Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture, modelure, gravure, etc., etc., exposés au salon de la ville de Douai du 5 au 30 juillet 1823

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EXPLICATION
DES OUVRAGES
DE PEINTURE, DESSIN, SCULPTURE,
MODELURE, GRAVURE, etc., etc.
EXPOSÉS AU SALON DE LA VILLE DE DOUAI,
du 6 au 30 juillet 1823.

CE CATALOGUE SE VEND À L’ENTRÉE DU SALON :
Prix : 50 centimes (10 sous).

À DOUAI,
DE L’IMPRIMERIE DE WAGREZ AÎNÉ.



Les personnes qui désireront acquérir des objets de l’exposition, sont invitées à s’adresser à Messieurs les Commissaires, qui feront connaître les objets à vendre, et les conditions imposées par les propriétaires.



STATUTS

De la Société des Amis des Arts de la ville de Douai, Département du Nord, rédigés conformément aux instructions de M. le Préfet.




Monsieur le Maire de la ville de Douai ayant eu l’heureuse idée de créer dans cette ville une exposition publique du produit des arts, qui a lieu tous les deux ans à l’époque de la fête communale, quelques amateurs se sont empressés d’unir leurs efforts aux siens, pour assurer le succès et la durée d’une institution si utile, et qui dès son origine a eu des résultats si avantageux.

Ils ont pensé que le moyen le plus certain de par- venir à ce but, serait d’organiser à Douai une Société d’Amis des Arts, en adoptant, autant que possible, les bâses sur lesquelles est fondée la Société de Paris, dont son Altesse Royale Monseigneur le Duc de Berri avait daigné agréer le titre de Protecteur.

Un premier essai a été fait en 1821. Peu de jours avant l’ouverture du Salon d’exposition, une souscription a été ouverte avec l’agrément des autorités. Aussitôt les principaux fonctionnaires civils et militaires, les habitans les plus marquans, un grand nombre de personnes de la ville et du dehors se sont empressés de s’inscrire sur la liste des souscripteurs, et cette liste eût été certainement beaucoup plus considérable encore, si la Société eût existé depuis plus longtems, et si son but à la fois utile et honorable eût été mieux connu : cependant le produit des souscriptions a permis d’acheter huit tableaux, dont la répartition parmi les sociétaires en a été faite par la voie du sort.

La Société, désirant encourager le vrai talent, écarter la médiocrité, a préféré acquérir moins de tableaux, et exercer un choix plus rigoureux. Elle s’est en conséquence réglée par le prix de ses acquisitions sur ceux adoptés par la Société des Amis des Arts de Paris, et en persistant, comme elle se le propose, dans ce principe, elle espère n’offrir à ses affiliés que des compositions d’un mérite réel, et dignes de figurer dans les plus belles collections.

L’on peut donc pressentir maintenant tous les avantages que procurera l’institution de cette Société, lorsqu’elle sera régulièrement constituée : les amis des arts s’empresseront de seconder ses efforts en s’associant à ses travaux : les artistes, certains de recevoir des encouragemens, ou du moins le tribut de l’admiration d’hommes éclairés, récompense la plus noble de leurs veilles, se feront un plaisir d’enrichir l’exposition de Douai des fruits de leur génie : et bientôt le goût et la culture des beaux-arts s’établiront dans notre département, et leurs procédés perfectionneront les produits de nos nombreuses manufactures.

C’est dans cet espoir que la Société, éclairée par l’expérience, et guidée par son amour du bien public, a adopté les statuts suivans, qu’elle soumet à l’approbation de l’autorité.


Article Ier


La Société des Amis des Arts de Douai a pour but de favoriser l’exposition publique qui a lieu dans cette ville tous les deux ans ; d’éveiller l’émulation, de répandre le goût des beaux-arts, et de faciliter à l’industrie les moyens de se développer.

II. Elle se compose de membres résidans et d’associés libres : le nombre des uns et des autres est illimité.

III. Pour être membre résidant, il faut avoir son domicile dans la ville de Douai, et s’engager à prendre pour chaque tirage au moins huit actions, et à acquitter chaque année le prix de quatre : cependant, pour le tirage qui doit avoir lieu cette année, il suffira d’avoir pris quatre actions.

IV. Toute personne, quel que soit le lieu de son domicile, peut devenir associé libre, en prenant une ou plusieurs actions.

Le titre d’associé libre n’engage que pour un seul tirage ; passé lequel on peut ne plus souscrire.

V. Le membre résidant qui cesse d’habiter la ville, a le droit de conserver ce titre jusqu’au tirage qui suit son déplacement : cependant il peut à son gré ou se faire restituer les sommes qu’il a déjà versées entre les mains du trésorier, ou ne concourir au tirage suivant que pour le nombre d’actions dont il a déjà versé le prix.

VI. Le prix de chaque action est de cinq francs.

Les membres résidans versent chaque année, dans le courant de janvier, entre les mains du trésorier, le montant annuel de leur souscription : les associés libres versent le montant de la leur au moment de leur inscription sur la liste des sociétaires.

VII. Les sommes produites par les souscriptions, tant des membres résidans que des associés libres, sont employées à acheter des objets d’art ou d’industrie ; à concourir au payement des frais de la lithographie, dont il sera parlé ci-après ; à acquitter les autres frais d’administration.

VIII. Aucun objet ne pourra être acquis, s’il n’a pas fait partie de l’exposition publique.

IX. Les objets acquis sont répartis entre les sociétaires, par la voie du sort et de la manière qui sera expliquée ci-après.

X. La Société ne s’assemble que lorsqu’elle est convoquée par son président.

XI. Dans les assemblées générales, les membres résidans ont seuls voix délibérative : cependant les associés libres, souscripteurs pour plus de deux actions, ont le droit d’assister aux séances, et de faire leurs observations.

XII. Un mois au moins avant l’ouverture de l’exposition publique, la Société se réunit en assemblée générale.

Dans cette séance elle se nomme un président, un vice-président, un secrétaire et un trésorier ; leurs fonctions sont bornées à une année.

Elle nomme en outre une commission administrative composée de douze membres, mais dont le président, le vice-président, le secrétaire et le trésorier font nécessairement partie.

Toutes ces nominations se font à la majorité absolue des suffrages.

XIII. Dans la même séance, la Société entend le rapport de son trésorier, et détermine la somme qui devra être employée en acquisitions.

XIV. Le vice président supplée le président en cas d’absence ou d’empêchement.

Le secrétaire rédige les procès-verbaux des séances tant de la Société que de la commission administrative, et les transcrit sur un registre.

XV. La commission administrative est chargée de faire le choix des tableaux et autres objets d’art qui devront être acquis par la Société : elle peut dans ce travail se faire assister de deux artistes à son choix, pourvu toutefois qu’ils n’aient rien fourni à l’exposition.

XVI. La commission ne peut délibérer, si elle n’est composée au moins de sept membres : ses délibérations sont prises à la majorité absolue : en cas de partage, l’on en réfère à la Société.

XVII. La commission fait le rapport de ses opérations à la Société réunie en assemblée générale, et après avoir obtenu son approbation, elle traite avec les artistes, ordonnance les payemens ; et fait les dispositions pour le tirage au sort des objets acquis.

XVIII. Le tirage a lieu immédiatement après la clôture de l’exposition publique, et de la manière suivante :

Le nom de chaque sociétaire inscrit sur un bulletin, est placé dans une urne, et répété sur autant de bulletins différens que le sociétaire a pris d’actions.

Dans une seconde urne, sont placés autant de billets qu’il y a de bulletins dans l’urne qui contient les noms des sociétaires.

Les billets gagnants portent l’indication du tableau ou de l’objet d’art, de son numéro suivant l’ordre d’inscription au catalogue de l’exposition publique ; et enfin la désignation du lot : tous les autres billets restent blancs.

Les billets et les bulletins ayant été bien remués dans leur urne respective, l’on tire alternativement un bulletin, dont on lit le nom, et un billet : l’on poursuit cette opération, quand même les billets gagnants seraient tous sortis, jusqu’à ce que la totalité des bulletins soit épuisée.

XIX. La commission administrative, avant de délivrer les lots à leurs propriétaires, fait placer dans un endroit bien apparent une souscription portant ces mots Société des Amis des Arts de Douai, le millésime de l’année et le numéro d’ordre du lot.

XX. La société fait lithographier le tableau qui forme le premier lot, si le nombre des sociétaires est assez grand pour couvrir les frais de la lithographie, ainsi qu’il sera dit ci-après : ce tableau reste à cet effet à la disposition de la commission administrative, jusqu’à ce que ce travail soit terminé.

XXI. Chaque actionnaire membre résidant ou associé libre, a droit à une épreuve de choix de cette lithographie, pour laquelle il payera un droit fixe d’un franc.

XXII. La Société conserve à titre de fond de réserve, cent épreuves de chaque lithographie, qui deviennent sa propriété, et dont elle aura seule le droit de disposer.

XXIII. La commission administrative traite avec les artistes, soit pour le dessin, soit pour le tirage des épreuves, surveille ce dernier travail, a soin qu’il n’en soit tiré que le nombre nécessaire, qu’aucune ne soit livrée au commerce, et que toutes celles qui seront reconnues défectueuses, soient détruites en sa présence.

XXIV. Les amateurs peuvent en tous tems se faire inscrire sur la liste des membres résidans ou des associés libres ; cette liste reste à cet effet entre les mains de M. le président, ou de la personne qu’il juge à propos de désigner : la commission administrative fait connaître publiquement, et au moins six jours d’avance, l’époque de la clôture de ladite liste.

Fait à Douai, dans la réunion des soussignés, convoqués par Monsieur le Maire, le dix-sept mai mil huit cent vingt-trois.

