Girart de Roussillon/Additions et corrections

La bibliothèque libre.
Honoré Champion (p. 349-351).

ADDITIONS ET CORRECTIONS

P. 3, n. 1<span title="Nombre . écrit en chiffres romains" style="text-transform:uppercase;">. Lorsque cette note a été imprimée, M. le comte Riant n’avait pas encore publié son édition de la fausse lettre d’Alexis où il établit solidement ce qu’il avait simplement indiqué dans ses Exuviæ (Alexii I Comneni Romanorum imperatoris ad Robertum Flandriæ comitem epistola spuria. Genevæ, 1879, in-8o ; cf. Archives de l’Orient Latin, I, 71-89.)

P. 27, dern. ligne. « Mont Laçois » est bien douteux ; il faudrait p.-ê. corriger « Montargon », cf. § 202.

P. 35, n. 2. Lisez : « Je conserve l’expression... »

P. 36, l. 13. « maréchal », lis. « marquis ». — Même page, il faut intervertir les nos des notes 3 et 2.

P. 37, n. 1. « Châlon », lis. « Chalon. »

P. 42, l. 4 du bas. « Verdel » est p.-ê. Verceil ? cf. § 61.

P. 54, n. 5. Au lieu de 1142, lis. 1122.

P. 64, note 3. On peut encore citer ces vers du poëme de Jonfroi :

Devant lo roi, tot en present,
Son gant pleie, si le li tent.

Et celui-ci, de la chronique de Jordan Fantosme (v. 58) :

Veez mei ci en vostre curt prest de pleier mun gaige ;

Ibid., note 4, au lieu de 17 et 24, lisez 24 et 28.

P. 73, n. 5. Au lieu de § 98, lis. § 99.

P. 94. L’appel de la note 3 doit être placé après le mot « Bavière », l. 8 du bas.

P. 127, note 6. Ajoutons qu’un heaume ayant appartenu au roi Didier (Desiier) est mentionné dans Gaydon, v. 3107.

P. 132, note 1, lignes 11 et 12. lis. « leurs hôtes. »

P. 135, note 1, au lieu de § 143, lisez § 398, Le Gui du § 143 est tué au § 146.

P. 142, n. 5. « Faire do bis » est à rapprocher de « faire » ou « contrefaire du gros bis », locution que j’ai rencontrée dans divers écrits du xve siècle ou du xvie, mais dont je ne saurais rendre compte. Ainsi, dans le mystère des Trois Doms, joué à Romans en 1509, on lit, v. 7485 : Bien contrefaiz cy du gros bis. Dans Rabelais on trouve le juron vray bis qu’on traduit, à tort ou à raison, par « vrai Dieu ».

P. 158, fin de la n. 4. Au lieu de « p. 304 », lis. § 304.

P. 164. L’appel de la note 1 doit être placé à la première ligne, après « Vienne. »

P. 174, note 5. Il est probable qu’il s’agit ici de Saint Léonard de Noblat, en Limousin, et non de Saint Léonard de Corbigny.

P. 177, l. 6. La note 4 se rapporte à Gace et non à Hugues.

P. 185, l. 6. Lis. « je ne le sais que trop. »

P. 185, n. 4. Il y a dans le fragment de Gormond et Isembart, v. 428, un témoignage sur l’usage de consulter les sorts avant d’aller à la guerre.

P. 186, n. 2. Au lieu de 2028, lis. 5028.

P. 189, n. 3, avant dern. ligne, « du S.-E. », lis. « au S.-E. »

P. 203, n. 1. C’est en effet « la hart » qu’il faut traduire. Il ne manque pas d’exemples de ce cri de guerre qui est généralement placé dans la bouche de gens de basse condition :

Lors [es]crient : « La hart ! la hart ! »
Ribaut franceis plein de la jangle.

(Hist. de Guillaume le Maréchal, vv, 17360-1.)

Et dans Renart, éd. Martin, I, 277, v. 440-1 :

Et Renart qui les esgarda
Si s’escria : « La hart ! la hart ! »

P. 215, n. 3. Au lieu de Sompronh, lis. Sempronh.

P. 216-7. Le supplice qui inspire tant d’effroi au moine paraît avoir été particulièrement réservé aux membres du clergé. Voy. Guillaume le Maréchal, v. 11626 (dans le Bulletin de la Société de l’Histoire de France pour 1882), F. Sacchetti, nouvelle xxv, etc.

P. 228, dern. ligne. Au lieu de « chassera », lis. « chaussera. »

P. 237, l. 9 du bas. « Tu ne possèdes que les vêtements que tu portes ; » le mot à mot serait, je crois, « tu ne peux déclarer par serment... »

P. 266, n. 2. À la fin, au lieu de « n. 1 », lis. « n. 6 ».

P. 281, l. 3 de la note commencée à la p. précéd., au lieu de « et » lis. « ou ».

P. 320, l. 1. Au lieu de « 778 », lis. « 678. » — Av. dern. l. de la note 3, effacez le point après latinorum.

P. 322, à l’article « Alsace », ajoutez « duc d’ — 567 ».

P. 324, après Autun, aj. « Auvergne, 39, 56, 110, 199, 400 ; comte d’ —, 321 ».

P. 326, à l’article Bourgogne, lire 99, au lieu de 9.

Ibid., à l’article Bretons les chiffres 617 et 671 sont mal placés : ils doivent venir à la suite du chiffre 449.

P. 329, à l’article « chaser », lire 53 au lieu de 55.

P. 332, à l’article Fouchier, il faut ajouter le chiffre 8.