ce dernier sera reconnu en 1809 et, de surprise en surprise, nous apprendrons qu'il avait pour mère la jeune Antoinette Joséphine Félicité de Choiseul-Meuse, d'une excellente famille, issue aussi des Paris (de la Montagne), laquelle se fera un nom dans la littérature à partir de 1810. Rendant compte d'un de ses ouvrages la Gazette de France en 1816 écrira « Madame de Choiseul-Meuse a publié un assez grand nombre de romans très gais, assez répandus et fort goûtés d'une certaine classe de lecteurs... Honni soit qui mal y pense ! » On doute néanmoins que deux très licencieux, soient réellement de sa plume.

L'année même de la naissance de son dernier né, Paris Treffonds porta ses effusions ailleurs, à Rozet le 25 septembre 1794 il se remarie avec la divorcée du Barail sa voisine. Le comportement de la mariée étonne, baigne-t-elle, elle aussi, dans le climat moral du siècle ? Elle a 40 ans, est mère de plusieurs fillettes dont l'aînée a 17 ans.

Paris, le Paradis des femmes[modifier]

Paris, le Paradis des Femmes, par l'auteur de Entre Chien et Loup, dit le titre, et cet auteur n'est autre que feu Mme la comtesse de Choiseul-Meuse, un agréable et spirituel écrivain qui vivait au commencement de ce siècle et qui nous a légué une série d'ouvrages où la gaieté, la finesse, la grâce et l'esprit percent à chaque page. Paris, le Paradis des Femmes a été son roman capital. Il y a dans ce livre, sans doute, des libertés qui sont d'un autre temps, du temps où notre langue française n'avait pas jugé bienséant de monter son collet par-dessus ses oreilles. Mais au moins il n'y a là ni brutalité, ni grossièreté : la langue polie, raffinée du dix-huitième siècle, distinguée, discrète et amusante, le décolleté élégant et gracieux de la femme du monde.

Une singulière eau-forte d'un artiste en renom ouvre ce coquet livre qui fait honneur à son éditeur Kistomaekers.