Histoire socialiste/Table analytique/E
Table analytique
E
Ébénistes (Cf. aussi Ameublement), V, 303 ; ce qu’ils fournirent aux
Commissions mixtes, X, 91.
Éblé (Général). Son rôle à la Bérézina, VI, 407.
Eccarius. Son rôle dans l’Internationale, X, 238 ; 243 ; 268 ; 353.
Échéances. Demande de prorogation en 1848, IX, 32 ; la question à Paris en 1871, XI, 266 ; le décret de la Commune, 344 ; le décret fut promulgué trop tard par la Commune, 419.
Écho de la fabrique (L’), journal des mutualistes lyonnais, VIII, 264 ; gagné au fouriérisme, 321.
Écho des travailleurs, journal ouvrier lyonnais, VIII, 266 ; 321.
Eckmühl (V.). Bataille de 1809, VI, 366.
Éclaireur du peuple (L’), journal de Duplay, V, 306 ; 308.
Écoles (Cf. Enseignement). Leur organisation dans le plan de Talleyrand, II, 1120 (Cf. ce mot).
Écoles de district. Dans le plan de Talleyrand, 11, 1120.
Écoles centrales. Etablissement d’enseignement secondaire, de 1794 à 1800, V, 194.
Écoles de médecine. Substituées aux facultés, V, 2O3.
Écoles normales primaires. Leur création, XII, 225.
Écoles primaires (Cf. Enseignement primaire). Dans le plan de Talleyrand, II, 1120 ; 1148 ; dans le plan de Condorcet, 1149 ; sous la monarchie de juillet, VIII, 244.
Écoles primaires supérieures. Équivalent de cette institution dans le plan de Condorcet, II, 1149 ; leur programme, 1150 ; leur organisation dans la loi de 1833, VIII, 242.
Écoles spéciales. Dans le plan de Talleyrand, II, 1120.
ÉCOLE D’ADMINISTRATION. Le projet de 1848, IX, 169.
ÉCOLE D’ARTILLERIE, V, 201.
ÉCOLE DES AVEUGLES, V, 204.
ÉCOLE DES BEAUX-ARTS, V, 204.
ÉCOLE DE CAVALERIE DE SAUMUR. Ses origines, V, 202.
ÉCOLE DES CONSTRUCTIONS NAVALES, V, 201.
ÉCOLE DU GÉNIE, V, 201.
ÉCOLE DE GÉOGRAPHIE, V, 202.
ÉCOLE DES LANGUES ORIENTALES, V, 204.
ÉCOLE DE MARS. Sa création par la Convention, V, 200.
ÉCOLE DES MINES, V, 201.
ÉCOLE NAVALE. Son origine, V, 202.
ÉCOLES DE NAVIGATION, V, 201.
ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE. Son organisation par la Convention, V, 201 ; la gratuité maintenue en 1850, IX, 184 ; sa situation sous le régime Gratry, 190.
ÉCOLE POLYTECHNIQUE. Sa création, V, 200 ; licenciée en 1832, VIII, 183 ; IX, 184.
ÉCOLE DES PONTS ET CHAUSSÉES, V, 201.
ÉCOLE DE ROME. Pour les artistes, V, 204.
ÉCOLE DE SAINT-CYR, IX, 184.
ÉCOLE DES SOURDS-MUETS, V, 204.
ÉCOLE CENTRALE DES TRAVAUX PUBLICS. Sa création, V, 200 ; 201.
ÉCOLE VÉTÉRINAIRE D’ALFORT, y, 204 ; licenciée de 1832, VIII, 183.
ÉCOLE VÉTÉRINAIRE DE LYON, V, 204.
Écoles de France (Les), journal, X, 286, 287.
Économistes. Leurs thèses sur la non-intervention de l’État en 1848, IX, 256.
Edgeworth, confesseur du roi, IV, 959.
Éducation commune. La démocratie tend à l’éducation commune des prolétaires et des bourgeois, IV, 1488 ; les idées de Saint-Just à ce sujet, 1748.
Effault (D’), commissaire de section, II, 1277.
Égalitaires, disciples de Babeuf en 1840, VIII, 366.
Égalitaire (L’), journal, VIII, 372.
Égalitaires (Les), société secrète, VIII, , 424.
Égalité. Égalité politique et égalité sociale, IV, 1006 et sq ; comment la Convention l’établit dans le droit successoral, 1644.
