Discussion Page:Quérard - La France littéraire, t. 6, 1834.djvu/46
Ajouter un sujetVénus blessée par Diomède[modifier]
poème en quatre chants, Paris, 1787…
Ménoux[modifier]
…par un certain Ménoux selon Quérard.
Menoux[modifier]
La plupart des auteurs écrivent son nom sans le é, e accent aigu, notamment :
- Pierre M. Conlon, dans le siècle des Lumières : bibliographie chronologique, vol. 22, chez Droz, 2003, [lire en ligne], p. 1187 ;
- Claude-Sixte Sautreau de Marsy, Joseph Mathon de la Cour, dans l’Almanach des Muses, Paris, chez Delalain, 1788, [lire en ligne], p. 277 ;
- « […] Foible & verbeux eſſai d’un jeune-homme. Quelqu’imagination dans les détails. Peu d’harmonie dans le mêlange des rimes […] »
- Guillaume-Thomas Raynal, dans la Correspondance littéraire, philosophique et critique, vol. 15, Paris, chez Garnier frères, 1881, [lire en ligne], p. 131-132 ;
- « […] par M. Menoux. Points d’idées, point d’inventions, mais une versification dont l’extrême facilité dissimule quelquefois la faiblesse et les négligences. […] »
WorldCat[modifier]
Ce poème serait de Louis-François-Marie Menoux si l’on en croit la notice d’autorité WorldCat, [présentation en ligne] ;
- info reprise par Google livres, chez l’auteur… et chez Mad. Morin, 1787, [présentation en ligne] ;
Louis-François-Marie Menoux[modifier]
né à Lyon le 28 octobre 1769, mort le 31 juillet 1855…
- avait 17 ou 18 ans en 1787…
auteur de nombreux précis, de plaidoyers et de mémoires… fut député à la Convention après avoir frôlé le fil du rasoir national, a d’abord été Lieutenant de l’armée Lyonnaise sous la terreur (1793), puis devint avocat, préfet (à vérifier), etc. Figure Lyonnaise…
Quérard dit de lui qu’il n’a jamais publié ce qu’il écrivait, « par une modestie excessive et bien regrettable », il cite un « discours remarquable », inséré dans le Moniteur universel du 15 ou 18 vendémaire an iii, cf. Le Quérard, le complément périodique de la France littéraire, Paris, chez L. Boitel, 1855, [lire en ligne], p. 127 ;
- notice extraite de la Revue du Lyonnais, d’un article rédigé par Martin-Daussigny, auquel on a ajouté les discours prononcés sur sa tombe, de Pierre Sauzet, et de C. Fraisse, de la Sté littéraire, [lire en ligne], pages 246-258 ;
Mais les sources disponibles ne parlent pas dudit poëme :
- Société de statistique, d’histoire et d’archéologie de Marseille et de Provence, vol. 20, Répertoire des travaux, 1857, [lire en ligne], cf. « Menoux », pages 451-454 ;
- Auguste Brun, Notice nécrologique sur M. L.-F.-M. Menoux, ancien président de la Société d’éducation de Lyon : lue en séance publique, le 30 juillet 1857, [lire en ligne], 16 apges ;
Rien non plus dans la notice du Comité des travaux historiques et scientifiques, [lire en ligne].
la notice d’autorité WorldCat ne me semble pas suffisante, il faudrait qu’un historien lui attribue ledit poëme pour mettre l’URL suivante : La France littéraire, ou Dictionnaire bibliographique/Menoux (Louis-François-Marie)
Jean-Jacques Meno Valette[modifier]
l’auteur des Éléments de la grammaire allemande, à l’usage des amateurs, dans le Catalogue general des livres imprimés, Bibliotheque Nationale, vol. 112, 1932, [présentation en ligne] ;
peintre né en 1711, mort en 1777, élève de Janssens selon Guy Delmarcel… cf. La tapisserie flamande: du XVe et XVIIIe siècles, chez Lannoo, 1999, [page non consultable sur Google livres] ;
auteur du Peintre amateur et curieux, ou Description générale des tableaux des plus habiles Maîtres, qui font l’ornement des églises, couvents, abbayes, prieurés & cabinets particuliers dans l’étendue des Pays-Bas autrichiens, vol. 1, chez P. de Bast, 1763, [lire en ligne],
(genium ✉) mars 2013.
Mension[modifier]
l’auteur de Claude et Claudine, comédie en un acte, en vaudevilles, représentée, pour la première fois, à Paris, le huit mars 1785, par les Comédiens italiens ordinaires du Roi, imprimée chez Brunet, libraire, Paris, 1785, [lire en ligne], 36 apges ;
Son nom est orthographié différemment selon les auteurs :
- sieur Mention, secrétaire du sieur de Beaumarchais dans les Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la republique des lettres en France :depuis ndcclxii jusqu'à nos jours; ou, Journal d'un observateur, par Louis Petit de Bachaumont, Adamsohn, 1786, [lire en ligne], p. 116-117 ;
- M. Mencion, dans les Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée à un souverain d’Allemagne, pendant une partie des années 1775-1776, et pendant les années 1782 à 1790 inclusivement, par Friedrich Melchior Grimm et par Diderot, troisième et dernière partie, vol. 3, [lire en ligne], p. 265-266 ;