Discussion Page:Brontë - Jane Eyre, II.djvu/170

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Mon oncle était mort : c’était mon seul parent. Depuis que je savais qu’il existait, j’avais nourri l’espérance de le voir un jour ; maintenant je ne le pourrais plus. Puis cet argent ne venait qu’à moi seule, et non pas à moi et à une famille qui s’en serait réjouie ; à moi toute seule. Certainement c’était un bonheur : je serais si heureuse d’être indépendante ! Cela, du moins, je le sentais bien, et cette pensée gonflait mon cœur.

Correction  : « pourrai » → « pourrais » (coquille)
Correction  : « serai » → « serais » (coquille)

Je me faisais l’effet d’un individu dont les facultés gastronomiques sont très grandes, et qui tout à coup se trouve assis seul levant une table préparée pour cent.

Correction  : « qui » → «  » (coquille)
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