Égalité de fait. Idées d’Harmand à ce sujet, IV, 1494 et sq ; comment l’idée est développée par Dolivier, I652 ; comment Condorcet en conçoit le développement, 1794.
Égalité (L’), journal, V, 328 ; XII, 208.
Égaux (Conspiration des), V, 302 et sq ; les débats devant la Haute-Cour, 323 et sq ; réflexions sur la tentative, 335.
Église (Cf. Clergé, Catholiques, etc…). Sa puissance sous l’ancien régime, I, 23 ; l’ultramontanisme la pénétrait déjà, 24 ; elle était l’adversaire de la pensée libre, 24 ; ses privilèges, 25 ; comment la puissance ecclésiastique et la puissance royale se pénètrent (religion d’État, état-civil, bénéfices), 26 ; étendue de la propriété foncière ecclésiastique, 27 ; comment elle défend sa propriété contre la nationalisation, 446 ; la question de ses rapports avec l’État, sous la Constituante, 522 ; c’est elle qui engage la bataille contre la Révolution, 630 ; comment la Révolution bourgeoise fut forte contre elle, par la science et la philosophie et par les bienfaits assurés aux paysans, 640 ; leçon que doivent tirer de ces faits les socialistes, 641 ; sa condition après le décret du 29 novembre 1791, 852 et sq ; comment Fichte critique les contrats passés avec elle, III, 632 et sq ; sa propriété au moment du 18 brumaire, VI, 71 ; ses divisions, les ralliés à la République et les royalistes intransigeants, 72 ; (Cf. Concordat) ; ses prétentions en matière d’enseignement, VIII, 496 et sq ; son agitation contre les projets Villemain, 560 ; ses prétentions en 1847, 556 et sq ; elle demande la liberté, 558 ; comment elle tourna les boutiquiers contre elle sous la monarchie de juillet, 574 ; comment au premier abord il ne semble pas y avoir opposition entre elle et la Révolution de 1848, IX, 25 ; il y a cependant un antagonisme irréductible, 27 ; ses prétentions en matière d’enseignement, 161 ; elle veut la liberté de l’enseignement comme les patrons veulent la liberté de l’industrie, 161 ; elle est à l’apogée de sa domination en France en 1849-51, 193 ; elle a rompu, par la loi Falloux, avec la démocratie, 194 ; faveurs qu’elle reçoit de Napoléon 111, X, 51 ; seule elle peut esquisser une opposition, 5i ; sa politique à l’égard de Napoléon III à partir de 1868, 322.
Égypte. L’expédition de Bonaparte, V, 432 et sq ; 464 et sq ; VI, 102 ; la fin de l’expédition après le départ de Bonaparte, 118 et sq ; 177 ; XII, 200 ; 235 ; la politique d’abandon de Freycinet.
Eichthal (D’), saint-simonien, VIII, 84 ; 186 ; 192 ; 206 ; IX, 56 et sq ; 84 ; i38 ; 199 ; 221 ; 230.
El Arish (V.), V, 470 et sq ; convention du 24 janvier 1800, VI, 118.
Elbe (Ile d’), VI, I75.
Elbée (D’), Vendéen, IV, 1145.
Elbeuf (V.). Sa situation financière sous la République de 1848, IX, 328.
Électeur (Grand). Dans le projet de Constitution de l’an viii, VI, 30 ; le mot de Bonaparte, 31.
Électeur (L’). Journal, X, 324.
Élection populaire (L’). Journal, IX, 44.
Élections.
ÉLECTIONS AUX ÉTATS-GÉNÉRAUX DE 1789.
Leur caractère particulier à Lyon, 1, 92 ;
à Paris, 128 ; règles selon lesquelles elles
furent faites, 147 ; règlement spécial pour
les villes, 147 ; mécanisme de l’élection
dans chaque bailliage, 148 ; elle est
directe pour la noblesse, 149 ; directe en
partie pour le clergé, 150 ; indirecte et à
deux ou trois
degrés pour le Tiers-État, mais ce système ne nuit en rien à
la pensée du Tiers-État, 152 ; exclusivisme du Tiers en 1789, 154 ; la Cour
veut faire décider par le roi sur les élections contestées, 176.
ÉLECTIONS A LA LÉGISLATIVE, II, 757 ; leur caractère modéré, 791.
