Suite de Joseph Delorme/Envoi
ENVOI
Ainsi, mon cher Ulric, ma muse gémissante
Cherche en vos souvenirs des instants qu’elle chante,
Et, ranimant pour vous des temps qui ne sont plus,
Pleure, comme autrefois Virgile pour Gallus.
Puissent au moins ces chants que l’amitié soupire,
De votre cœur saignant alléger le martyre,
D’un passé qui s’éteint vous rendre les couleurs,
Et faire luire encore un rayon dans vos pleurs !