Signés Baron de Camas, Lambert, Emm. Polonceau, Ducellier, Plazanet, Frémont, Thomassin, Becquet de Mégille, A. de Lagrange.



EXPLICATION

DES OUVRAGES[1].


ADAM (Victor), rue du Platre St-Jacques, no . 13, à Paris.

1 Prise de l’Île de Noirmoutier.

Le général Jourdi, commandant en chef les troupes destinées à prendre l’île de Noirmoutier, éprouva la résistance la plus opiniâtre : Un instant avant le débarquement, il eut la cuisse fracassée par un coup de feu ; cet accident ne l’empêcha pas d’effectuer sa descente dans l’île ; il se fit porter par plusieurs soldats du 57e., et continua son commandement.

2 Défense de la redoute de Montélézime.

Le chef de brigade, Rampon, fut chargé de la défense de la redoute de Montélézime, dernier retranchement des Français, qui n’était gardé que par 1500 hommes. Loin de s’étonner du nombre d’ennemis qui l’attaque, Rampon s’adresse aux bräves qui l’entourent : « Sur vos canons, s’écrie-t-il, au milieu du feu, jurons à la patrie de mourir tous dans la redoute, plutôt que de l’abandonner ! »

3 Le Maréchal de Villars, à la bataille de Denain.

4 La prise d’une pièce de canon par des Lanciers Français.

5 Scène militaire.

Le capitaine D***., dans la Calabre, fut détaché de son régiment avec sa compagnie de voltigeurs, pour observer l’ennemi ; il fut attaqué par des forces supérieures aux siennes ; il soutint sa retraite dans le meilleur ordre possible. Son cornet venait d’être blessé, M. D***. l’aperçoit dans les rangs ennemis, court à lui, l’enlève, et le rapporte parmi ses camarades.

6 Une femme chante, et est accompagnée par un jeune homme.

7 Scène militaire.

François 1er dans la guerre contre Charles-Quint, fat forcé d’abandonner le village de Gœulzin, et d’y faire mettre le feu : le moment est celui où l’armée défile au milieu des flammes, laissant les paysans en proie à leurs malheurs.

8 Domquichotte crevant des outres de vin.

9 Domquithotte combattant contre des moutons, est assailli par les bergers.

10 ALKER, (A.) professeur d’écriture à St-Amand.

11 Un tableau d’écriture.

AUBOIS, rue du Cimetière St-André des arcs, no. 13, à Paris.

12 Une jeune personne retirée de l’eau.

On voit sa famille éplorée et un médecin qui lui prodigue ses soins. La vue est prise au dessous du Pont St.-Michel à Paris.

B*** (M. le Comte de) Amateur à Douai.

13 Les bains de César, d’après le tableau de Bouton.

14 Marine, lever du soleil.

15 Marche de cavalerie, corps de partisans Hollandais au 15e. siècle.

BAISIERS, peintre en miniature, Place-d’Armes, no. 28, à Valenciennes.

16 Portrait de Louis XIV.

37 Une miniature.

18 Idem.

BAST (Dominique), à Gand.

19 Une marine.

Par un tems calme et clair, on voit vers le milieu du tableau un aisseau de ligne anglais de 74, avec une frégate ; à gauche, un avise avec quelques autres bâtimens et chaloupes allant et venant ; à droite, plusieurs barques et une ville sur l’horizon ; sur le devant, un bâteau pêcheur chargé d’hommes et d’accessoires de pêche.

20 Paysage boisé et montagneux.

À gauche, une chaumière sous un massif d’arbres de toute espèce ; plus loin, un pont sur un ravin et des rochers qui bordent l’horizon.

27 L’hiver.

Une grande ferme avec écuries, granges et un moulin à vent au pied d’une vaste étendue de glaces, chargée d’un grand nombre de figures. Le lointain présente l’église et quelques maisons éparses d’un village. (Effet de soleil couchant.)

BERLOT, peintre d’architecture, rue Coquenard, no. 18, à Paris.

22 Vue ajustée d’une chapelle dédiée à St-Nicolas dans un faubourg de Naples.

23 Vue d’une entrée de Florence,

24 Vue ajustée d’un couvent sur le Pausilippe, à Naples.

25 Vue d’une petite chapelle de la Vierge, en Bourgogne.

36 Vue d’un escalier conduisant à un monastère, près de Rome.

27 Sépulture des Ducs de Bourgogne.

28 Ruines d’un ancien Therme, se trouvant dans un jardin, à Rome.

BESSELIEVRE, rue de Grammont, no. 10, près la rue Menars, à Paris.

29 Portraits peints d’après nature, de MM. les médecins Français à Barcelonne.

La scène se passe dans un hôpital de cette ville ; M. Pariset écrit la relation des événemens dont ils ont été les témoins. Tout-à-coup sa plume s’arrête ; il n’a pu tracer que ces mots : Nous étions quatre ; et ses yeux, gros de larmes, se tournent sur un buste couronné de l’auréole des martyrs, et qui représente son ami Mazet, victime de son dévouement ; tandis qu’il reste absorbé dans ses pensées affligeantes, M. Bailly, occupé aux recherches dont leur mission est le but, s’interrompt, et le montre avec douleur à M. François qui, venant de faire sa tournée, est déjà prêt à reprendre le travail qu’il avait été obligé de quitter. On voit dans le fond de l’hôpital, M. Jouary donnant des ordres aux sœurs de Ste.-Camille.

BÉCHIN-LEPET, ébéniste, rue de Bellain, no. 584, à Douai.

30 Un secrétaire d’acajou ; demi colonne à double face.

BÉTRÉMIEUX, relieur, rue de Paris, no. 166, à Douai.

31 Un volume, grand in-4o, en veau vert, (Racine), cousu sur lacet, ayant l’élasticité d’une simple : brochure d’après la méthode de M. Laisné, relieur à Paris.

32 Les œuvres de Buffon[2], à nerfs, sur lacet, dos brisé, reliées en maroquin, à compartimens et fers détachés.

33 Cinq volumes, reliure en veau rose, sur lacet, encadrement sans or.

34 Cinq volumes, en veau vert uni, nouveau granit sur la tranche.

35 Un volume, grand in-8o. en veau rose, double nerf.

BICHEBOIS, rue St-Jacques, no . 51, à Paris.

36 Un paysage.

37 Idem.

BIOT, peintre à Lille.

38 Un paysage.

39 Idem.

40 Idem, peint sur verre.

41 Idem.

BLOCAILLE (Émile), de Douai.

42 Le Temple des souvenirs. (aquarelle). C3) BŒNS ( L.), chez M. Wauters, rue haute, sect. 2, nm. 733, à Bruxelles. --43 Un intérieur. 44. Un intérieur. ’ BOISSELIER, rue Charlot, n°. 45, au maraïs, à Paris. = ’45 Vue d’après nature d’une petite Église dans les environs de Caprarole, États Romains. BOILLY (Jules), rue Meslé, n°. 12, à Paris, 46 Portrait du père de l’Auteur. 47 Idem. de M. Sicard. + 48 Idem. de M. de Sèze. 49 Idem. de M. Cuvier. 5o Idem. de M. Alexandre Duval. 51 Idem. de M. de Bonald. 52 Idem. de M. de Ségur.

Tous Membres de l’Académie Française, faisant partie de la collee- tion des portraits des Membres de l’institat royal de France, que

publie l’Auteur. Les portraits ont été faits en une séance de deux heures.

BOILLY, rue Meslé, n°. 12, à Paris.

. 53 La distribution du vin et des comestibles, aux champs Elysées, à l’occasion de la naïssance du Duc de Bordeaux.

54 Le huit juillet, ou les déménagemens., 55 Paysage avec figures. 56 Figures et animaux. BOINET, Professeur d’écriture, à Abbeville. 57 Une pièce d’écriture. 58 Idem. ’ 5g Idem. | BOICHARD, de Bourges. 60 Vue de la vallée de Royat, près de Clermont. 6r Moulin dit de l’hôpital. BOLLAERT [Charles], élève au Collége Royal.

62 Un dessin représentant Jeanne d’Albert, Reine

de Navarre, conduisant son fils Henri IV au tombeau

de son père.
BOQUET, grande rue Taranne, n°. 12, faubourg St-Germain, à Paris.
63 Herminie, Princesse d’Antioche, est à la recher­che de Tancrède, et raconte ses avantures au Vanier.
64 Baptème de Clorinde par Tancrède.
65 Le triomphe d’Amphitrite.
66 L’enlèvement de Déjanire par le Centaure Nesse.
BOUGENIER ( Henri ), à Valenciennes.
67 La Venus de Médicis, d’après l’antique, ( Dessin )
68 Le Groupe de Laocoon… Idem… Idem.
69 Le Torse. Idem.. Idem.
BOUCHARDY, rue Sainte-Anne ; no. 34, près celle des petits champs, à Paris.
70 Portrait d’homme. (Miniature.)
71 Idem.
72 Portrait de femme
BOUGON (Mme.), graveur sur bois, élève de Thomp­son, rue des Noyers, n.33, à Paris.
73 Un cadre renfermant neuf sujets tirés des fables de La Fontaine.

Huit culs de lampes ; six têtes des Rois de France. faisant partie des soixante-neuf qui formeront la collection de l’histoire de France de le Ragois, qui paraîtra le 25 août, chez Moronval, imprimeur-libraire, rue Galande, n°. 65, à Paris.

Divers autres sujets pour différens ouvrages ; le tout gravé sur bois.

BOUHOT, rue St-Martin, 29.298, à Paris.