ÉLECTIONS A LA CONVENTION, III, 91 et sq. Mode d’élection dans la Constitution de 7795, IV, 1584.
ÉLECTIONS DE GERMINAL AN V (mars-avril 1797). V, 370.
Réformes introduites par le Directoire, 436.
ÉLECTIONS DE 1799. Ce sont des élections républicaines, 528.
ÉLECTIONS DE 1815. Conditions dans lesquelles elles eurent lieu, résultats, VII, 80 ; de 1818, 127 ; 128 ; de 1819, 137.
ÉLECTIONS DE 1823. La pression électorale, 198.
ÉLECTIONS DE JUILLET 1830, 238.
ÉLECTIONS DE JUILLET 1831. La pression avouée du gouvernement, VIII, 121.
ÉLECTIONS DE 1837, 312 ; 326 et sq ; malgré la pression, elles sont défavorables à Molé, 327.
ÉLECTIONS DE 1839, 348 ; dix-neuf fonctionnaires élus, 340 ; échec de Molé, 341 ; 370.
ÉLECTIONS DE 1842, 432 ; la corruption électorale sous la monarchie de Juillet, 441.
ÉLECTIONS D’AOÛT 1846, 537.
ÉLECTIONS A LA CONSTITUANTE DE 1848. Leurs conditions générales, IX, 39 et sq ; débat sur leur date, 42 ; le vote au canton, 43 ; la campagne et les programmes, 43 et sq ; les résultats, 48 ; ce sont les modérés qui en apparence l’emportent, 49.
Mode d’élections, adopté dans la Constitution de 1848, 108.
ÉLECTIONS COMPLÉMENTAIRES DU 10 MARS 1850, 194 ; succès des démocrates, 194 ; malgré la pression gouvernementale, 195.
ÉLECTIONS DE 1852. La pression gouvernementale et ses résultats, X, 39.
Le régime électoral de l’Empire ; le candidat officiel, 43 ; les urnes chez le maire, 44 ; les circonscriptions, 44.
ÉLECTIONS DE 1857. Les succès républicains 103 et sq.
ÉLECTIONS DE 1863, 155 et sq ; la campagne, 156 ; l’idée de l’Union libérale ; on se contente d’un accord tacite, 156 ; journaux et comités, 158 ; les hommes de 1848 contre les Cinq, 158 ; les résultats à Paris, t58 ; dans les départements, 159 ; leur signification, 159.
ÉLECTIONS DE 1869, 342 et sq ; la mentalité de la classe ouvrière, 343 ; résultats, 346.
ÉLECTIONS DE NOVEMBRE 1869, 361 et sq.
ÉLECTIONS DU 8 FÉVRIER 1871, XI, 264 ; les candidats de la Corderie, 265.
ÉLECTIONS DU 26 MARS 1871, à la Commune, 306 ; les résultats, 308.
ÉLECTIONS DU 16 AVRIL 71, 387.
ÉLECTIONS MUNICIPALES DU 30 AVRIL 1871, 440.
ÉLECTIONS COMPLÉMENTAIRES DE 1871, XII, 22 et sq.
ÉLECTIONS DE 1875. La campagne et les résultats 182 ; la Bourse baisse à la proclamation des résultats, 185.
ÉLECTIONS DE 1877, 204 et sq ; les résultats, 206.
ÉLECTIONS AU SÉNAT EN 1879, 220.
ÉLECTIONS DE 1881, 238 ; leurs résultats, 238 et sq.
ÉLECTIONS DE 1885, 246 ; leurs résultats, 247.
ÉLECTIONS MUNICIPALES DE 1900, 290 ; leurs résultats à Paris, 290.
Électorat. Conditions fixées par la Constituante, I, 378 ; elles sont intermédiaires entre l’oligarchie bourgeoise et la pure démocratie, 378 et sq ; incertitude de l’Assemblée sur cette question, 381 et sq ; les conditions sont revisées en 1791, 735 ; conditions imposées par la Constitution de 1795, V, 130 et sq ; par la Constitution de l’an X, VI, 172 ; par la Charte de 1814, VII, 35 ; par la loi électorale de 1831, VIII, 98 ; conditions imposées en 1848, IX, 40 ; un saut dans l’inconnu, 40 ; comment le suffrage universel déroute les anciens républicains et inquiète la bourgeoisie par les conditions sociales qu’elle pressent, 41 ; discussions sur les procédés d’organisation, 42.
