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Grand dictionnaire universel du XIXe siècle/Algidus (supplément)

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Administration du grand dictionnaire universel (16, part. 1p. 91).

ALGIDUS, ancienne chaîne de montagnes du Latium, qui s’étendait depuis Tusoulum et Vélitres jusqu’à Préneste.

ALGLAVE (Emile), jurisconsulte et publiciste français, né à Valenciennes le 27 avril 18-12. Son père était notaire dans cette ville. Il fit la plus grande partie de ses études au collège de Valenciennes et les termina au lycée Louis-le-Grand, à Paris, où il obtint plusieurs nominations nu concours général ; "iuis il entra k l’École de droit de Paris et y ut reçu docteur en 1868. Il avait pris également plusieurs grades k la Faculté de théologie de Paris. Enfin, il était élève pensionnaire de l’École des chartes, où il soutint une thèse intitulée : Eludes sur le droit mérovingien d’après la loi des Francs Ripuaires, qui lui valut le titre d’archiviste paléographe.

En 186-4, il prit, de concert avec M. Yung, la direction de la Revue des cours scientifiques et de la iievue des cours littéraires, qui venaient d’être fondées et qui ont adopté, en 1871, les titres de Revue scientifique et Revue politique et littéraire. Ces deux Revues ont toujours soutenu des idées très-indépendantes et très-libérales en philosophie et en religion, comme en politique. La Revue scientifique, notamment, joue un rôle très-remarquable dans le mouvement philosophique et scientifique contemporain, ce qui lui a valu d’être dénoncée à la tribune de l’Assemblée nationale par M. Dupanloup.

En 1870, M. Alplave fut nommé au concours professeur agrégé à la Faculté de droit de Douai. Il y enseigna d’abord le droit romain, puis le droit administratif et le droit criminel, avec l’histoire du droit. Outre ce triple enseignement, il fut chargé, en 1873, yar la municipalité de Lille, d’un cours d’économie politique à la Faculté des sciences de cette ville, cours qui attira beaucoup d’auditeurs. Mais, l’année suivante, M. Alglave fut suspendu, puis révoqué par M. de Fourtou, ministre de l’instruction publique dans le cabinet de Broglie, pour avoir refusé d’abandonner la direction de la Revue scientifique et de la Revue politique, ou de modifier leur ligne de direction dans un sens conforme

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aux vues du ministère- d’alors. Cette révocation, qui était presque sans exemple dans l’enseignement supérieur, fit beaucoup de bruit à cette époque. La Faculté protesta énergiquement et, peu de temps après, le ministre modifia la composition de son conseil en y donnant droit de vote aux simples agrégés, contrairement aux Statuts organiques des Facultés.

En 187-1, de concert avec MM. Herbert Spencer, Huxley etTyndall, en Angleterre ; Youmans, en Amérique ; Virchow, Ozermak et Rosenthal, en Allemagne ; Kostomurof, en Russie, etc., il prit la direction de la Bibliothèque scientifique internationale, formée d’ouvrages inspirés du même esprit que la Revue scientifique, qui constituent une sorte de publication périodique paraissant k la fois en français, en anglais, en allemand, eu italien et en russe.

À la fin de l’année 1874, M. Alglave joua un rôle prépondérant dans la campagne électorale du département de l’Oise, où il habitait. I ! soutint la candidature républicaine conservatrice de M. Levavasseur contre la candidature bonapartiste du duc de Mouchy et la candidature de M. André Rousselle, adoptée par les républicains radicaux et les amis du prince Napoléon.

On a de M. Alglave une étude sur les Juridictioiis civiles chez les Romains (Germer-Baillière, Paris, 1868, in-8o) ; Action du ministère public et théorie des droits d’ordre public (Marescq aîné, Paris, 1874-1876, 2 vol. gr. iii-8°, 2e èàii.) ; Principes des constitutions politiques (Germer-Baillière, Paris, in-8o), etc. Il a collaboré à la publication du Cours de droit civil de M. A. Valette (Marescq aîné, Paris). On lui doit un grand nombre d’articles importants dans la Revue scientifique et la Revue politique, surtout sur les questions économiques, financières et sociales. Il écrit aussi dans le journal le Temps.

ALGOA (baie d’), sur la côte S.-E. de l’Afrique, à 670 kilom. du Cap de Bonne-Espérance.

ALGODONITE s. f. (al-go-do-ni-te). Miner. Arséniure de cuivre argentifère, trouvé k Algodon, près de Coquimbo, dans le Chili.

ALGOMEIZA s. m. (al-go-mè-za). Astron. Nom arabe de l’étoile Procyon, située dans la constellation du r etit Chien.

ALHABOR s. m. (aî-a-bor). Nom arabe de l’étoile Sirius. On l’appelle aussi Alibmini.