74 Un intérieur d’écurié gothique.
75 Vue prise sur le canal St-Denis sous le port de la Villette, avant l’achèvement du canal. (Effet de neige).
BOULANGER, professeur d’écriture, à Lille.
76 Une pièce d’écriture.
77 Idem.
78 Idem.
BOURGEOIS DUCASTELET, rue Jacob, m. 20, à Paris.
79 Un paysage

Seigneur passant, ayez pitié d’un pauvre soldat estropié : jetez, (is) s’il vous plait, quelques pièces d’argent dans ce chapeat ; vous-et serez récompensé dans l’autre monde. Sujet tiré de Gil-Blas, BRA, de Douai, rue de Sèvres, no. #4 à Paris,

80 Statue d’Aristodème.

Aristodème, Roi de Messenie, regardant comme inévitable la prise d’Ithôme, et l’asservissement de sa pairie, se tue sur le 1om= beau de sa fille, inutilement sacrifiée aux Dieux Infernaux pour le salut de son : paÿs

.8r Buste de Jean de Bologne, séthes Statuaire né à Douai.

Ces deux objets dotés à la ville de Douai, à titre dè unifiéence zoyale, sont placés au Musée.

82 Statue de St —Paul.

(Commaudée par M. le Préfet de la Seine, pour l’église de St. Houis, à Paris)

83 Buste de Francqueville, étatuaire, né à Cambrai : élève de Jean de Bologne. | : BRA ( Mad.) —

84 Portrait peint d’après le tableau de Bassano’, qui se trouve au musée du Roi, [ce portrait a été peint pour l’auteur de l’éloge de Jean de Bologne. d :

BRUN, rue du faubourg St-Denis, no. 144, à Paris.

85 L’intérieur d’une Grotte, prise dans les environs de Rome.

“On aperçoit deux femines qui se baignent.. | BURTEL, rue du Tr St-Sauveur, ro. 103

aris. ;

86 Une station à la Vierge c dans ui site d’Italie, —

B**, [ Melle. É. de] Amateur à Lille.

87 Album lyrique.

CALLENS ( Phil.), éève de M. Gelissen, rue des pierres, n° 1059 à Bruxelles.

88 Une basse cour d’Aslolenbeck, dite Terslot, près de Bruxelles.

89 Une vue des environs de Bruxelles. CARLIER-RUBRECQ, rue de la Barre, no. 31,

Lille.

90 Un portrait de femme, (D’après nature }, g1 Un tableau de genre….. Edem, (16 } : CARRIÈRE Professeur, d’écriture au Collège Royaï et maître de dessin à Douai.

.— 92 Un presbytère.

g3 Une chaumière. 94 Une vue des défilés d’Estrella dans la Siéra- Morena.

Des brigands en ambuscade sur le sommet des rochers qui domi- ment les défilés, se disposent à attaquer des voyageurs qu’ils aper- goivent se dirigeant vers ces défilés.

95 Vue extérieure de la porte latérale d’une église re

96 Vue intérieure prise dans l’église de Sceaux.

97 La Peinture | figurée par un artiste à son chevalet).

98 François Salignac, de la Mothe Fénélon, arche- vêèque duc de Cambray, né en 1651 et mort en 1715.

99 Tableau Tecnographique, ou principes de tous les genres d’écriture. 100 Tableau de Commerce.

CARRIÈRE, fils, élève au Collége Royal, à Douai. 101 Jeune Turc mourant, défendu par un Kaire. Ê Dessin 1. :

102 Corinne, d’après Gérard. [ Dessin ]. CAULET, professeur honoraire de l Académie de des- sin à Douai.

103 Un paysage pris dans les Ardennes. 104 Un paysage…….. Idem.

CHAMPMARTIN (de), rue d’Assas, n° 14 à Paris.

10% Un Joueur est prêt à se suicider. Cette scène qui s’est passée à Paris est, pour ainsi dire, faite d’après nature : l’intérieur étant exactement celui de ce malheureux. 106 Une femme mourant de la peste est abandonnée de tons ceux qui pourraient la secourir, (Episode de T’or- tose) : | 107 M… après avoir occupé des plates très-importan- tes se trouve réduit à la dernière misère, (37)

CHEVALIER, professeur à Douai, élève de l’école de dessin de la méme ville, et de M. Abel de Pujol. 108 Jason vainqueur de la toison d’or. (Etude dessinée

d’après nature).

CLEVENBERGH( Charles Ant.), rue de Namur, n°.

19, à Louvain. 109 Un tableau de gibier. CŒNE, à Bruxelles.

rio Une fête de village, ou l’effet de la bierre mous- seuse.

111 Une servante endormie.

112 Lafille mal-gardée.

113 Une petite scène flamande.

CŒNE fils, àB ruxelles.

114 Un paysage.

COUET [Mad], ; née Baquoy, rue de Vaugirard, n. près l’Odéon, à Paris.

115 Cyparisse, fils de Telephe.

  • Il nourrissait un cerf, qu’il tua par mégarde, et en eut tant de re

gret, qu’il voulut se donuer la mort. Apollon le mélamerphosa ex cyprès.

COUCKE, , rue de Bruges, n 31, à Gand. 416 Vue de Gand. ( Clair. de lune, en hiver } COUDER, rue St. Antoine, n°. 62 à Paris.

117 Roméo et Juliette se disant adieu pour la dernière fois. A l’aube du jour, prêt à descendre par l’échelle de corde : Ædieu, adieu, lui dit-il, encore un baiser et je vais descendre. — (Tragédie de Homéo et Juliette, par Shakespear). 118 Adamet Eve. ( Esquisse terminée.)

-Le prince des enfers, pendant Je sommeil des deux époux, pénètre dans Eden où, caché-sous la figure d’un serpent, il cherchait à cor= rompre l’innocence d’Eve, lorsque deux anges, Iihuriel et Zephon, accourent chasser l’esprit des lénèbres. A leur vue, Satan reprend sa forme, et forcé de s’éloiguer, il menace de son sceptre ses victimes en bravant le Ciel,

(Milton, Paradis perdu, livre 4 }) Cx8) COUPIN de la Conprie, peintre d’histoiré, professeu ?

à Técole Royale et militaire de St. Gyr, et de MM.

les pages du Roi, rue Satory n° r08 à Versailles. 119 Les amours funestes de Françoise de Rimini, fille de Guy de Polinte, seigneur de Ravenne.

Elle fut unie par son père à Lancelot, fils dé Malatesta, Seigneur. de Rimini, Prince reconntt par sa brävourd, maïs peu favorisé de la mature. Paul, sou frère, jeune homme d’une räre beauté, habitait le même palais ; séduit par les. charmes de Françoise de Rimini, il covçut secrètement pour elle un violent amour, que sa belle-sœux pariageail, et qu’ils s’efforçaient l’un et l’autre de tenir caché. Un jour Îes amans se croyant seuls, s’étaient réunis sans dessein prémédité ; pour lire le roman de Lancelot du le, célèbre alors ; —ebite lecture. les émût puissamment, leur raison s’égara.….. Le mari qui les épiait, entra furieux et les t#a tous deux du même coup d’épée, 5

Dante, divina commedia, inferno, canto 5.

120 La première pensée du sujet de Valentine de Mi- lan au tombeau du duc d’Orléans, son mari, frère de

Charles VI, lächement assassiné paï le duc de Bourgogne son oncle.


Les historiens contemporains rapportent qu’après avoir vainement demandé aa Roï. son beau-frère, justice d’un parcil attentat, elle mourut ; au bout d’un au, consumée de douleur. Les charmes de sa personne et de son esprit étaient tels, qu’elle fut soupçonnée de ma- gie. Après le fatal événement qui la priva de son mari, et k France d’un Prince accompli, elle venait chaque jour pleurer et prier sur le tombeau qu’elle lui fit élever, (Esquisse.)

Le tab’eau a élé acquis par la maison du Roi, et fait maintenant partie du musée du Luxembourg.

COURTIN, rue princesse, n° g à Paris. 121 Un paysage du genre historique.”

CURTY rue des Canettes, n° 18 à Paris. 122 St. Sébastien

St. Sébastien, après avoir été percé de flèches par les soldats de Diocléüen, est laissé pour mort ; une Sainte femme, nommés Irène, vint pour emporter son corps ; mais ayant trouvé le Saiat encore vivant, eilë le détacha de l’arbre et s’occupa d’étancher le sang qui coulait de ses biessures. 123 Ruine d’une és due, servant de boutique. à une inarchande-de légumes. Cette femme est endormie sur sa porte, tandis qne des enfans lui volent des légumes ; —éffet de lune ’et de lumière. 124 Une vué de l’ab ; des Vaux de Cernay. : (à la sépia).. 125 Ancienne chapelle ruinée au Sargis. idem. 126 Une vue de l’église de Broglie. idem. Les paysans entendent la messe à la porie. CORBIT-BERCLEYX. et Comp. ; de Douai. 127 Un voile et un mouchoir brodés. CRAMETTE (Joseph }, & Douai. 128 Portrait du frère de F’Auteur. ( Modelure) . 129 Portrait de G**%*, , , , ,… Idem. ’130 Une corbeille de fleurs. …… Idem. : CYPIERRE, boulevard montmarire, nè 10 à Paris. 131 Une forêt au clair de lune. Des-bucheroës édioutent un feu. a. DAVID, rue du cimetière St. Nicolas, n° 5 à Paris. 132 Un cadre renfermant des camées, opales ; mosaï- ques etc.

DE BROUX [Mcie, Adèle] ; ns Hs Foordioker » rue St-Laurent, près celle des Comédiens, à Bruxelles"

333 Un intérieur de cuisine. T D : après nature ]. 134 Une table de marbré avec un panier de fruits.

DECAMPS, élève de M. Abel de Pujol.

135 U pâtre : ( Esquisse d’après nature.)

136 Une diseuse de bonne-aventure. ( Aquarelle).

Un cadre renfermant trois dessins à la Sépia : savoir.