Élevage. Son développement de 1794 à 1800, V, 274.
Elgin (lord), X, 131.
Elle, vainqueur de la Bastille, I, 264.
Éligibilité. Conditions fixées par la Constituante, I, 378 ; parti pris de l’Assemblée contre l’indifférence du peuple, 388 ; bien faible protestation de l’extrême-gauche, 388 ; le débat ne porte que sur la forme du cens ; la droite veut exclure la propriété mobilière, 389 ; bases finalement adoptées, 390 ; l’appréciation de la journée de travail fut souvent fixée très bas, 408 ; les conditions sont revisées par la Constituante en 1791, 735 ; conditions imposées par la Constitution de 1795, V, 130 et sq ; par la Constitution de l’an X, VI, 172 ; par la Charte de 1814. VII, 35 ; par la loi électorale de 1831, VIII, 98 ; en 1848, IX, 40.
Élisabeth (Madame), sœur de Louis XVI, I, 659, 685-86 ; 699 et sq ; sa tête réclamée par Hébert, IV, 1695 ; V, 108.
Éloquence parlementaire. Son développement sous la Restauration, VII, 97. Émancipation (L’). Journal de Toulouse en 1871, XI, 369 et sq ; XII, 33.
Embrun (V.). L’élection de 1842, VIII, 441.
Emerv, supérieur de Saint-Sulpice, V, 178 ; VI, 72.
Emery, commerçant du premier Empire, VI, 281 et sq.
Émeute du savon. 27 juin 1793, IV, 1604 ; 1610.
Émigration. Elle ne se dirige pas vers les colonies, XII, 235.
Émigrés. Opposition de leurs plans à ceux du roi, I, 677-678 : II, 796 ; le document de novembre 1791, 843 ; leurs biens convoités par les paysans, 1076 ; décret du 30 mars 1792 sur leurs biens, 1080 ; leurs biens vendus à bail, décret du 14 août 1792, i305 : à Mayence, III, 586 ; 590 ; débat du 5 mars 1793, IV, 1090 ; leur conduite à l’étranger, V, 104 ; dernière loi de la Convention contre eux, 148 ; mesures concernant leur rentrée en 1796-97, 369 ; 410 ; ils se préparent à tenter un coup d’État contre le Directoire, 419 ; comment certains profitent du milliard des défenseurs de la patrie, 449 ; 527 ; ils ont bel et bien été des traîtres, 539 ; Bonaparte consul a le pouvoir de les rappeler, VI, 46 ; l’amnistie du 6 floréal, leur rentrée, 184 ; Cf. Milliard.
ÉMIGRÉS (BIENS DES). La loi du 3 juin 1793 ; IV, 1627 et sq ; leur vente commence réellement en 1794, 1772 et sq.
Émilie. Décide son annexion à la Sardaigne, X, 122.
Emmery, député à la Législative, libre échangiste, II, 1032 ; VI, 169.
Empire (Premier). La France ne le souhaitait pas ; comment il fut établi, VI, 195 et sq ; étendue de l’Empire français en 1809, 38o et sq.
Emprunts. Voie fermée en 1790, I, 435 ; les deux emprunts de 1795, V, 150 et sq ; emprunt de 1871, « les capitaux sur l’autel de la patrie », XII, 40.
Emprunt forcé. Comment la conception s’en fait jour peu à peu, III, 273 ; IV, 1576 ; c’est un vaste impôt remboursable, 1666 ; V, 299 ; comment on en organise le prélèvement, 561 ; mécontentement provoqué par cette mesure, 574 et sq ; sa suppression par les consuls provisoires, VI, 26.
Emprunt progressif. Loi nouvelle après le 30 prairial, V, 534.
Encyclopédie. Son influence sur les Constituants, I, 231 ; XII, 309.
Enfantin, saint-Simonien, VII, 260 ; son attitude en 1830, VIII, 2 et sq ; 8 ; 29 ; 161 ; 187 ; 190 ; 192 ; son mysticisme naturaliste, 198 ; la loi vivante, 199 et sq ; son attitude après le départ de Bazard, 200 ; il devient pape et Messie, 202 ; le procès, 206 et sq ; sa condamnation, 207 ; 522 ; IX, 25 ; 230 ; son rôle sous le second Empire, X, 55, 56.