ALHAIOTH s. m. (al-a-iott). Astron. Nom arabe de l’étoile de première grandeur de la constellation de la Chèvre. On écrit aussi Alhatod.

ALHAZEN (Abou-Ali-al-Huçan-ben-Alhaçan), astronome arabe, né à Bassora vers le milieu du xe siècle, mort au Caire en 1038. Alhazen s’étant vanté de construire une machine au moyenjde laquelle il arrêterait les inondations désastreuses du Nil et suppléerait aux inondations insuffisantes, le calife fatimito Alhakem-Biamrillah fut instruit de ce fait, le fit venir au Caire, le combla d’honneurs et mit k sa disposition les hommes et l’argent nécessaires pour exécuter cette machine. Mais Alhazen, en parcourant l’Égypte et les rives du Nil, reconnut que son projet était impossible et dut revenir au Caire, où, pour éviter la colère du calife, il simula la folie et continua de jouer ce rôle jusqu’à la mort d’Alhakem. Il vivait en copiant des livres qu’il vendait. Il a composé un grand nombre d’ouvrages, dont Casimiri nous a laissé la liste et dont une partie existe manuscrite dans la bibliothèque Bodléienne et dans celle de Leyde. Son traité d’optique, qui est considéré comme son meilleur ouvrage, a été traduit, en 1270, par un érudit polonais, nommé Vitellivet. Il fut publié par Risner sous ce titre : Alhazen ou Allaken oplics thésaurus, libriVII, primum éditi. Ejusdem liber de crepuscutis et nubium ascensionibus, cum commentariis Risneri, Basil, episc. (1572, in-fol.). Le traité des crépuscules avait été publié en 1542 par Gérard de Crémone.

AL-HOBR, quatrième émir de l’Espagne. Il succéda en 717 à Ayoub, fit la guerre dans le midi de la France, d’où il revint chargé de dépouilles ; mais, ayant subi un échec lorsqu’il voulut combattre Pelage, qui avait levé l’étendard de la révolte, il fut révoqué en 719.

ALHOY (Louis), instituteur et littérateur français, né à Angers en 1755, mort à Paris en 1S26. Après l’abbé Sicard, il fut appelé k diriger l’institution des sourds-muets, et, en 1815, il fut nommé principal du collège de Saint-Germain-en-Laye. Il a publié : Discours sur l’éducation des sourds-muets (Paris, 1800, in-8o) ; les Hospices, poème (1804) ; Promenades poétiques dans les hospices et les hôpitaux de Paris (1826).

ALI, surnommé Coumoarf l, parce que son père était marchand de charbon. L empereur Achmet II, l’ayant rencontré aux environs d’Andrinople, fut frappé de sa beauté et le fit conduire dans le sérail. Achmet III lui continua la faveur de son prédécesseur et l’éleva en 1714 à la dignité de grand vizir. Parvenu à la toute-puissance, il se montra l’adversaire déelc-.ré de Charles XII de Suède et finit par l’obliger k quitter le territoire ottoman. Ii décida en 1715 la guerre contre les Vénitiens. La guerre ayant éclaté

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entre la Turquie et l’empire d’Allemagne, Coumourgi fut mis à la tête d’une armée de 150,000 hommes et s’avança en Hongrie pour combattre le prince Eugène. Il fut complètement battu etipourut de ses blessures deux jours après la bataille.

ALI, nabab d’Aoude et vizir de l’empereur mogol Schah-Alem, né en 1781, mort en 1817. Assef, nabab d’Aoude, adopta Ali encore enfant et lui fit donner une éducation brillante, puis il !e inaria à treize ans et le reconnut pour son successeur. La famille du nabab rit une opposition très-vive k cette détermination ; toutefois, lorsque Assef mourut en 1797, l’Angleterre soutint A !i et le fit placer sur le troue. À peine Ali était-il au pouvoir, qu’il se montra inquiet et impatient du joug qu’il subissait et qu’il rompit le traité conclu avec le gouvernement anglais, qui le déposa. Il fut remplacé par le frère du vieux nabab et reçut une forte pension, k la condition de demeurer près de la présidence. Il vint à Bénarès, où Cherry, résident de la Compagnie des Indes, avait tout préparé pour le recevoir ; Cherry l’ayant invité k un repas, Ali vint avec une suite nombreuse et, a un signal donné par lui, ses domestiques se jetèrent sur les Européens et les massacrèrent. Ali se sauva sur le territoire du rajah de Berkr, chef puissant et indépendant, qui ne consentit à le livrer aux Anglais que si on lui promettait la vie sauve. Ali fut livré, conduit k Calcutta et mis dans une cage de fer, où il mourut après y être demeuré durant dix-sept ans.

