Discussion Livre:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 5.djvu
Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Outils
Général
Imprimer / exporter
Dans d’autres projets
Apparence
La bibliothèque libre.
Choix éditoriaux
[modifier]Voir tome 1.
Corrections
[modifier]Fac-similés
[modifier]Vignettes
- ↑ Lettre 565. – 1. Sans doute du beau château de Maisons-sur-Seine (aujourd’hui Maisons-Laffitte), que François Mansart bâtit pour René de Longueil, marquis de Maisons (le surintendant des finances et président à mortier, mort en 1677).
- ↑ 2. On lit les os dans les éditions de 1734 et de 1754, qui sont pour cette lettre nos sources les plus anciennes. Dans l’édition de 1818 les a été changé en ces, par une conjecture assez vraisemblable : les lettres l et c ne se distinguent pas toujours fort aisément l’une de l’autre dans l’écriture de Mme de Sévigné. — Sur Bourdelot, voyez tome II, p. 516, note 3, et tome IV, p. 262, note 17.
- ↑ 3. « Il reste à parler de Penautier. » (Édition de 1754.) Voyez tome IV, p. 497, note 5.
- ↑ 4. C’est ainsi que la phrase est coupée dans l’édition de 1734 ; on lit dans celle de 1754 : « si c’est tant mieux ou tant pis pour lui ; on est si disposé, etc. »
- ↑ 5. Achille de Harlay, depuis premier président. (Note de Perrin.) — Sur son cousin germain Harlay Bonneuil, nommé un peu plus bas, voyez tome II, p. 433, la fin de la note 2.
- ↑ 6. Voyez tome IV, p. 534, note 13.
- ↑ 7. Le fils aîné de Foucquet. Voyez tome IV, p. 505, note 3.
- ↑ 8. Au lieu de « mais mille maux des ennemis, » on lit dans l’édition de 1754 « mais il dénigre fort les assiégés. »
- ↑ 9. On lit dans l’édition de 1754 « … du plus bel ouvrage à corne qu’on puisse voir, et qui enfin se sont rendus » un peu après : « Ils ont été tellement épouvantés de notre canon ; » à la fin de la phrase suivante « et fait avancer et reculer les armées, comme il le trouve à propos ; » deux lignes plus loin « ce fut samedi, quoiqu’on eût dit le contraire » l’avant-dernière phrase du paragraphe se termine par auront promis, au lieu de : promettront.
- ↑ 10. Voyez plus loin, p. 29, note 26. Il est dit dans la relation déjà citée, de la Gazette du 11 août « La vigilance sans relâche du maréchal de Humières… la capacité avec laquelle les travaux étoient conduits par le sieur de Vauban, les entreprises et le succès des troupes, qui emportoient, dans une garde de vingt-quatre heures, des ouvrages qui sembloient pouvoir se défendre huit jours, obligèrent le marquis de Wargnies, qui commandoit dans Aire, à faire battre la chamade. »
- ↑ 11. « Le marquis de Louvois, ministre et secrétaire d’État, qui étoit présent au siège, est parti ce matin (5 août) pour retourner à la cour. » (Gazette du 8 août.)
- ↑ 12. Voyez la lettre du 17 juillet précédent, tome IV, p. 530 et 531.
- ↑ 13. Voyez plus haut, tome IV, p. 449, note 10. — Mme de Grignan était peu avancée dans sa lecture. Le récit affreux dont parle Mme de Sévigné à la ligne suivante se trouve au livre Ier. Mahomet Coprogli, s’étant emparé des richesses des bassas (pachas) coupables de concussion, qu’il avait fait mourir, « fit dresser deux tables dans la salle par où passoit le Sultan pour aller au Divan. Sur l’une il fit arranger vingt des principales têtes qu’il avoit fait trancher, et qu’il couvrit d’une grande toilette de deuil ; et sur l’autre il plaça en même ordre quantité de riches bourses, pleines de pièces d’or et de pierreries, qu’une autre toilette en broderie d’or et de perles couvroit aussi. Il attendit l’heure que le Sultan et la grande Sultane devoient venir au Divan, pour leur faire voir cet étrange spectacle. La grande Sultane voulut savoir d’abord à quel dessein on avoit fait ces préparatifs, et ce qui étoit caché sous ces toilettes. Alors le jeune prince, son fils, sans attendre la réponse, en leva une, et demeura tout effrayé. Il demanda ce que faisoient là ces têtes, « Seigneur, répliqua Mahomet Coprogli en lui adressant la parole, elles
- ↑ vomissent le sang de tes sujets, qu’elles ont sucé, et que voilà dans ces bourses, » continua-t-il en les découvrant. (Histoire des Vizirs, etc., édition de 1679, tome I, p. 77.)