137 Vue d’après Nature dela chapelle de l’Ile St Denis, prés Paris.

138 Vue de FÉglise de là commune d’Aguières en Picardie.

139 Un intérieur gothique. ( Ruine 4 DEDELLEY fils, Lorloger machiniste, rue de la Nÿ,

n° 3, à Lille.

rio Une pile séche, mue par l’effet.du Calorique b- tant, présente une série de 6000 disques composées de (2) parties hétérogènes, dont le résultat offre un mouvement : perpétuel. Cet appareil marche depuis le 26 juillet 1822.

141 Un mouvement composé de 7, 200 pièces, pour la confection d’un métier à fabriquer les tulles, bobinettes ; le seul exécuté en France par un Français.

Ce mouvement es ! exécuté sur les vrais modèles anglais.

DEJONGHE (J.B.), peintre à Courtray. 14% Un paysage avec des animaux. 143 Extérieur d’une ferme. 144 Paysage avec animaux. 145 Idem. DELAFONTAINE-BENASSIS, fabricant, à Douai.

146 Cheminée à six pans en tôle vernissée, à brüler du bois et charbon.

DELACROIX, (E.) rue de Grenelle St. Germain n°. 118, à Paris 147 Un Mameluck blessé,

11 s’est réfugié dans des ruines avec son cheval ; il prête l’oreille et s’effraie au bruit d’une escarmouche qui se rapproche du lieu de sa retraite.

DELAROCHE jeune, rue Childebert, faubourg St. Germain n° 9 à Paris. 148 Philippo Lippi, peintre florentin. Sujet tiré de la vie des peintres. 149 M. le Comte et Madame la Comtesse M..

Tiré du cabinet de M. le baron de Jassand. 150 Tête d’étude.

DELVAL, professeur d’écriture, chez M, Didelot, rue de la pomme d’or, à Arras,

151 Une pièce d’écriture. 152 Idem. 153 dem.. 154 Idem, 155 Idem. — 156 Idem, ’

À

DELORME, architecte, à Douai.

157 Coupe perspective de l’Église St-Pierre, à Douai.

DEMARNE, rue de Richelieu, no  21.

158 Une métairies.

159 Les bucherons.

160 Le batelier.

161 Le champ de blé.

DENOTER (Auguste), élève de son père.

162 Vue prise sur la Meuse.

DENOTER, professeur de l’académie Royale à Gand.

163 Une vue de Bruges.

164 Une vue des environs de Gand. (Hiver.)

DUBOIS (Narcisse), élève de l’école de dessin d’Armentières.

165 Louis XVIII. (dessin)

DERNAUCOURT (François), élève de l’école de dessin d’Armentières.

166 Un victimaire. (Dessin.)

DEROY (J. B.), à Bruxelles.

167 Cinq vaches dans une prairie bordée de plantes aquatiques.

168 La vue du chateau de Montaigues.

Au bas des rochers passe un troupeau de moutons à travers une pièce d’eau.

169. Un paysage avec des animaux.

DESBORDES (Constant), rue Childebert, no  9 à Paris,

ancien élève de M. Caulet, professeur honoraire de

l’académie de dessin de Douai.

170 Une scène de vaccine.

Tableau commandé par le Ministre de l’intérieur.

171 Portrait de Félix Desbordes, frère de l’auteur.

192 Portrait de Mme Desbordes Valmore, (Dessin).

173 Portrait de l’auteur. se (28 } | DESPOIS, rue du colombier, n° 13 à Paris.

174 Vueïntérieure dela tour principale de église : St.= Germain. des-Prés, bâtie à Paris dans le sixième siêcle, sous le règne de Childehert Lee, DEYROLLE-SCOT, naturaliste, rue de la grande

Chaussées #35, à Lille.

155 Un sanglier empaillé.

1 36 Une caisse contengnt seize oiseaux exotiques. ”

177 Une autre caisse contenant seize oiseaux exotiques,

178 Une caisse contenant dix-sept oiseaux et un petit quadrupède indigènes..

179 Une caisse contenant des sin cé.

180 Une caisse contenant un renard et un coq.

18 : Une caisse contenant six canards. | DONSELAER, rue Sainte-Catherine n°. 15, à Gand.

182 Un paysage avec figures.

183 Un hiver, vue dé la nord Hollande,

Une rivière traverse un endroit près du Bukeloot ; une maisén rustique se trouve à [a droite du tableau, et quelques ME s’amusent sur la glace.

184 Un paysage boisé ; vue prise en Hollande.

Un courant traversé par des vaches passe devant une habitation rustique. Des’arbres touffus se trouvent an côté gauche du tableau. DOUEZ ( Xavier Jules), Place St.-Jacques, à Douai,

185 Un vase de fleurs d’après nature,

DRABBLE ÉRSIE 1 me des tes — n°, 5,

186 Échantillons si e. ln filés au moyen dune canique, DROUIN, à Paris, 187. Un portrait en miniature. DUBRULLE fils, rue des Wétz, no. 143, à Fe 188 Relief de la charpeñte du Dôme de l’Hôtel Royal des invalides à Paris, d’après Kiafft) ; réduit à 1742 189 Epuredudit relief. DUCORRET (Céser) ; mé sans bras, sotdf 17 4nS, (33) élève de M, Wathau, médailliste de l Académme de dessin de Lille, rue St-Jacques n°. 8, à Lille. _ Trois têtes d’étude tirées du tablean d’Abel de Pujol., représentant Joseph explignant les.songes. 190 Tète de Joseph. ( Dessin } 191 Tête du Panetier. Idem. 192 Tête de l’Échanson. Idem. Ces trois lêtes ont été dessinées avec les pieds, DUCORRON, peintre et professeur, à Ath. 193 Vue prise aux environs de Spa, le long de l’Am- bleve (rivière), derniers rayons d’un Soleil couchant. 194 Vue..une heure après le lever du.soleil | 195 Vue d’un moulin à eau. 196 Vue prise à Remich sur la Moselle,

DUNANT, rue des grés, place St-Michel, n° 10, à | © Paris.

197 — Intérieur d’une boutique de menuisier, Un homme y fait la lecture du journal. : 198 Le relais d’une chaise de poste, — Prêt à partir, un Officier supérieur fait ses adieux à son ami, 199 La leçon de la grand’maman. DUPLAT, rue du Cloitre St-Benoit, n°. 26, près la ’rue St-Jacques, à Paris. | 200 Un voyageur attaqué par des’brigands, dans un €hemin de la forét de Fontainebleau. (Etude d’après nat.). 201 Un moulin à eau près Caudebec en Normandie. 202 Une vue du chemin de Jouy, prise dans le bois dé Buc près Versailles. ( Etude d’après nature,) DUVERGIER, Boulevard, Mont-Parnasse, à Paris. 203 Une baïigneuse. EECKHOUT, ( J. J.) rue des Pierres, n°. 1059, à Bruxelles. 204 Un menuisier dans son attelier, occupé à déjeuner, Le soleil pénètre dans une partie de Fintérieur,

EVRARD (Met), élève de M. Ducorror à Ath. 205 Un lièvreet un héron suspendus par les pattse, (34) groupés avec un canard, une bécasse et une grive. 206 Des raisinis— blancs et bleus attachés à leur branche, 207 ’Une perdrix etune grive suspendues par les pattes,

FÉRÉOL, rue des Filles St.— Thomas, n°. 17, à Paris.

208 Vue prise sur le Loiret près d’Orléans. 209 Intérieur de cour pris à Orléans.

FOURNIER-DESORME, place Saturnin à Chartres, et à Paris chez Mne, Beaulieu, rue : St-Thomas d’enfer, no. 3,

— 210 L’Espagnolet.

L’Espagnolet naquit dans la pautreté et vécut longtems miséra- ble, nullement envieux des biens de la fortune. Il se rendit ea Lialie, afiu de se perfectionner dans un art qui lui faisait oublier toutes ses peines. Un Cardinal le vit un jour dessiner —dans la cam- pagne, et fut aussi frappé des talens du peintre, que touché de l’in- digence dans laquelle il paraissait plongé. Le généreux Cardinal l’engagea à venir loger dans son palais et pourvut abondamment 4 tous ses besoins ; mais l’Espagnolet s’étant aperçut que cet heureux changement de foriune le rendaït paresseux, quitta. brusquement son iHusire protecteur, et se remit avec joie dans la misère, afin de reprendre le goût du travail.

(Pües des peintres célébres). FOURCROYŸ et MICHEL, chez M. Petit, rue d’Ocre, à Douai.

211 Unescie de nouvelle invention. 212 Une planche de frêne d’un pouce d’é épaisseur ; À sciée avec la nouvellescie,

213 Une planche de Sapin. Idem. FRANQUELIN, quai d’Anjou, n°. 25, Ile St-Louis, . à Paris.

214 Thisbé. ’ 215 La romance. 216 La miniature. 217 Portrait de l’Auteur. FREMAU ( François), élève de l’école de dessin & Are

mentières, 218 Unlutteur, (Dessin,) (25)

FRY [ Gitbert ], élève de l Académie de Douai.

219 Voltaire, buste. [ Modelure ].

220 Boileau, buste, Idem.

221 Une pomme deterre. Idem.

F URET, rue Sainte-Anne, n°. 9, à Paris.

