Livre:Sainte-Beuve - Poésies 1863.djvu

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TitrePoésies de Sainte-Beuve Voir l'entité sur Wikidata
AuteurCharles Augustin Sainte-Beuve Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionMichel Lévy frères.
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1863
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Pages

Joseph Delorme

Consolations et autres poèmes

TABLE DES MATIÈRES




Poésies.Premier Amour 
 27
 84
À M***. Ô vous qui, lorsque seul 
 95
L’Attente. Imité de Schiller 
 120
Stances. Imité de Kirke White 
 139


 
I. Stances 
 183
 
II. Désir 
 185
Pour mon ami 
 188
Ulric Guttinguer. 
 189
 
 190
 
    Envoi 
 192
Sonnet. Pour venger du passé… (À Théophile Gautier.) 
 198
Héroïde. À une Chasseresse encore 
 212
Ode au Soir. Imité de Collins 
 242
Pour mon cher Marmier. Sur l’Elster 
 250
Au Sommeil. Traduit de Stace 
 258
Le Collége d’Éton. Imité de Gray 
 273



FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.





 39
XI. 
 47
XIII. 
Sonnet, imité de Wordsworth. C’est un beau soir 
 51
XIV. 
Sonnet, de Wordsworth. Les passions, la guerre 
 52
XV. 
Sonnet, du même. Quand le Poëte en pleurs 
 53
XVI. 
 54
XXI. 
Sonnet à Boulanger. Ami, ton dire est vrai 
 71
XXII. 
 72
XXIII. 
Sonnet à V. H. Votre génie est grand 
 73
XXIV. 
Sonnet à madame L. Madame, vous avez 
 74
XXVII. 
À Victor Pavie. La Harpe Éolienne. Traduit de Coleridge 
 81
XXVIII. 
À mon ami Paul Lacroix. Les Larmes de Racine 
 84
POÉSIES DIVERSES
Faisant suite aux Consolations.





Sonnets à la duchesse de Rauzan. I. Au Thil où vous aimez 
 181
Sonnet à madame P. Heureux loin de Paris 
 190
Trois sonnets imités. 
I. Reposez-vous et remerciez : au sommet du Glencroe 
 196
de Wordsworth 
 197
Vers qui se rapportent à Volupté. J’ai reçu, j’ai reçu 
 200
Rome. Élégie imité de Guillaume de Schlegel 
 211
Sonnet à M. Roger d’A. Un rayon, un rayon 
 216
II. Une Romance encore. Quoi ! se peut-il 
 219
À la duchesse de Rauzan. Partez, puisqu’un départ 
 221
À M. de Salvandy, ministre du 15 avril 
 223
Sonnet à madame G. Non, je ne suis pas gaie 
 225
Sonnet à madame M. Quoi ! vous voulez 
 228
Sonnet à M. Justin Maurice. Nous gravissions de nuit 
 241
Sonnets.I. 
 244
Sonnet à Boulay-Paty. Nous partions sur le lac 
 248
Sonnet à M. Paulin Limayrac. Je montais, je montais 
 249
À M. Patin, après avoir suivi son Cours de poésie latine. Épître 
 250
Sonnet à mon ami Ch. Labitte. En voyant jusqu’ici 
 254
À J.-J. Ampère. Épître 
 255
Sonnet. J’aime Paris 
 262

Faisant suite aux Pensées d’Août.


Sonnets. I. 
 287
Sonnets. II. 
 288
Sonnets. II. 
 294
Le dernier des onze Sonnets de Charles Lamb. Nous étions deux enfants 
 296
Sonnet à Philothée. Pourquoi dans l’amitié 
 297
Sonnet à madame ***. Il est doux vers le soir 
 298
Sonnet à la Muse. Pauvre Muse froissée 
 299
Sonnet, réponse à Collombet. Notes et Sonnets/Oui, cher Zénon 
 300
Sonnet, réponse. Demande-moi plutôt 
 302
Sonnet à Marmier. Le vieux Slave est tout cœur 
 302
Sonnet imité de Ruckert. Et moi je fus aussi 
 303
Sonnet imité de Bowles. Comme après une nuit 
 304
Sonnet imité de Justin Kerner. Le matin en été 
 305
Sonnet imité de Bowles. Étrange est la musique 
 305
Sonnet imité de miss Caroline Bowles. Je n’ai jamais jeté la fleur 
 306
Sonnet à madame Desbordes-Valmore. Puisqu’aussi bien tout passe 
 310
Sonnet à M. le comte Molé. Le Tombeau de Delille 
 311
Sonnet à un peintre. Ne montez Albano 
 314


fin de la table des matières




VIE
POÉSIES ET PENSÉES
de
JOSEPH DE LORME


Sic ego eram illo tempore, et flebam amarissime, et requiescebam in amaritudine.

Saint Augustin. Confess., liv. IV.

Je l’ai vu, je l’ai plaint ; je le respectais ; il était malheureux et bon. Il n’a pas eu des malheurs éclatants ; mais, en entrant dans la vie, il s’est trouvé sur une longue trace de dégoûts et d’ennuis ; il y est resté, il y a vécu, il y a vieilli avant l’âge, il s’y est éteint.

Senancour, Oberman.



(MARS 1829)