ALl-ABOUL-HASSAN, roi de Grenade, mort vers 1484. En 14G9, il fit la guerre à Henri, roi de Castille ; mais il y perdit sans résultat les meilleurs soldats de son armée. En 1481, il s’empara de Zuhara, mais il perdit la forteresse d’Alhuma. Sa femme, Zoraya, craignant que, pour favoriser les enfants qu’il avait eus d’une Espagnole, il ne privât du trône son fils Boabdil, trama une conspiration contre lui. Boabdil fut pris par les chrétiens, mais relâché peu de temps après. Quelques hommes influents, fatigués de ces dissensions intestines, firent exclure du trône tous les enfants dAli, qui, devenu vieux et infirme, n’eut pas la force de s’opposer à cette résolution.

AU-BEN-RODHOUAN, médecin arabe, né k Djizeh, près du Caire, dans la première moitié du xie siècle. Il était fils d’un porteur d’eau et il gagna d’abord sa vie on donnant des leçons et disant la bonne aventure dans les rues et sur les places publiques. Vers l’âge de trente-deux ans, il s’étuit déjà acquis une réputation telle que le calife iïl-H.ikem le prit à son service comme archiâtre. Fendant une famine qui vint désoler l’Égypte, il adopta une pauvre orpheline, qui Huit par lui voler tout l’argent qu’il avait amassé ; il en perdit la raison et mourut dans la misère. Il avait composé sur la médecine et sur la philosophie un grand nombre d’ouvrages, dont deux ont été traduits en latin, sous les titres de : Commentarius in artem parvam Galeni (Venise, 1496, in-fol.) et Co.mmentarii m Ptolemxi Quadripartitum.

ALI BEST AMI, écrivain turc, surnommé

Muisanirck OU le l’olll auteur, parce qu’il écrivit son premier ouvrage à l’âge de quinze ans, né en 1400, mort en 1470, Persan d’origine, il vint en 1443 en Turquie, où le grand vizir Mahmoud le combla de bienfaits. Cependant, quelque temps après, pour complaire au sultan, il rédigea un fetva qui infirmait une capitulation conclue par Mahmoud et qui devait entraîner la disgrâce de son bienfaiteur. Le principal ouvrage d Ali-Bestami est un traité de morale intitulé : Présent à Mahmoud.

AL1-MAKHDOM OU ALI l’Eunuque, grand vizir de Bajazet II, mort en 1512. Nommé pacha de Seitiendria, il montra de grands talents militaires et s’illustra par des conquêtes. Pour le récompenser des services qu’il avait rendus, Bajazet II le nomma grand vizir. Quelque temps après, Ali se mit k la tâte de l’armée qui allait combattre les Kurdes et fut tué dans une bataille.

ALI-PACHA, capitan-pacha, né vers le commencement du xvie siècle, mort en 1571. Il commandait, pour le compte du sultan Sélim III, la flotte qui fit l’expédition de Chypre en 1570 et qui tenait la mer pendant que le grand vizir Mustapha assiégeait N icosie et Euinagouste, que défendaient les Vénitiens. L’île étant tombée au pouvoir des Turcs, Ali-Pacha alla ravager tout le littoral de l’Italie, de la Dulmaiie et de l’Istrie. Il était dans le golfe de Lépante, lorsqu’il apprit que la flotte armée par les Vénitiens, les Espagnols et les princes d’Italie s’avançait contre lui, Il voulut combattre, en dépit de l’avis de ses officiers et de l’infériorité de ses forces et courut k la rencontre de don Juan d’Autriche, qui commandait la flotte chrétienne. La lutte fut acharnée, et longtemps Ali tint ses adversaires en échec ; niais, s’étant attaqué au navire qui portait le pavillon amiral de la flotte espagnole, il fut tue et sa tête placée au bout d’une pique. Sa mort fut le signal du désastre des siens, qui virent le plus grand nombre de leurs vaisseaux pris, coulés ou brûlés.

ALI SC111R (Emir-Nizam-el-Haqq-Oueddin), poète persan du xvo siècle. Il se conci ALIB