222 Intérieur de Sainte-Géneviève de Paris, dit le Panthéon Français. ( Dessin aquarelle).

223 Intérieur de l’Église de Notre-Dame de Paris. (Dessin aquarelle).

GANCEL, mécanicien, à Cambrai. 224 Nouvelle pompe à incendie à double effet,

GARNIER, chez Mad. Auxœuÿs, Place-d Armes, à Douai. 225 Portrait de M. B. de M*** 226 Idem. de M. le Baron de L*** 227 Idem. de M. le Président D*** 228 Idem. de M, le Conseiller E*** 229 Idem. de M. de V’** 230 Idem : de M. de T*°* 231 [d. de l’abbé Sicard, directeur des sourds-muets.. 232 Îdem. de Mad. Manuzou. GARSON ( Victor), rue Molay, n°. 4, près le Tem- -_ ple, à Paris. 233 Elie ressuscitant l’enfant de la veuve de Sarepta. 234 Vue du marché du Temple. 235 Fêtes aux Champs — Elisées et distribution de comestibles, .236 Le musard puni. 237 Danse de petites filles.

GERICAULT, chez M. Deluroche, rue Childebert, n°. 9, faubourg St-Germain, à Paris. 238 Un postillon faisant rafraîchir ses chevaux. GELISSEN, rue de l’Etuve, n°. 1475, à Bruxelles.

239 Vue des environs de Bruxelles, prise au mois de juin sous la commune de Roosbeck, (26) ë CÉRARD, rue de la Michodière, no. 5, à Paris. 240 Une chaumière, à la porte de laquelle un cavalier se rafraichit [ Éfet d’orage ]. — 241 Un eftet de Soleil couchant, GCET, rue du Colombier, n°. 17, faubourg St-Ger- | main, à Paris. 242 Une petite ménagère. 243 L’intérieur d’une cour. GILLERON ( André}, tisserand, rue St-Michel, à Douai. 244 Une chemise sans couture. CIROUX (André), rue du coq St-Honoré, #.5, à Paris. ” 245 Le pauvre marchand. 246 Le marché à la volaille, à Paris, 247 Un moulin à eau. ( Etude.) 248 La poissonnière. 249 Un lavoir près Meudon. ( Etude.) 250 Entrée du iélégraphe de Montmartre. Les figuris de ces tâb’eaux sont de Ch. X. Leprince. GOSSE DE SERLAY, Chef de bataillon d’artilleric. 251 Paysage d’après M. Ducorron. (Aquarelle.) 252 Un clair de lune, d’après Storelly. 253 Un effet de neige, idem. 254 Ün cactus speciosus, peint d’après nature. 255 Une lithographie ; vue prise dans le parc de Cœulzin. s GOBERT (Madame), rue basse St-Pierre, mn. 0, près la rue Menil-Montant, à Paris. .256 Un paysage. GRAND PIERRE (Melle, Adrienne), élève de M. Abel de Pujol, rue Dorée, n°, 8, au marais, à Paris. 257 Un intérieur. GREÉGOIRE (P.), sourd, muct, rue Neuve des pe- tüits-champs, no. 58, à Paris. 258 M. l’abbé de l’Épée, instituteur des sourds-mucts. 23) GUERARD, rue Bourtibourg, ne* 21 au Maraïs, 259 Un paysage. 260 Idem, 261 Idem. 262 Idem. 263 Idem. 264 Idem,

HARDIVILELER (Achille d’) rue de la Chaise, Fos 14, faubourg $t.-Germain, à Paris

265 Le Duc de Berry pansant avec son mouchoir la blessure d’an grenadier Français fait prisonnier à la ba< taille de Waterloo.

Cet acte d’humanité a été fait par ce Prince uh peu après la bataille, dans une des visites qu’il avait c coutume de rendre aux pri= sopniers Français.

(Tiré de la vie du Düuc de Berry, par M. de Chatrau-Briant.) HAUTRIVE-CAUVAIN, fabricant de bonneterie, à Douai.

266 Un jupon | fait en coton très— —fin en 5 fils, à maille de bas » €L portant un bord de 14 pouces de haut, tra vaillé à jour.

HELLEMANS (P.J), rue des grands Carmes, sect. 8, 7% 1494, à Bruxelles.

267 Vue prise à Schaerbéek près Bruxelles,

Le lointain offre Je château de Laccken.

268 Vue de Boisfort près Bruxelles.

269 Un paysage avec animaux.

HENRI (Jules), boulevard poissonnière, n°. 20, & aris. :

230 Deux-jeunes filles dans une salle décorée d’objets. d’aris. * |

HENNEQUIN, de Lyon.

192 Caïus Marius.

232 Efet de Volean, (28) HERVILLY [Mele. d’|, rue de l’abbaye St.-Germain, mo. 3, au Palais Abbaiial, à Paris.

273 Un avengle à genoux, joue de la vielle. Son fils mplore l’assistance des passans. 254 Une tondeuse de chien.

BETTE, de Douai,

275 Portrait de M. B. de M** 276 Idém. de M. P*

257 Idem. de M.F**

278 Idem. de M. D***

279 Idem. de Metle, D*** 280 Idem. de Meie, H°**

HUTIN [ Alexandre ], cordier, à Auberchicourt, près Douai.

281 Une corde plate servant à tirer du charbon à la rouvelle mécanique auglaise à Auberchicourt. Cette corde est de la longueur de goo pieds ; elle est de re lever 12, 000 livres. JACQUERYE ( Charles), élève de l’école de dessin d’Armentières. 282 Un satyre. ( Hessin). JACQUERYE(G. }, directeur et professeur des écoles gratuites de dessin et d’architecture de la ville d’Ar- mentières.

283 Deuxfemmes dans une salle décorée d’objets d’arts.

284 La litograyhic coloriée du même tableau.

285 La lotcrie de village.

286 Un vase contenant des fleurs.

287 ; Un cadre contenant des papillons imprimés par la seule poussière de leurs ailes.

Cette colleciion est forie de 4000 pièces.

JANSSENS, aux ci-devant Minimes, à Bruxelles. 288 Un intérieur d’Église goth. effet de jour. (Dessin). 289 Idem… Idem… effet delum… Idem. 2go idem.. Fden, à à à & à Idem… Idem. 294 Intérieur ’de l’Église des ci-devant Minimes à

Bruxelies. ( Dessin) (29) JODOT, de Douai

292 Un portrait à l’Aquarelle, Metle, D***

293 L’intérieur d’une chapelle.

294 Un projet d’une halle aux poissons à exécuter à Douai sur la place du marché actuel.

295 Un projet de greniers publics et d’une halte aux grains à exécuter sur la place Bourbon, à Douai.

KINDT (Melle Adèle), hors la porte de Louvain, à Bruxelles.

296 Portrait d’une jeune personne. 297 Une tête d’étude.

298 Eliézer et Rebecca.

299 Deux têtes d’enfans. ( Etude).

KONIGK ( Louis de) de Dordrecht.

300 Vue prise sur les bords de la Mervwe, près Dor- drecht, KREMER ( Pierre), chez M. Goossens, place de

Meir, n°. 1205, à Anvers.

8or Philoctete, voulant percer Ülisse, est retenu par

Néoptolème. LABBÉ, rue du Foin St.-Jacques, no. 13, à Paris.

302 L’évanouissement.

Sujet tiré du Conte de la belle au bois dormant,

Elle n’eut pas plutôt pris le fuseau, que comme elle était fort vive, un peu étourdie, et que d’ailleurs l’arrêt des fées l’ordonnait ainsi, elle s’en perça la main, et {tomba évanouie : la bonne vieille, biem embarrassée, crie au secours ; on vient de tous cotés.

303 Le réveil.

Il entra ( le jeune Prince) dans une chambre toute dorée, et il vit sur un lit, dont les rideaux étaient ouverts de tous cotés, le plus beau spectacle qu’il eut jamais vu : une Princesse qui paraissait avoir quinze ou seize aus, et dont-J’éclat resp’endissant avail quelque chose de lumineux et de divin, Il s’approcha en tremblant et en admirant, ei se mit à genoux auprès d’elle. Alors somme la fin de l’enchanie- ment était venu, la Princesse s’éveilla. { 3) LARBY, rue Sainte-Hy En St-Honoré, w. 6, à

Paris. 304 Louis XI.

  • Louis XI passant dans une cour d’abhaye, voit un moine endormi,

et déposant une bourse auprès de lui, justifie ce vieux dicton : La forlure vient en dormant

305 Un sonneur de cloches dans l’intérieur de l’Église de Creil, près Paris.

LAFOND, peintre d’histoire, rue Jean-Jacques Rous-

seau, n°, 3, à Paris. 306 Apollon chez les bergers. 307 Une tête d’inspiration. LAJOYE, , rue Ticquetonne, w°. 6, à Paris. 308 Un paysage. LANDTSHEER fils, à Bruxelles.

309 Une des Saintes femmes de la Passion ; contem- plant le corps de Notre-Seignenr.

310 Un atelier de demoiselles.

LANDTSHEER, (F. de) professeur de l’Académie Îoyale de peinture de Bruxelles, rue de Lacken, n°. 675.

311 L’amour désarmé par les Grhces 3r2 L’amour reprenant ses armes aux Grâces,

LAURENT (Paul), à Paris.

313 Scène de voleurs, représentée dans l’intérieur d’une ancienne carrière,


Une jeune femme prise par des brigands, devient l’objet de leur euvie, et le chef que l’on voit parmi eux, s’apprête à la tirer au sort ; Von d’


1x, endormi par suite d’ivresse, est placé en vedette, et 5’aperçoët pas un détachement de grenailters armés de leurs fusils, et se disposani à délivrer la malheureuse tictime.

LAURENT (Mile Emma }, à Epinal.

314 Orphcliue vêtue d’étoffe noire et assise près d’un The.


Ælle chante sos mathours ; er s’accompegnant d’une mandoline. C3 :) LAUWER ( Henri de). marché St-Jacques, sect. à n°.1505 à Anvers. 315 Un Tableau. LEBORNE, rue Haute-feuille, no. 30, à Paris, faubourg St.-Germair.

