Discussion Page:Montaigne - Essais, Éd de Bordeaux, 2.djvu/106

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Source des traductions[modifier]

Quorum igitur causa quis dixerit effectum esse mundum ? Eorum scilicet animantium, quæ ratione utuntur. Hi sunt dii et homines, quibus profectó nihil est melius. Nous n'aurons jamais assez bafoué l'impudence de cet accouplage. [Pour qui donc le monde a-t-il été fait, qui nous le dira? Pour les êtres animés qui ont la raison en partage. Ce sont les dieux et les hommes au-dessus desquels il n'y a rien] [1]


Cum suspicimus magni coelestia mundi
Templa super, stellisque micantibus Æthera fixum,
Et venit in mentem Lunæ Solisque viarum :
[Lorsque nous élevons les yeux pour contempler la voûte céleste,
Cette voûte de l'éther où scintillent les étoiles,
Et qu'il nous vient à l'esprit de penser aux cours du soleil et de la lune,]
[2]


Facta etenim et vitas hominum suspendit ab astris
[Et en effet les événements et les vies des hommes, il les a suspendus aux astres.] [3]


speculatáque longe
Deprendit tacitis dominantia legibus astra,
[Et contemplés de loin,
Elle découvre que des lois secrètes les dominent, ces astres]
[4]

Notes[modifier]


  1. Trad. Appuhn Itinera electronica
  2. Trad. Clouard. Site Remacle
  3. Traduction Wikisource.
  4. Traduction Wikisource.