Enfants. Employés à l’industrie dès le XVIII » siècle, I, 76 ; tirés des hospices pour être envoyés dans les filatures, V, 264 ; leur instruction et le travail sous le premier Empire, VI, 553 et sq ; leur travail aux environs de 1830, VIII, 62 et sq ; mouvement pour la protection de leur travail en Angleterre, 354 ; leur mortalité d’après Gasset, 355 ; projet de loi limitant leur travail, 355 ; sa discussion, 355 et sq ; le vote, 358 ; indifférence de la Chambre des députés, 358 ; discussion sur la loi protectrice en 1850, IX, 297 ; projet de loi de 1872 sur leur travail, XII, 134 ; loi de 1892 sur leur travail, 260. Enfants abandonnés. Comment on en organise l’assistance sous le Directoire, V, 163 et sq.
Engelback, III, 287 et sq.
Engels, I, 111 ; VIII, 21 ; 62 ; 64 ; 227 ; 443 ; 554 ; IX, 235 ; 23Q ; X, 162 ; XII, 79.
Enghien (duc d’). Comment Bonaparte le fait mettre à mort, VI, 191 et sq.
Enjubault, membre des Cinq-Cents, V, 194.
Ennemi des oppresseurs (L’), V, 561. Enquêtes.
ENQUÊTE SUR LE TRAVAIL AGRICOLE ET INDUSTRIEL EN 1848 : sur quelle question elles portent, 290 ; conditions dans les- quelles elle eut lieu ; ses résultats, 291.
ENQUÊTE SUR LE 4 SEPTEMBRE, XI, 252, 263.
ENQUÊTE SUR LE 18 MARS, XI, 276 ; 35i, 352, 362, 392.
Enragés, IV, 1046 ; (Cf.Varlet, Roux) confondent la lutte contre les agioteurs dans la lutte contre la Gironde, 1075 ; leur action contre la Gironde à l’occasion de Dumouriez, 1091 et sq ; pourquoi Marat s’oppose à eux, 1110 ; ils triomphent de la trahison de Dumouriez et attaquent la Gironde, 1171 ; 1227 ; maîtres du club de l’Evêché, 1258 ; 1264 ; leur influence grandit aux Jacobins, I302 ; ils auraient voulu le massacre des Girondins, 1382 et sq ; leur attitude vis-à-vis de la Constitution de 93 au lendemain du vote, 1595 ; combattu par la coalition de la Montagne, des Jacobins, des Cordeliers et de la Commune, 1613 ; I631 ; 1676.
Enregistrement. Loi l’établissant, V, 155.
Enseignement (Cf. Écoles, Éducation etc.). Son organisation par la Convention, IV, 1772 ; son développement de 1794 à 1800, V, 186 et sq ; le projet de M. de Salvandy, VIII, 520 ; le débat à l’occasion de la Constitution de 1848, IX, 171 ; de ce débat date l’opposition qui s’accentuera entre catholiques et socialistes, 172 ; la discussion du projet Carnot, 174 ; la loi Falloux, 177 et sq ; la revendication ouvrière en cette matière, X, 305 ; la question de sa réorganisation en 1873, XII, 68 ; mesures de 1878 pour aider les communes à construire leurs écoles, 217 ; les propositions de la loi Jules Ferry, l’article 7, 225 ; son développement au XIXe siècle ; il se pénètre peu à peu de pensée socialiste, 309.
ENSEIGNEMEMT (LIBERTÉ DE L’). La question en 1830 ; la promesse de la Charte, VIII, 87 ; 556 ; la lutte des catholiques autour de la Constitution de 1848, IX, 106.
ENSEIGNEMENT MUTUEL. Son développement sous la Restauration, VII, 169.
ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE. Idées de Lepelletier de Saint-Fargeau à ce sujet, IV, 479.
ENSEIGNEMENT POPULAIRE. Dans le plan de Condorcet, II, 1152.