316 Vue de l’entrée de la porte Notre-Dame de Douai.


Ce tab’eau est peïnt d’après la litogra d’artil’erie de Douai. Les figires militaires sont de M. Vicior Adam.

LEBRUN (Hyppolite), rue de T Abbaye Si.-Germain, n°, 3 & Paris.


à l’école royale

317 Le supplice d’une vestale. { 10 ou 11 heures du matin }. |

On sait que la vestale coupable d’avoir manqué au vœn de chas- teté, était conduite au supplice, dans une litière sombre. et exacte- ment fermée, afin que ses cris ne pussent être eutendus. Le Pontife, suivi des Prêtres, l’accompaguait ; les amis de la prétresse, la sui- vaient en pleurant.

Quand le cortège était arrivé au lieu du supplice, le Poniife ouvrait Ja litière ; il ôtait à la vestale ses liens ; la conduisait sur la iombe en Ja tenant par la main ; et la repoussant ensuite loin de lui comme une victime exéerable, il la livrait aux exécuteurs.

La vestale descendait par uve échelle dans sa dernière demeure. Un petit lit y était placé. On lui donnait une lampe, un peu d’hui pour l’entretenir ; une légère provision d’eau, de pain, de lait ; et la


tombe se fermait sur l’infortunée.

318 Le bain des nymphes, ( après-midi, soirée peu

avancée).

La bande joyeuse, dont Silène est le chef, arrive à une fraîche grotte, où des nÿmphes sont venues prendre le plaisir du bain. Cette rencontre donne lieu à des scènes variées. Ici, c’est un satyre quai poursuit une nymphe et la saisit de ses bras vigoureux. Là, l’un de ses camarades, se glissant entre les rochers, arrive trop tard, et trouve nageant les nymphes qu’il voulait surprendre. Ailleurs, un satyre renversé, reçoit uve correction sévère, Plus loin, un faune licencieux s’est emparé des vêtemens des nymphes, et, dans une (32) ätitude qu’on ne pouvait indiquer au spectateur avec {op de réserve s les invite insolemment à venir les reprendre. Dans un autre gronppe ; uve nympbe rusée amuse un jeune faune par de feintes caresses ; tandis que deux de ses compagnes s’avancert avec précaution pour le surprendre et le lier. Entre des rochers couverts de mousse. un faune ardent supplie üne nÿmyphe qui l’écoute sans colère. Dans le fond, un satÿre a sans doute abusé de sa force, et se moque de celle qui m’a pu lui rési


er : Dans la pariie éclairée enfin, Silène, soutenu par un faune, s’avance en dansant d’un pas mal assuré : digue ministre du Dieu des vendanges.

319 Fête en l’honneur d’une Nayade. (soir.) LEBLANC [Charles], élève au Collége Royal.

320 Un dessin, représentant Fénélon pansant lui- mème les soldats blessés à la bataille de Malplaquet. L… amateur à Douai. 3er Tête d’étude d’après Crayer [ miniature. | 322 Idem d’après Porbus, idem. 323 Portrait de l’auteur, idem. LECŒUR, de Lyon. 324 Un intérieur de cuisine. LEDOUX (Mlle) à Paris. 326 La potite friseuse, 327 L’enfant et la colombe, LEGENDRE, Je St Louis n° 93 à Paris.

328 La cour d’un ancien cloître en Bretagne.

39 Vue prise près Laval où lon voit la Mayenne, 330 Une tête d’étude.

331 Idem.

LEGRAND ( Mie), de St Aubin. quai de la mégisse- rie n°64, à Paris. 332 La visite de Malek-Adhel à Mathilde, dans son oratoire.

Il lui rappelle le serment qu’ilen à reça de n’appartenir jamais qu’à lui. Elle lui moutre le Dieu des chréliens, et lui renouvelle 1a promesse de son cœur et de sa main ; s’il jure sur Îe saint évangile de renoncer à la croyance des infidèles, | (3) 333 Le baptème et la mort de Malek-Adhel.

L’archevêgue se hâte de répandre sur le prince mourant l’eau sainte du baptême ; le prince quitte la main de Mathilde pour embrasser la croix ; aussitôt la lumière divine descend par torrens dans son âme : céiestes clartés, dit-il, je vous ai vues ; foi, espérance, amour, je me livre à vous.

LEGRAND [ Melle. Jenny ], rue des Moulins, no. 20, à

Paris.

334 Un intérieur de cour, orné de figures et ustensiles.

LEJEUNE | Le Général Baron ].

335 Une grande scène militaire.

LEMERCIER, rue de Furstemberg, n° 6, à Paris. 336 Les baigneuses. 337 Les solitaires, 338 Le passage du troupeau, LEPRINCE (A. X.), rue Haute-ville, n°33, à Paris. 339 Vue d’une partie des fortifications de la ville haute de Provins. LEPRINCE ( A. Léopold), rue Haute-ville, n°. 33, à Paris. 340 Vue de l’église de Montmorency. LEROY ( Abner), de Falvy. 841 Un portrait en pied. ( Dessin.) LEROY ( Alphonse), rue Chanoinesse, n°. 18, près otre-Dame à Paris. 34a Un paysage vue d’Auvergne. Robert, comte d’Auvergne, partant pour la terre sainte, fait vœu de consacrer sen épée à la Vierge s’il revient victorieux. LEROI DE LIANCOURT, rue des Moulins, no. 0, à Paris. 343 Deux petites filles en danger d’être brülées. 344 Un paysage dans lequel deux enfans jouent avec des cérises. { 34)

345 Un paysage à la gouache, par, un procédé qui ? reud cette peinture aussi solide et aussi vigoureuse que Fhuile.

346 Un paysage idem.

347 Un paysage idem.

348 Un paysage idem.

349 Un petit paysage pour dessus de boîte.

356 Un entre idem.

EOCOGE de F’alenciennes, élève de monsieur Boisse- lier à. Paris.

351 Thésée.

Hi s’était rendu avec Phèdre son épouse à Trezène. où il faisait &lever son fils Hippolyte ; Phèdre conçut une si violente passion pour ge dernier, qu’elle le suivait sans cesse à la chasse, au gymnase et äl’hippodrome,

Le tableaa représente le moment où Phèdre regarde H’ppolyte se rendant à l’hippodrome, accompagné de Pithée, son ayeul. L’ardeur de son amour lui faisant oublier le respect dû aux sépulinres, elle me craint poini de s’appuyer sur un tombeau, et refuse les fruits que ui présente Œnonns, sa nourrice.

On aperçoit à droite le temple que Phèdre avaît consacré À Vénus, et au fond la vil’e de Trezène, qui s’étève en amphithéâtre, L’horison €si borné par la mer,

LORDON, rue des Macons, no. 1, à Paris.

352 Le retour du petit savoyard.

H offre à sa mère l’argent qu’il a gagné par son travail. LORIDAN ( Henri) élève de l’école de dessin d’Ar- mentières.

353 Unc tète d’un homme tué. ( Dessin).

MAGIN (Mlle. Sophie }, à Douai. 354 Une cuisinière hollandaise. 355 Une laitière se baignant les pieds. 356 Deux miniatures à l’huile, 357 MAILLOT, rue Childebert, n°. x, à Paris.

358 Une visite au solitaire. 359 Une jeune orpheline au tombeau de ses pères. La foudre vient de renverser à ses pieds le faible monumeni élevé par la piéié filiale ; enserelie dans une profonde réverie, elle prie avec ferveur, el ne paraît pas s’apercevoir de l’orage allieux qui l’entoure. ;

360 Episode de l’année 1812.

Le Colonel ****

resiés près d’un bivouac. dépourvus de toute nourriture, ayant les extrémités inférieures gelées. ne voyant la fin de leurs souffrances que dans une mort qui paraît inévitable : déjà le Aésespoir s’est em paré d’un vieux brigadier qui, saisissant ses armes, veut mettre fin à ses tourmeus : un mameluck eherche à lui denner des consolaiions.

et ses compagnons de gloire st d’infortune ; sont


Le Colonel **#* après avoir élevé son âme vers san Créaleur, prend le portrait de celle qu’il aime, te presse contre son cœur, e4 semble vouloir lui consacrer son deruier soupir,

36r Le priutems en 1822.

Le Colonel *### après avoir couru les plus grands périls, est rentré dans ses foyers ; il a épousé celle qu’il aime ; il culiive les fleurs de son jardin, entouré des plus chers objets de son affection.

362 Le caveau d’un monastère.

Des pénitens biancs rendent les derniers devoirs à un religienx.

MALBRANCRE, rue de l’Echiquier, n°. 18, à Paris. 363 Un effei de neige. MICHEL, de Paris. 564 Une foire, MARY, grande rue du faubourg St. Antoine, n° 27. 365 Une jeune femme au tombeau de son premier né.

MEURRILLAU ( Encien), élève de lécole de dessin d’Armeniières. 366 Un soldat romain. { Dessin). MANSION ( L.) rue des fossés-montmarire, n°. 10, à Paris.

367 Une miniature. 368 Idem.

MEURS, serrurier à Valenciennes. 369 Une scierie à chariot. M. P. « majeur à Coutances. 350 Portrait au fixé, (36) MILLE (François), élève de école de dessin d Ar-

mentières. 351 Mercure, ( Dessin.) MOMAL, peintre et professeur & Valenciennes. 372 Didon.