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lia de bonne heure les faveurs du sultan Aboul-Kassem-Babour-Behadour, grâce k son habileté i faire les vers turcs et persans. Après la mort de son protecteur, qui l’avait investi de fonctions importantes, Ali-Schir rentra dans la vie privée et su livra tout entier k ses études favorites auprès de Fasl-Allah, k Samarkand. Hosseïn - Mirza, après avoir pacifié le Khoraçan, appela près de lui Ali-Schir, dont la carrière politique commença alors sérieusement. Il finit par être nommé président du divan et premier vizir. Il rendit de grands services en faisant construire une foule d’établissements utiles : mosquées, bains, caravansérails, etc. Il protégea efficacement les arts et les lettres. Djami et Devolik-Sehah chantèrent ses louanges. Ali-Schir échangea volontairement sa charge de grand vizir contre le gouvernementd’Astrabàd, qu’il ne tarda pas aussi à abdiquer pour se livrer tout entier k ses travaux favoris. Ali-Schir écrivait avec autant de facilité en persan qu’en turc. Quand il se servait de la langue turque, il prenait le nom de Nevvaiy, et lorsqu’il écrivait en persan, celui de Fanl. Les plus remarquables de ses ouvrages, qui sont très-nombreux, sont les suivants : Medjalis ennefais (les Réunions précieuses) ; Arouzi turki (Prosodie turque) ; quatre Divans de poésies turques : Guraïb essougr (les Merveilles de l’enfance), Navvadir essc/ieboub (les Singularités de la jeunesse), liedai elwoust (les Particularités de l’âge moyen), Fevvaïd il kibr (les Fruits du grand âge) ; un Divan persan de six mille distiques ; Nazm edjdjannhir (le Collier de pierres précieuses) ; Mahboub elqolonb (les Amants des cœurs) ; différents Mesnevis ou poésies historiques, tels que : Ferhnd et Schirin, Àfedj- noim et Leîlu, les Sept planètes, etc.

AI.IA, nom de Hakem, dans sa troisième incarnation, d’après la théogonie des Druses.

ALIACMON, petit-fils de Neptune et fils de Palestinus, roi de Thrace. Il périt dans une bataille, ce qui causa la mort de son père, lequel, par désespoir, se jeta dans les eaux du fleuve Conozus, appelé depuis Palestinus et plus tard Strymon (aujourd’hui Kara-Sou).

ALIAGA (fray Luiz), moine espagnol, confesseur de Philippe III, puis grand inquisiteur du royaume, né vers 1560, mort en 1630. Né de parents pauvres, il entra che» les dominicains, puis fut quelque temps attaché k la personne de François-Xaxier. Dès l’époque où il devint confesseur du roi, vers 1600, son influence commença k se faire sentir d’une manière redoutable. Ce fut sous son inspiration que fut rendu le fameux édit da 1809, qui enjoignait aux Maures de se faire baptiser ou de quitter le royaume, édit qui eut encore plus de conséquences funestes pour l’Espagne que la révocation de l’éJitde Nantes pour la France ; ces deux mesures impuhtiques se valent d’ailleurs par l’atrocité qui présida k leur exécution. Fray Aliaga se faisait, en outre, grassemdiit payer les services qu’il était k même de rendre aux seigneurs et aux ministres comme confesseur du roi ; Quevedo fait le compte, dans Sun Memuriale, des grosses sommes d’argent, des bijouxj joyaux, diamants, reliquaires, autels, etc., qu’il exigea du comte d’Ossuna pour protéger ses intérêts et ■ bien acheminer la conscience du roi. » Il est fortement soupçonné aussi d’avoir fait assassiner, peu de temps après la mort de Philippe III, le comte de Viilamediana, qui gênait ses desseins et qui périt frappé par une main inconnue, sans que jamais on ait soulevé le voile de ce crime mystérieux.

Fray Luiz Aliaga se piquait de littérature ; mais ses rapports avec les premiers écrivains de sou temps, Cervantes et Quevedo, le montrent sous un jour assez défuvorable. On lui attribue la Seconde partie de don Quichotte (1614, in-4o), parue entre la première partie de ce roman célèbre et la véritable seconde partie due k Cervantes. Cette continuation était signée du pseudonyme d’Avellaneda, sobriquet donné k la cour au fameux confesseur (avellanedo, sec, décharné, en espagnol) ; fray Aliaga était, en effet, d’une maigreur restée proverbiale ; par antiphrase on l’appelait aussi Saucho Pança, et peut-être Sa haine contre Cervantes ne tenait-elle qu’à ce sobriquet emprunté au Don Quichotte. En donnant une suite k ce chef-d’œuvre, l’auteur eut surtout en vue d’en parodier le héros et l’auteur ; Cervantes y est bafoué et tourné en ridicule. L’auteur espérait peut-être aussi empêcher l’illustre écrivain d’écrire la seconde partie qu’il avait promise ; en quoi il se trompait, car la colère que causa k Cervantes cette parodie le décida, au contraire, k mettre aussitôt la plume à la main. Nous avons rendu compte de cette Seconde partie de don Quichotte, parue sous le pseudonyme cité plus haut, et qui a été traduite en français par M. G. de Lavigne(î853, in-io). On attribue aussi k fray Lu z Aliaga deux pamphlets dirigés contre Quevedo, Venganza de la lengua espanola et El tribunal de la jusla venganza, qui conduisirent Quevedo dans un cachot où il faillit mourir.

AL1ATH s. m. (a-li-att). Astron. Nom arabe de la première étoile de la queue de la Grande Ourse, marquée ■ dans les catalogues.

  • AL1BERT (Jean-Louis). — Il était fils d’un

conseiller au présidial de Houergue, et il fut élevé avec le plus grand soin par son père.