- ↑ 14. Achmet Coprogli, mort en décembre 1676.
- ↑ 15. L’ouvrage est dédié au duc de Bouillon ; mais comme les aventures qui y sont semées lui donnent beaucoup de ressemblance avec un roman, Mme de Sévigné trouvait qu’il aurait été plus naturel de le dédier à la duchesse de Bouillon, dans la famille de laquelle on ne haïssait pas les aventures. (Note de l’édition de 1818.) — L’auteur (le sieur de Chassepol) dit au duc de Bouillon, en parlant du livre qu’il lui dédie : « C’est proprement la vie d’un héros que vous avez vu vous-même le sabre à la main, et aux conquêtes duquel vous avez aidé à donner des bornes, dans cette fameuse victoire que nos braves François remportèrent sur le grand vizir auprès de la rivière du Raab (juillet 1664) — »
- ↑ 16. Dans l’édition de 1754 « bien mieux qu’auparavant ; » à la ligne suivante, Perrin, pour corriger une petite négligence, a supprimé les mots « et si attentive ; » et terminé la phrase par « si occupée de ma santé. »
- ↑ 17. Premier commis de M. de Pompone. (Note de Perrin.) Voyez ci-dessus, tome IV, p. 122, note 4.
- ↑ 18. Voyez la lettre du 15 mai précédent, tome IV, p. 447, note 6.
- ↑ 19. C’était un clerc régulier de Palerme en Sicile, et le même dont il est souvent parlé dans les Petites Lettres, pour avoir favorisé dans ses écrits les opinions relâchées en fait de morale. (Note de Perrin, 1754.)
- ↑ 20. Citation de Voiture. Voyez tome III, p. 328. Perrin dit en note dans sa seconde édition : « Personne n’ignore que M. de Montausier étoit l’homme de la cour le plus véridique. »
- ↑ 21. Charles de Sévigné.
- ↑ 22. Probablement Louis, qui, après la mort de ses deux aînés, devint marquis de Nogent, et mourut maréchal de camp et gouverneur de Sommières, le 24 janvier 1708. « C’était une manière de cheval de carrosse qui étoit de tout temps ami intime de Saint-Pouange et favori de M. de Louvois. Cela l’avoit fait aide de camp du Roi en toutes ses campagnes, et donné une sorte de
- ↑ 23. « La nouvelle de la prise d’Aire. » (Édition de 1754) — Perrin, dans cette même édition de 1754 supprime ce qui suit d’Aire, et continue ainsi « l’a nommé au Roi comme un de ceux, etc. »
- ↑ 24. « On dit qu’un homme a du sang aux ongles, pour dire qu’il sait bien se défendre en toutes manières, soit en paroles, soit en actions, qu’il a de la force et du courage. » (Dictionnaire de Furetière.)
- ↑ 25. Voyez la lettre du 22 juillet précédent, à Mme de Grignan, tome IV, p. 536, note 23.
- ↑ 26. Voyez les notes 3 et 5 de la lettre 119, tome II, p. 22.
- ↑ 27. Marie (François) Roger, dit le comte de Langhac ; il mourut à Avignon en 1746, ne laissant que des filles de son mariage avec Jeanne-Marie Palatine de Dio de Montpeyroux. (Note de l’édition de 1818.) On lui donna successivement les noms de d’Andelot, de comte de Dalet, et enfin de comte de Langhac.
- ↑ 28. La fille aînée de M. de Grignan, de son premier mariage, avec Angélique-Clarice d’Angennes. Voyez tome III, p. 371, note 8.
- ↑ Lettre 566. 1. Voyez la lettre du 31 juillet précédent, tome IV, p. 555 et 556.
- ↑ 2. Mme de Nevers et Mlle de Thianges, depuis duchesse de Sforce. (Note de Perrin.)