Didon assise, ou plutôt à demi-couchée sur un lit de repos, écoute avec un vifintérêt le récit des avantures d’Enée ; ses regards, : fixés sur le héros, sont tout à-la-fois languissans et animés, et sa passion naissante se peint dans son attitude comme dans tous les traits de son visage. Cupidon, qui vient d’emprunter ceux du fils d’Enée, pour tromper la Reine et mieux assurer son propre triom- phe, est à ses cotés, et feignant de jouer innocemment avec la main de Didon, relire en souriant l’anneau de Sichée, dont naguère cette Princesse portait le deuil et déplorait la mort funeste. Anne, sa sœur el sa confidente, est debout derrière elle, appuyée sur le dos- sier du lit, et ne parait atientive qu’au récit des malheurs de Troie, Du coté opposé, Enée assis et le casque en tête, semble tont occupé de satisfaire l’avide curiosité de la belle Reine de Carthage, et ne se doute nullement de l’impression profonde qu’il a faite sur son cœur.

Le lieu de la scënc est une terrasse du palais de Didon, à l’extré- mité de laquelle se trouvent la statue et l’autel de Neptune, placés sous une colonnade dont la masse porte une ombre vague sur le grouppe principal.

373 Un Christ,

394 Une tête d’étude de femme.

375 Lesatyre de belle humeur, imitant un bas-relief en plâtre.

376 Une laitière peinte à l’aquarelle.

MOREAU (Armand), peintre et maître de dessin à

ouat.

377 Une tête d’étude d’après le tableau de Norblin, représentant une jeune personne pinçant de la guitare. (Dessin).

338 Dessin d’après le tableau de Franquelin, Za mi- niature.

379 Un paysage d’après Patelle. ( aquarelle). (37) MOUCHY, élève de Guerin, rue de Seine, faubourg St.-Germain n° 23 à Paris.

380 Une fille, accompagnée de sa mère, fait l’aumô- ne à un aveugle. MULER (Hector), rue du faubourg St.-Denis, n° 16 à

Qris,

38r Une femme lavant du linge et un enfant jouant avec un chien dans l’intérieur d’une cour.

Passage de la boule-ronge, à Paris. (D’après nature).

382 Les regrets d’une jeune femme du 13e siècle pleu- rent appuyée sur uu tombeau.

Fond de paysage ; clair de lune.

383 Un petit garçon mangeant.

I et assis sur une vieille chaise : son manger est devant lui sur ur tabouret dans l’intérieur d’uve chambre. (D’après nature.)

384 Des Guérillas en retraite,

385 Paysage représentant une ferme auprès de la- quélle sont un pâtre, son troupeau et une paysanne.

(Tems de pluie et coup de soleil, d’après nature. }

MUTEL ( Mad. }, peintre de $, 4. S. Mademorselle d’Orléans.

386 La Vierge à la chaisse d’après Raphaël.

387 Marie-Thérèse d’Autriche,

388 Zéphirse balançant sur les eaux, d’après Prudhon. { Peintures sur porcelaine.)

NORBLIN, quai Bourbon, no, 41, à Paris.

389 Dalila et Samson. 390 Oreste et Pilade assaillis par les bergers.

Oreste et Pillade abordés en Tauride, s’étant réfugiés dans une grotte. furent surpris par des bergers, qui crurent voir dans ces élrangers des victimes destinées à Diane, Cependant Oreste sorti de la grotte et saisi de l’accès de sa fureur habituelle, s’était jeté l’épée à la main sur les troupcaux des bergers, ceux-ci s’arment de pierres et de bâtons ; et après avoir appelé à leur secours leurs compagnons, 5e précipitent sur les deux Grecs, En ce moment, Oreste succom(38) dant à son äccès, s’évanouit ; alors Pilade le garantit de son manteau, observe et pare Les ooups pour préserver l’unique oljei de ses tendres soins. Têtes d’expresion.

392 Douleur mêlée de joie,

393 Une tête de Vierge.

394 Une madone.

NEGELEN, éléve de Girodet, rue Dauphine, nm. 29, à Paris, 395 Les funérailles d’Atala. [ Dessin ]. NICOLIÉ, rue du Pellerin, à Anvers. 396 Vue intérieure de l’Eglise St.-Jacques à Anvers, 397 Idem. avec le tombeau de Rubens. OMEGANCH, à Anvers.

398 Paysage avec des moutons.

OSTERVALD, éditeur du voyage pittoresque dans les ports et sur les côtes de France, quai des Grands- Augustins, no. 25, à Paris.

399 La chapelle de Notre-Dame de Grâce à Honfleur.

[ Fielding, d’après Ronmy ]. 4co Vue de l’embouchure de la Seine { Fielding,

d’après le même). | | for Vue du port d’entrée du Havre. [ Vue, d’après

Luttringshausen |.

4o2 Vue de Honfleur : chapelle de Notre-Dame de

Grâce. [ Coloriée ].

403 Vue de Honfeur : embouchure de la Seine. id,

4o4 Boulogne : extrémité de la jetiée, Idem, ODEVAERE, peintre du Roi des pays-bas, à Bru- xeiles.

4o5 Honneurs rendus à Cimabue, auteur de la re- naissance de la peinture en ftalie et fondateur de l’école 1 À À ARE. À Florentine, par Charles d’Anjou, Roi de Naples, neuvième fils de $t-Louis, et par le peuple de Flo- rence,

Ciumabue ayant peint une vierge pour l’église de Santa Maria No — velia de Florence (en 1266) ; Charles d’Anjou fut mené à l’atelie® (39)

de l’aiüste par les Magistrats de Florence, qui ne croyaïent mieux pouvoir honorer leur illustre hôte ; appelle par ses vertus et par l’éclat de ses belles actions au trône de Naples, qu’en le rendant témoin de Peuthousiasme qu’excitaient les naissantes productions des beauxariss Le Prince français émerveillé, décerue une couronne à Cimabue, et un des Magisirals la pose sur sa 1êie ; tandis que le peuple de Flo= rence, au son des iustramens, en jetant des fleurs sur son passage, porie le tableau en triomphe au lieu de sa destination,

Toule la population se porte en foule sur le passage du Prince el de heureux artiste qu’il avait daigné visiter ; ce fut un vrai jour de fête, dont la mémoire est passée à la postérité : le faubourg de Flo rence, où était situé l’atelier de Cimabue, s’appelant encore anjour «  d’hui Borgo allegri, le faubourg de l’allégresse. (Vasarir.)

PARADIS, rue Chuldebert, no. 9, à Paris.

06 Un départ Savoyard. P ji P#*, Amatcur.

4o7 Une rose. M. P. Amateur. 408 Portrait de M. N*** Par M. L.C. D.B., Amateur.

4og Le portrait de Melle, E. D. B.

41o Le portrait de Melle, P, D, B.

Air L’Espiéslerie, d’après Duval le Camus.

Pendant le 1ems de la récréation de ses élèves, nn frère de la doc= trine chrétienne s’était endormi en récitant ses heures, et disant son chapelet. Profitant du sommeil de son maître, un des écoliers éa dé- rober le martinet avec lequel il les corrigeait : ses camerades, attentifs el inquiets, son ! grouppés contre la porte de la classe.

412 La Musique. (Esquisse imitée de Ducis).

Marie Stuart, dans son palais de Holy-wrood-House en Écosse ; exécute sur son clavecin la romance si touchanie, où elle exprime ses regrets de quitter la France. David Rizio, musicien, attaché A son palais en qualité de secrétairé, l’accompagne sur le téorbe. Rizio passe en efet pour être l’auteur de


r de cette romance. 413 La Poésie. (Esquisse imitée du même). Le Tasse lisant à la Princesse Léonore l’épisode d’Glinde e : So : phronie, afin de se donner une occasion de l’instruire de son amour : fr4 Un intérieur d’Église, d’après M. Bouton,

Vn écuyer remet une lettre à Si-Bruno. (40) PENNEQUIN, de Douar.

415 Portrait de l’auteur. ( Miniature.)

PERNOT, rue Servandoni, n. 17 à Paris. 416 Un hermitage dans les montagnes de la Suisse. 417 Un effer de neige : [ Dessin ].

’a est tiré de l’élégie de Millevoye, intitulée la chûte des feuilles.

418 Les regrets d’un montagnard exilé, [ Dessin ]. Il est inspiré d’une romance de M. le Vicomte de Ghâteaubriand. guitulée : Les regrets d’un montagnad exilé.

PETIT, rue Salle au Conte, no. 7, près la rue aux Ours. à Paris. 419 Vuedes Cascatellesde Tivoli, à 18 millesdeRome. | On voit le Temple de la Sibille au haut de la montagne. L’antre à coté de forme qnarré est un ancien Temple de Vesta. au-delà de

l’aqueduc ; la montagne dont les rochers sont à découvert, sont les

restes de la maison d’Horace. Cetle vue est peinte d’après nature.

PITHOU, rue du faubourg St.-Martin, n°. 38, à Paris. 420 Un officier Français retournant dans sa patrie, et passant les Alpes, rappelle à la vie un pauvre petit sa- voyard mourant de froid.


Imité de l’arriete des deux journées.

421 Montano et Stephanie. PINCHON, rue des deux portes St-Sauveur., no. 28, près celle Thevenot, à Paris. 422 Un petit racommodeur de fayence. 423 Un petit Italien. 424 Un petit mendiant.

POTIEZ, élève de Guerin, chez M. de Champ-WMar- ün, rue d’Assas, no. 14, à Paris. 425 Un tableau.

