Livre:Sainte-Beuve - Poésies 1863.djvu
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Titre | Poésies de Sainte-Beuve ![]() |
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Auteur | Charles Augustin Sainte-Beuve ![]() |
Maison d’édition | Michel Lévy frères. |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1863 |
Bibliothèque | |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À valider |
Pages
Joseph Delorme
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Consolations et autres poèmes
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TABLE DES MATIÈRES
Poésies. — Premier Amour
Sonnet. Quand l’avenir pour moi
Sonnet. Pauvre enfant, qu’as-tu fait
Sonnet. Enfant, je m’étais dit
Sonnet. Sur un front de quinze ans
Sonnet. Ô laissez-vous aimer !
Sonnet. Madame, il est donc vrai
Sonnet. À toi, Ronsard, à toi
Sonnet. Que de fois, près d’Oxford
Sonnet. Chacun en sa beauté
Sonnet. En ces heures souvent
Sonnet. Je ne suis pas de ceux
Sonnet. Ne ris point des sonnets
Sonnet. Piquante est la bouffée
Pour mon ami
Ulric Guttinguer.
IV. Sonnet. Il est au monde un lieu
Sonnet. Laisse ta tête, Amie
Sonnet. Pour venger du passé… (À Théophile Gautier.)
Sonnet. Des laves du Vésuve
Sonnet. Une soirée encore
Sonnet. Osons tout et disons
Sonnet. Que vient-elle me dire
Sonnet. Triste, loin de l’Amie
Sonnet. Attendre, attendre encor
Sonnet. Par un ciel étoilé
Sonnet. Moi qui rêvais la vie
Sonnet. L’Amant antiquaire
Sonnet. Si quelque blâme, hélas !
Ode au Soir. Imité de Collins
Sonnet. Insensé, qu’ai-je fait ?
Pour mon cher Marmier. Sur l’Elster
Au Sommeil. Traduit de Stace
Traduit de Moschus. II.
Sonnet. Le vieux coursier hennit
Sonnet. Ces beaux petits cheveux
Le Collége d’Éton. Imité de Gray
Sonnet. J’étais un arbre en fleur
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.
II.
VII.
Sonnet. L’autre nuit, je veillais
VIII.
IX.
XI.
Sonnet. Un grand chemin ouvert
XII.
XIII.
Sonnet, imité de Wordsworth. C’est un beau soir
XIV.
Sonnet, de Wordsworth. Les passions, la guerre
XV.
Sonnet, du même. Quand le Poëte en pleurs
XVII.
XVIII.
XIX.
XX.
XXI.
Sonnet à Boulanger. Ami, ton dire est vrai
XXII.
Sonnet. À Francfort-sur-le-Mein
XXIII.
Sonnet à V. H. Votre génie est grand
XXIV.
Sonnet à madame L. Madame, vous avez
XXV.
XXVI.
XXVII.
À Victor Pavie. La Harpe Éolienne. Traduit de Coleridge
XXVIII.
À mon ami Paul Lacroix. Les Larmes de Racine
POÉSIES DIVERSES
Faisant suite aux Consolations.
Sonnets à la duchesse de Rauzan. I. Au Thil où vous aimez
Sonnet à madame P. Heureux loin de Paris
À Ulric Guttinguer. Épître
Trois sonnets imités.
I. Reposez-vous et remerciez : au sommet du Glencroe
de Wordsworth
Vers qui se rapportent à Volupté. J’ai reçu, j’ai reçu
Sonnet à la marquise de Castries qui est à Dieppe. D’ici je vous voyais
Sur un portrait de Gérard, une Jeune Femme au bain. À madame Récamier
Sonnet à M. Roger d’A. Un rayon, un rayon
II. Une Romance encore. Quoi ! se peut-il
À la duchesse de Rauzan. Partez, puisqu’un départ
À M. de Salvandy, ministre du 15 avril
Sonnet à madame G. Non, je ne suis pas gaie
Sonnet à madame M. Quoi ! vous voulez
Sonnet à M. Justin Maurice. Nous gravissions de nuit
Sonnets.I.
Sonnet à Boulay-Paty. Nous partions sur le lac
Sonnet à M. Paulin Limayrac. Je montais, je montais
À M. Patin, après avoir suivi son Cours de poésie latine. Épître
Sonnet à mon ami Ch. Labitte. En voyant jusqu’ici
À J.-J. Ampère. Épître
À mes amis M. et madame Olivier. Stances
Sonnet. J’aime Paris
Élégie. Elle me dit un jour
Faisant suite aux Pensées d’Août.
Sonnets. I.
Sonnets. II.
III.
Le dernier des onze Sonnets de Charles Lamb. Nous étions deux enfants
Sonnet. Ces jours derniers
Sonnet à Philothée. Pourquoi dans l’amitié
Sonnet à madame ***. Il est doux vers le soir
Sonnet à la Muse. Pauvre Muse froissée
Sonnet, réponse à Collombet. Notes et Sonnets/Oui, cher Zénon
Sonnet, réponse. Demande-moi plutôt
Sonnet à Marmier. Le vieux Slave est tout cœur
Sonnet imité de Ruckert. Et moi je fus aussi
Sonnet imité de Bowles. Comme après une nuit
Sonnet imité de Justin Kerner. Le matin en été
Sonnet imité de Bowles. Étrange est la musique
Sonnet imité de miss Caroline Bowles. Je n’ai jamais jeté la fleur
À madame P. Sur la mort d’une jeune enfant
Sonnet à madame Desbordes-Valmore. Puisqu’aussi bien tout passe
Sonnet à M. le comte Molé. Le Tombeau de Delille
Sonnet. La jeunesse est passée
Sonnet. Avignon m’apparaît
Sonnet à un peintre. Ne montez Albano
Sonnet. Saint-Laurent-hors-des-murs
Élégie. Pour de lointains pays
Sonnet. J’ai vu le Pausilype
Sonnet. Pardon, cher Olivier
Sonnet. Paix et douceur des champs
Sonnet. Non, je n’ai point perdu
Sonnets à
deux sœurs
Sonnet. J’ai fait le tour
fin de la table des matières
VIE
POÉSIES ET PENSÉES
de
JOSEPH DE LORME
Sic ego eram illo tempore, et flebam amarissime, et requiescebam in amaritudine.
Saint Augustin. Confess., liv. IV.
Je l’ai vu, je l’ai plaint ; je le respectais ; il était malheureux et bon. Il n’a pas eu des malheurs éclatants ; mais, en entrant dans la vie, il s’est trouvé sur une longue trace de dégoûts et d’ennuis ; il y est resté, il y a vécu, il y a vieilli avant l’âge, il s’y est éteint.
Senancour, Oberman.
(MARS 1829)