ENSEIGNEMENT PRIMAIRE. Son développement, du plan de Talleyrand au plan de Condorcet, II, 1147 et sq ; la Convention sent qu’il faut indemniser les familles pauvres envoyant leurs enfants à l’école, 1474 ; idées de Michel Lepeletier à son sujet, 1475 et sq ; son développement de 1794 à 1800, V, 186 ; il est laïque, gratuit et obligatoire, 186 ; nécessité de l’harmoniser à l’enseignement secondaire aperçue dès le temps du Directoire, 192 ; sous le ministère Villène, Vil, 169 et sq ; la loi de 1833, VIII, 242 et sq ; ses principes, 242 ; 558 ; sa situation en 1848, IX, 162 ; nombre des illettrés, 162 ; le projet de Carnot en 1848, 170 ; la loi Falloux, 180 et sq ; son développement après la loi de 1850 ; le succès de l’Église n’est pas très éclatant, 191 ; son état sous le second Empire, X, 71 ; comment l’Église s’en empare, 72 ; la loi de 1867, 306 ; les débats de 1880, XII, 230.
ENSEIGNEMENT PRIVÉ. Discussion sur son organisation et son contrôle en 1848, IX, 171 et sq.
ENSEIGNEMENT SECONDAIRE. Son organisation, de 1894 à 1800, V, 193 et sq ; sous le ministère Villèle, VII, 170 ; le projet de loi Villemain, son dépôt, VIII, 502 ; ses dispositions, 502 ; le projet de février 1847, 558 ; cet enseignement est selon le cœur de la classe dirigeante en 1848, IX, 164 ; attaqué comme peu pratique par les industriels et comme impie par l’Église, 166 ; conditions qui lui sont faites dans la loi Falloux, 183 ; c’est lui qui souffre surtout dans la loi Falloux, 190 ; le rôle des aumôniers de lycée, 190.
ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR. Dans le plan de Condorcet, II, 1154 ; son organisation de 1794 à 1800, V, 200 et sq ; sa situation en 1848, ses tendances utilitaires, IX, 167 ; son régime sous la loi Falloux, 184 ; les débats de 1875, XII, 176 ; la collation des grades, 198.
Épernay (V.). La propagande républicaine sous le second Empire, X, 91.
Épesses(les) (V.). En Vendée, XII, 948.
Éphraïm, juif envoyé de Berlin, I, 666.
Épinay-le-St-Denis (V.). Réclame le droit de glanage, I, 187.
Époque (L’). Journal, VIII, 545.
Ère nouvelle (L, ’). Journal de Lacordaire, IX, 26.
Erfurth(V.). L’entrevue de 1808, VI, 327.
Ernouf. Nouvelles études, V, 401 ; 404 ; 456.
Ernoul, XII, 88 ; 103 ; ministre de la Justice, 107 ; 127 et sq.
Erskine, III, 812.
Escarguel, XII, 169.
Escaut. La question de l’Escaut en 1792, III, 790 et sq.
Escaut (Dép.). Sa situation industrielle en 1811, VI, 522.
Eschassériaux, V, 433.
Esclavage (Cf. Nègres). Dans les colonies en 1789, I, 50 ; premier plan d’abolition de l’esclavage, II, 984 ; l’opinion de Forster, III, 572, 579 ; discours de Manuel, VII, 159 ; sa suppression en Angleterre et le droit de visite, VIII, 219 ; sa suppression en 1848 ; doléances et indemnités, IX, 363.
Escudier, député à la Convention, arrêté, V, 95 ; 100.
Esmenard, poète, VI, 465.
Espagnac (d’), III, 298.
Espagne, IV, 964 ; la lutte contre elle
en 1794-95, V, 51 ; les négociations avec
la France, 52 ; dernières campagnes,
négociation et paix avec la France en
1795, 124 et sq ; ses ambitions dans les
affaires orientales, 376 ; le Directoire
cherche à la gagner, 378 ; elle s’allie à la
France, 379 ; VI, 121 ; 124 ; 132 ; l’aspect
du pays, 342 ; l’empreinte du catholicisme, 343 ; histoire des luttes contre
Napoléon, 347 et sq ; l’influence des
guerres napoléonniennes sur le pays,
358 ; l’œuvre des Cortès et la Constitution de 1812, 359 et sq ; la révolution
de 1820, VII, 184 et sq ; l’intervention
française, 188 et sq ; le mouvement de
1830, VIII, 105 ; la succession de Ferdinand VII, 224 et sq ; le mariage d’Isabelle, 523 et sq ; tableau de la vie espagnole d’alors, par Quinet, 524 ; sa participation à l’expédition mexicaine, X, 135 ;
la candidature Hohenzollern, XI, 161 et
sq ; sa situation en 1873, XII, 120.