Les funérailles de Patrocle furent terminés par des jeux : les prix étant disiribués, une coupe d’or restait sans maître ; Achille la prend et la donne à Nestor. :

( du 23. livre de l’Iliade),

Ce tableau a concurrence pour le grand prix. {4 :) POULAIN, de Douai, 426 Un niveau à bule d’air. 427 Un grayhomètre 428 Un compas de réduction. 429 Une cassette de mathématiques, 430 Voûte d’arréteannulaire, exécutée d’après l’épure de l’école Politechnique. PRUDHOMME, à Paris. 431 Un paysage. 432 Idem. R…, 4 Douai. 433 Ün dessin offert à M, le Maire de la ville, par les élèves de l’école de dessin, RAPY (G.) de Lille, ex-élève du Collège Royal. 434 La Sainte famille, ( dessin). REDOUTÉ, rue de Seigne, faubourg St.-Germain, ARR : no. 6 à Puris. | 435 Rosier mousseux à fleurs doubles, 436 Rosier à feuilles de laitue. REGNIER, rue de Paradis, Faubourg poissonnière, no. 41, à Paris. 437 Vue prise à Royat, département du Puy-de- Dôme. REMONT, pensionnaire du Roi, à Rome. 438 Paysage historique [ Philoctète dans l’ile de Lemnos. T

© roches escarpées ! c’est à vous que je me plains. Vous êtes ac coniumées à mes gémissemens ; je nourrls une plaie qui me dévore et l’espérance s’est éteinte dans mon cœur.

ROGUIER, Statuaire sculpteur, rue des filles du Cal- vaire au marais. no. 4.à Paris.

439 La sagesse et les grâces.

Socrate que l’oracle a déciaré le plus sage des hommes, était fils de sculpteur, et le fut lui-même ; puisque ce ne fut qu’après avoir exécuté en marbre de paros les grâces décentes, qu’il abandonna cer art. pour se livrer entièrement à la philosophie.

Li est représenté terminant son grouppe, et méditaut dans un ins

ant de repos. (42) RONMY, rue des fossés montmartre, n°, 5 à Paris. 44o La chapelle de Notre-Dame de Grâce à Honfleur. 441 L’embouchure de la Seine, prise de la hauteur de Notre-Dame de Grâce à Honfleur. RUMEAU, rue du Marais, faubourg St Martin, n°. 43, à Paris

442 Arrivée de Vert-vert dans le couvent de la visi- tation. { peinture sur porcelaine.)

443 La bonne aventure. ( Litographie scodiée à à l manière de l’aquarelle.)

444 Intérieur d’appartémeüt gothique. ( Idem. }

445 Intérieur d’une salle de bains. ( {dem.)

R** (de) amateur à Ranchicourt près Béthune.

446 Un savetier en goguette. 447 Robert disait à Claire. (Scène du chaperon rouge.) SARRASIN de + Melle. ], rue Neuve, n°. 28,

ersailles. 448 Un tableau. | Le lendemain dela défaite de Marius par Sylla, le jeune Marius arriva près de Mucius, son beau père, qu’il trouva assis avec.sa fa mille près d’une fontaine, à quelque distance de la maison. 449 Ün dläir de Lune : 450 Un Soleil couchant. SEFRUR, rue de l Abbaye, ns 55 à Paris. 45 Mort de Mazet. Il expire entouré de MM. Pariset, François, Bailly et ses sœurs de Ste — Camille ; plüsieurs Espaguols sont préseuis à cette scène. 452 Le départ. ’453 Le retour. 454 Tète d’étude d’après nature.

455 Un cadre contenant les portraits de Messièurs Pariser, François Bailly et des Sœurs de Ste. Camille. SEY FERT, rue T1 uquetonne, 1 18 à Paris.

456 Une vuc de la Suisse d’après nature. 457 : Idem.

SWAGERS (Mad.) Fauboura St. Denis n° 12 à Paris. 458 Une mère jouant avec son enfant. [ dessin. ] (43) SERVIERES, [ Mad. ] rue du colombiern 11.faubourg $t.— Germain à Paris.

459 Marie Stuart.

Elle est sur le vaisseau qui la transporte en Ecosse. après la mort de François IL ; elle aperçoit encore les cêt : s de France, et leur adresse ces mois si touchans, sujc ! de sa romance commençant par ces mois : Adieu, tant doux pays de France. SAINT-HILAIRE [ Mlle. }rue des Jeuneurs, n° 8 &

Paris. 460 Vue prise d’après nature, aux euvirons de Bruxeiles. SWAGERS. faubourg St-Denis, no. 12, à Paris. 461. Un paysage représentant l’intérieur d’une forêt. 62 Idem Idem Idem. SWAGERS, faubours St. Denis, no. 12 & Paris. 463 Paysage représentant l’intérieur d’une forêt. … 464 Idem. SWEBACH [Edouard], rue du Bac m. 100 [bis] à Paris 65 Une écurie de laneiers de la garde royale. SWEBAICH, [chevalier de l’ordre impérial de St Aune de Russie |, rue des bas ; no. 100 à Paris. 466 Unabreuvoir de chasseurs. al Mune. | amateur à Paris 467 Portrait de son fils dans un fond de paysage. TENIER, vitrier, à Falenciennes.

468 Un tableau en verre. à TREZEL, rue des maçons Sorbonne, no. 1, & Paris.

469 Le premier né. |

ULYSSE DENIS, graveur rue des Cancttes, no 18 ü Paris.

430 Un cadre de gravures d’après Mr Descamps, Bouchotet Duval-le-Camus.

471 Idem.

VAFFLART, élève de M. le Chevalier Regnault, rue des bons enfons, n : 34 à Paris.

432 La mort du prince Poniatowski.

I ! fat retrouvé le lendemain de la barmile de Leÿpsick par denx pêcheurs. 473 Othello après le meurtre desa femme Desdemona.

474 Marie Stuart.

La veille de sa mort, communie avec une hostie que le pape lui êvait envoyée.

475 Un petit voyageur devant un tombeau détruit,

476 La première fleurette d’Henri IV.

Tiré de l’ermite en province de M. de Jouy. 477 La mort du jeune Mazet médecin. I estfrappé de la contagion au moment où il portait des secours à une jeuue filie. VAUCHELET, fils et sœur, brévete du Garde-meuble de la Couronne, rue Charlot, n°. 19, à Paris.

4, 8 Un morceau de tnture, fond paille.

479 Une corbeille de fleurs, sur fond jaune.

480 Un siège de fauteuil et ses plates-bandes.

484 Un modèle, siège canané bleu, avectrois couronnes,

482 Un écran en velours de soie blane.

483 Un écran en velour de coton gris avec bouquet,

484 Écran fond gris avec paysage.

455 Ecran fond violet, couronne de roses.

486 Coussin de pied gris avec bonquet.

487 Un médaillon en velour de soie rouge.

488 Idem.

489 Idem.

490 Un écran de main avec le manche,

491 Idem.

492 Idem.

493 Idem.

494 Un écran de main avec le manche,

495 Idem.

496 Un guidon de vierge,

497 Un écran de velour de soie avec l’espérance.

498 Morceau de velour de soie rouge, dessin imitant la iroderie, ( Modèle de Chasuble.) VANDERBORCPT rue haute, sect.4, n0 2527, Anvers,

493 tn hareng salé.

500 une sole.

Sor tune petite sole,

502 ün hareng saur. (45°) VANDERPOORTEN, rue de laine, à Anvers. 5o3 Paysage représentant un terrain sablonneux. La vue en est prise aux environs de Mot, dans la Campiue, dans un moment où le soleil était légèrement voilé par des nuages. Ce paysage est orné de figures et d’animaux.

VAN-EYCREN [ J. B. |, grande place, n°. 243, à ruxelles. 504 Vuesurles hauteurs de Bisford, près de Bruxelles. 505 Idem. Au centre de Boisford. VANREGEMORTER. [Fils.] rue des chats à Anvers.

505 bis L’intérieur d’une cuisine.

VERBOUKHOVEN, rue d Ypres, no. 23, à Gand. 506 Paysage avec des figures et animaux. 507 Un paysage avec des animaux.

VERNIMENN | Jules ], à Douar.

5o8 Un paysage, d’après l’école de Vernet. 5og Idem, d’après Monpré. 510 Idem, d’après Pinacre, VERVLŒT aîné, peintre et professeur, à Malines. 5rr L’aumone. 512 Le mendiant. 513 La Flamande, revenant du marché. 514 Le repos du chasseur. 515 L’étude. VILLENEUVE [ Julien k rue des Tourmelles, n°, 36 à Paris. 516 Un petit tableau. 517 Un intérieur. 518 Un intérieur.

WALLET, professeur de dessin, à Douai,

519 Projet de la restauration de Gayant, 520 Idem. de la roue de fortune,


ADDITION.

BUQUET, maître charron, à Cantin.

521 Chariot à mécanique, à manivelle, se dirigeant par un régulateur dedans ; on peut le faire en grand volume pour conduire trois et quatre personnes, faisant deux lieues à l’heure.

DUFOUR (Melle.), de Paris.

522 Portrait de Famille.

523 Idem.

CHALON, rue Louis-le-Grand, no . 20, à Paris.

524 Six tableaux litographiés à l’huile.

LEVRIN, bottier à Douai.

525 Une paire de bottes d’enfant.

526 Une paire de souliers.

CARON, bottier, rue Neuve, à Lille.

527 Une botte.






À Douai, chez Wagrez aîné.
  1. On a inséré les notes telles qu’elles ont été adressées par MM. Les Artistes.
  2. Les œuvres de Buffon forment 12 volumes, in-o., ornés de 185 figures en taille-douce, et du portrait de l’Auteur ; précédé d’une notice sur Buffon, par M. le Baron Cuvier. Elles se trouvent chez M. Tarlier, libraire, rue de Bellain, au prix de 5 fr. le volume, figures noires : il y a encore quelques exemplaires avec figures coloriées. Cette édition a été publiée par MM. Tarlier, libraire, et Wagrez aîné, imprimeur, éditeurs. C’est le premier ouvrage important sorti des presses de Province, qui puisse soutenir avantageusement la concurrence avec les éditions de Paris, tant pour le soin apporté dans l’impression, que pour la modicité du prix.