Discussion Auteur:Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné

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Édouard Pilastre : Petit Glossaire des Lettres de Madame de Sévigné

Reste à trouver[modifier]

Tomes manquants : les tomes 3, 13, et peut-être le 14-1 (nous avons un 14-2) de l’édition Monmerqué.

critiques[modifier]

Problème de droits[modifier]

Intervention transférée depuis la page principale

Il faut préciser que les 89 lettres sont tirées de l’édition de Madame de Sévigné, Lettres choisies procurée par Roger Duchêne pour les éditions Gallimard (folio et folio classique, 1988). Elles ne sont pas tirées d’une édition tombée dans le domaine public mais de cette édition-là. Le simple examen d’une date le montre à l’évidence. La lettre numérotée « 3. A Pomponne » ne suit pas la datation de l’édition des Grands Ecrivains de la France (tombée elle dans le domaine public), mais celle de l’édition Gallimard. Les dates, fautives du manuscrit Amelot reprises par les Grands Ecrivains, ont été rectifiées par Roger Duchêne d’après le Journal d’Olivier Lefevre d’Ormesson. Mieux encore, l’avant-dernière lettre « 88. A Madame de Grignan » ne se trouve pas dans l’édition des Grands Ecrivains. Elle est entièrement tirée de l’édition Gallimard. Y compris la date, absente du manuscrit Capmas, -seule source de la lettre-, et que Roger Duchêne a restituée et justifiée dans son édition de la Pléiade (t.III, p.1672). Utilisateur:193.248.38.188 6 janvier 2007 à 10:09

Je supprime donc cette page et écris par ailleurs à Roger Duchêne pour demander une autorisation. Merci de nous avoir informés. --Zephyrus 6 janvier 2007 à 13:21 (UTC)[répondre]
Excusez-moi de me raviser en partie. Deux remarques :
1) Justice se trouvait rendue à Roger Duchêne dès la mise en ligne du texte, puisque le texte de référence que j'avais indiqué dans l'infoédit du 23 mai 2006 était précisément son édition de la Pléiade. Je reconnais que cette coïncidence est due au hasard, car je ne savais pas que le choix particulier de lettres que j'ai trouvé sur Internet était le sien (et j'ignore toujours qui avait scanné ces lettres et les avait mises en ligne). Quant aux dates que Roger Duchêne a rétablies, il me semble que le plus mauvais service à lui rendre serait de ne pas les mentionner et de ne pas mentionner son nom. Ne préfère-t-il pas qu'on ajoute en note : Merci à Roger Duchêne qui a rétabli ces dates ?
2) Supprimer toutes les lettres de Madame de Sévigné de Wikisource me paraît une solution extrêmement dangereuse par le précédent que cela constituerait. Le travail de Roger Duchêne, que j'admire et apprécie beaucoup (faut-il ajouter ce commentaire personnel : pas en tant que travail universitaire, mais sur le fond, et de ma part c'est un compliment rare) ne lui donne quand même pas le droit de créer un précédent qui interdise toute mise à la disposition du public des grands textes de notre littérature, pour peu que des universitaires aient rétabli une date ou une phrase de texte, prenant en otage le texte entier. Surtout que nous savons bien, pour parler crûment, que ceux qui prendraient le texte en otage ne seraient même pas les universitaires en question, rien n'empêcherait que ce soient des gens dénués de toute compétence littéraire qui finissent par détenir un droit absolu sur les textes, est-ce vraiment souhaitable ? --Zephyrus 6 janvier 2007 à 14:27 (UTC)[répondre]