Espartero. ministre espagnol, son gouvernement, VIII, 524 et sq ; sa chute, 528.
Espée (de l’), préfet de la Loire, tué en 1871, XI, 369.
Espérance (L’), revue de P. Leroux, X, 86.
Esparcieux, sculpteur ; ses idées esthétiques, V, 222.
Espiègle (L’), journal, X, 294.
Espinas, IV, 1537 ; V, 14 ; 21 ; ses erreurs multiples, 284 ; 320.
Espinasse, IX, 216 : 219 ; la mission de Clémence en 1852, 31 ; ministre de l’Intérieur et de la sûreté générale en 1858, X, 112.
Espivent de la Villeboisnet (Gé- néral). Son rôle à Marseille en 1871, XI, 372 et sq.
Esquirns, IV, 1375 : i385 ; VIII, 426 ; IX. 1 38 ; 222 ; 231 ; à Londres, X, 85 ; 378.
Essling (V.). Bataille de 1809, VI, 367.
Essorines (V.). Sa papeterie, V, 256.
Est (Région de l’). Son industrie au XVIIIe siècle, est combattue par les ordres privilégiés, comme destructrice des forêts, 1, 68 ; état de ses classes laborieuses aux environs de 1830, VIII, 59.
Esterhazy (Comte), II, 806.
Esterhazy, XII, 267.
Esterao (D’), X, 111.
Étampes (V.). Son Tiers-État demande le rétablissement ou maintien du droit de pâture, I, 196 ; troubles agraires. II, 1098 et sq.
État. La lutte du domaine de l’État et du capitalisme privé commence dès 1792, II, 1086 ; conception de son rôle chez les sociétés de 1848, IX, 241.
État-civil. Sa laïcité établie par la Législative, le 20 septembre, III, 225.
État de siège. Loi de 1877 le réglementant, XII. 215.
États-Généraux (Cf. (Constituants). Leur convocation, I, 146 ; leur réunion le 4 mai 1789, 230 ; première séance, 231 : quels membres les composent, 231.
États-Unis. La révolution américaine jugée par Condorcet, IV, 1790 ; leurs difficultés avec la France sous le Directoire, V, 406 ; VI, 124 ; difficultés avec la France au sujet du blocus continental, 328 ; la guerre avec l’Angleterre, 329 ; VIII, 273 ; X, 247 ; soutiennent Juarez au Mexique, 252 : leur situation en 1873, XII, 124.
Éterpigny (V.). Demande la restitution des communaux. I, 207.
Étienne (Père). X, 153 ; son rôle à Marseille en 1871, XI, 372.
Étienne ((Mgr), X, 132.
Étoile Belge (L’). Journal, XI, 474.
Étrangers. Décrets de la Convention sur leur biens, V, 56.
Être suprême (culte de l’), IV, 1807 et sq ; Cf. Robespierre ; la fête, 1809.
Étudiants. Leur adresse internationale contre la guerre en 1866, X, 268.
Eudes, ami de Blanqui, X, 332 ; XI, 246 ; veut marcher sur Versailles dès le 19 mars 71, 283 ; 299 ; 308 ; 311 ; 330 ; 356 ; son rôle le 3 avril, 358 et sq ; 366 ; au Comité de salut public, 435 ; 463.
Eugène (Prince), VI, 368.
Eure (Dép.). Mouvement paysan au printemps de 1792, dirigé surtout contre les gros fermiers. II, 1069 et sq ; III, 94 ; IV. 1630 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522 ; les conditions du travail et de la vie sous le premier Empire, 553 ; 580.
Eure-et-Loir (Dép.). Troubles agraires en 1792. III, 320, 323 et sq.
Europe. Son hésitation à intervenir dans les affaires françaises, II, 812 ; ses dispositions en juin 1792, II, 1185 ; sa réponse à la mort du roi, IV, 964 ; ses dispositions à l’égard de la France en 1815, VII, 76 et sq ; rivalité entre les puissances, l’ultimatum de 1815, 79 ; ses dispositions à l’égard de la France en 1818, 128 ; sa situation générale en 1830, VIII, 103 et sq ; comment elle accueille la Révolution de 1848, IX, 16 et sq ; les révolutions européennes, 17 ; son état en 1848, 142 ; la réaction de 1840, 157 ; son attitude à l’égard de Napoléon III en 1863, X, 247.
