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Discussion Auteur:Georgette Ducrest

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  • Mère : Mlle Parizot [1]
  • [2] Georgette DU CREST née le 27 Novembre 1789 à Londres et décédée le 24 December 1882 à Bordeaux
  • Cimetière de la Chartreuse à Bordaux [3] Georgette Du Crest (+1882 à 93 ans)
  • décédée à Bx [4], dans une tombe préparée par Loriol
  • Bochsa et date des mémoires [5]
  • 1831 : Le Corsaire : journal des spectacles, de la littérature [6] : concertiste
  • 1853 : L'Argus et le Vert-vert réunis : Concert de sa fille [7]

Cahiers staëliens : organe de la Société des études staëliennes Société des études staëliennes [8]

  • Pougin, Arthur, Une cantatrice "amie" de Napoléon : Giuseppina Grassini, 1773-1850 [9]
  • naissance de sa fille : p.8/101 archives reconstituées Marie Georgette Caroline Bochsa 1814 2e arrondissement 7 octobre 1814
  • sa fille chante en 1863 [10]
  • mariage de sa fille p.32/195 1864 [11]
  • sa fille est mariée (Armingot) et chante en 1866 [12]
  • sur le décès de sa fille en 1892 [13]

Sur ses ouvrages

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  1. On peut présumer qu'il s'agit ici de la femme et de la fille du marquis Charles-Louis Ducrest (1747-1824), officier de marine puis colonel d'un régiment de grenadiers, auteur de divers ouvrages de politique, de finances et de navigation, au surplus frère de la célèbre comtesse de Genlis (née Félicité Ducrest) (DBF, XI col. 1311-1312). La fille, Georgette Ducrest (plus tard Mme Boscha), devait suivre les traces de sa tante en publiant successivement des Mémoires sur l'impératrice Joséphine (Paris, Ladvocat, 1828, 3 vol.), puis des recueils de chroniques contemporaines intitulés Les Buttes de Baville (Paris, A. Mesnier, 1831, 2 vol.) et Paris en province et la province à Paris (Paris, Ladvocat, 1831, 3 vol.). C'est à la fin de ce dernier ouvrage que parut pour la première fois la « nouvelle historique » de Mme de Genlis intitulée « Le château de Coppet en 1807 ». Dans ses Mémoires sur l'impératrice Joséphine (I, 110-181), Georgette Ducrest rassemble les souvenirs du séjour de trois ans qu'elle fit à Genève avec sa mère de 1807 à 1810, elle cite à plusieurs reprises Germaine de Staël et rappelle notamment les représentations d'Andromaque, de Gustave Wasa et de La Sunamite à Coppet (136-137). Les six longues lettres qu'elle adressa, après son départ de Genève, à Amélie Odier (Genève, BPU, Ms. Fr. 5641, ff. 202-213) prouvent que les dames Ducrest avaient entretenu également d'excellentes relations avec la famille Odier.