Européen (L’), journal, VIII, 227.
Évêchés. Leur réorganisation par la Constituante, I, 524 ; leur répartition nouvelle dans les articles organiques, VI, 96.
Évêché (Club de l’). Première idée de cette réunion, III, 391 ; adresse des sections à la Convention après l’acquittement de Marat, IV, 1198 ; sa constitution définitive le 1e avril, 1255 et sq ; les réunions du 29 mai, 1364 et sq ; la commission des six, 1366 ; le plan d’insurrection ; on rassure les propriétaires, 1367 ; la commission des neuf, 1368 ; ses relations avec les Jacobins et la Commune, 1370 ; il est le 30 mai le vrai centre révolutionnaire, 13, 71 ; ses décisions dans la nuit du 30 au 31 mai, 138o0 ; son rôle au 31 mai, 1385 et sq ; ses relations avec la Commune, le 31 mai, 1399 et sq : il reprend le mouvement le soir du 31 mai, 1432 ; son appel du 1er juin aux 48 sections, 1432.
Évêché (Section de 1"), IV, 1262.
Évêques. Élus par les membres de l’assemblée départementale, 1, 525 et sq : conditions d’éligibilité, 532 ; ils protestent contre la constitution civile, 631 ; comment le Concordat règle le sort des émigrés et des Constitutionnels, VI, 84 et sq ; règles établies pour leur nomination, 87 ; interprétations diverses auxquelles elles ont donné lieu, 88 ; leurs droits, 89 et sq ; Napoléon voudrait se passer, pour leur nomination, des bulles pontificales, 378 ; VII, 125 ; ils surveillent l’enseignement sous le ministère Corbière, 170.
Évrard (Simonne), compagne de Marat, IV, 1631 ; lancée par les Hébertistes contre Roux, 1697.
Évreux (V.). Ses habitants sont divisés sur la question des biens communaux, I. 207 ; II, 1072 ; IV, 1630.
Exagérés. Nom des démocrates sous le Consulat, Cf. Républicains.
Exclusifs. Nom des démocrates sous le Consulat, Cf. Républicains.
Exelmans, général ; son débat avec Soult, VII, 40 ; proscrit en 1815, 78.
Exercice. Sa suppression en 1848, IX, 371.
Expert-Bezancon. Combat la loi de dix heures, XII, 288.
Exportations (Cf. Commerce), de 1794 à 1800, V, 277 et sq.
Expositions. L’exposition de 1798, V, 259 ; de 1800 à 1807, VI, 297 : celle de 1806 offre le tableau des progrès industriels sous le 1er Empire, 512 ; exposition de 1819, VII, 137 ; exposition de 1849, IX, 331 ; exposition universelle de Londres en : 851, 331 ; l’exposition de 1855, X, 63.
Exposition de Londres en 1862, histoire de la délégation ouvrière, 198 ; l’œuvre de la commission ouvrière, 202 ; le voyage ; il dégagea les ouvriers de la protection du pouvoir, 203 ; les rapports montrent bien les idées sociales du prolétariat parisien à cette époque, 203 et sq.
Exposition de 1867 ; la commission des délégués ouvriers ; son œuvre, 308 ; comment elle aide à l’établissement d’un régime de tolérance syndicale. 310.
Exposition de Vienne, la délégation ouvrière, XII, 135 ; exposition de 1878 ; 196 ; son caractère, 217 ; exposition de 1889. 254 ; elle redresse la conscience populaire, 254 ; exposition de 1900, sa répercussion sur le travail, le chômage, 290.
Expropriation. La nationalisation des biens ecclésiastiques était une expropriation, 1, 439 ; comment les arguments de 1789 peuvent servir aux communistes, 452 ; l’expropriation des biens d’église fut le ressort de la Révolution, 521 ; la loi de 1841, VIII, 431.
Expropriation (Droit d’). Pour cause d’utilité publique, III, 356 ; la loi de 1833, VIII, 241 ; le décret de la Commune sur les ateliers abandonnés par leurs propriétaires, XI, 222.
Extrême gauche. Ce qu’elle comprend en 1875, XII, 163 ; comment elle se constitue, 170 ; 195 ; son programme en 1885, 246 ; sa situation difficile entre le parti gouvernemental et les socialistes, 246.
Eylau. (V.). Bataille de 1807, VI, 223.