Histoire socialiste/Table analytique/M
Table analytique
Mably. Ses rêveries sont réactionnaires, I, 134 ; III, 841 ; IV, 1531 ; inspirateur de Babeuf, V, 22.
Macdonald, général, V, 403 ; 487 et sq ; sa campagne de 1799, 503 et sq ; son rôle au 18 brumaire, V, 580 ; son rôle en Allemagne en 1812, VI, 410 ; à Leipzig, 437 ; la campagne de France, 585 et sq ; VII, 20 ; fidèle à Napoléon dans l’infortune, 21 et sq ; 25 ; 38 ; 45, 46 ; il achève le licenciement de l’armée, 79.
Macé (Jean), fondateur de la Ligue de l’Enseignement, XII, 230.
Machecoul (V). Dans le pays de Retz, IV, 1151 ; son histoire au temps des guerres de Vendée, 1152 et sq.
Machinisme. Ses progrès au XVIIIe siècle, I, 70 ; célébré sans réserve par Savary des Brûlons, 70 ; peu considérable pourtant encore, 71 ; il jette l’émoi cependant dans la bourgeoisie industrielle, 71 ; son développement de 1794 à 1800, V, 249 et sq ; le développement des machines sous le Premier Empire, VI, 514 ; 515 ; les machines sont brisées en 1830, VIII, 16 et sq ; mouvements luddistes en France, 233 ; son développement sous le Second Empire, X, 168.
Mack. Sa campagne contre Macdonald en Italie, en 1798-99, V, 487 et sq ; VI, 211.
Mackau, ministre de la marine en 1847, VIII, 542.
Mackenzie. Ses voyages, III, 657.
Mackintosh. Son optimisme, III, 745 ; sa réponse à Burke sur les assignats, 746 ; il célèbre l’égalité politique, 748 ; il montre l’inconséquence des Constituants qui ne sont pas allés d’emblée au suffrage universel, 752 ; il montre comment l’Angleterre pourrait accomplir pacifiquement la réforme française, 754.
Macloud (John). Importe en France la navette volante, V, 249.
Mac-Mahon. La guerre de 1870, XI, 2 et sq ; sa faute après Wissembourg, 4 ; à Châlons, 8 ; ses manœuvres vers Sedan, 9 ; Sedan, 10 ; 242 ; mis à la tête de l’armée de Versailles, 424 ; 472 : XII, 99 ; président de la République, 103 ; son caractère, son passé, 106 ; son entourage, 107 ; sa proclamation après l’élection, 107 ; son rôle comme président, 127 ; 128 ; sa réponse au président du Tribunal de commerce, 137 ; ses voyages en 1874, 152 ; 162 ; sa politique en 1875, 168 ; le ministère de mars 1875, 176 ; désemparé par le résultat des élections de 1875, 185, 186 ; son activité en 1876, 198 ; sa lettre à Jules Simon, 202 ; le ministère de Broglie, 2o3 ; son message à l’Assemblée, 204 ; le décret de prorogation, la dissolution de 1877, 2o3 ; découvert par la dissolution, 206 ; il « se soumet », 211 ; sa situation devient intenable, il démissionne, 222.
Mâcon (V.). Le Tiets-État demande la restitution des communaux, I, 208 ; le banquet, VIII, 551.
Maconnais. Agité par une sorte de Jacquerie en juillet 1789, I, 275.
Maçons. Leur rôle à Lyon en 1790, I, 425 ; ils demandent le relèvement des salaires en 1793, IV, 1777 ; V, 203 ; leur mouvement corporatif en 1848, IX, 278 ; leurs condamnés de 1871, IX, 489.
Madagascar (Ile). Crédits demandés en 1885 pour une expédition, XII, 244 ; 247.
Madelin. Fouché, V, 74 ; 56o ; VI, 145 ; 166 ; 167 ; 195.
Madier de Montjan, VIII, 350 ; IX, 222 ; X, 86 ; il refuse de profiter de l’amnistie de 1859, 121 ; 160 ; 168 ; 169 ; XII. 175 ; 183 ; 222 ; 225.
Madrid (V.). Napoléon l’occupe en 1809, VI, 354 ; prise par les Français en 1823, VII, 193.
Maastricht (V.), IV, 1084 ; 1086.
Magasin Encyclopédique (Le), V, 245 ; 256 ; 264.
Magasins généraux. Leur fondation en 1848, IX, 337.
Magasin Pittoresque (Le), VIII, 284.
Magenta. Bataille, X, 119.
Magistrats. Leur situation sous la sous la Restauration, VII, 90 ; leur nomination dans la Constitution de 1848, IX, 118.
Magnan (Général), IX, 216, 219, 223, 226 ; son rôle au coup d’État, X, 1 et sq.
Magne. Sa démission de janvier 1852, X, 34 ; ancien Guizotin, 54 ; ministre des finances, XII, 107 ; i39 ; 140 ; 150.
Magnier (Brutus), détenu à Rennes, V, 91.
Maguin. Élu en 1863, X, 159.
Mahmoud, sultan, se place sous la protection du tsar, VIII, 223 ; l’affaire de 1840, 386 et sq.
Mahul, IX, 135.
Mahy de Favras (Marquis). Arrêté et pendu en décembre 1789, pour avoir conspiré l’enlèvement du roi, I, 356.
Magen, pamphlétaire républicain, V, 86.
Maignet, député à la Convention, IV, 1276.
Magnin, ministre des finances, XII, 227.
Mahy (de), député républicain. Arrêté, 142.
16 Mai 1877, XII, 203 et sq.
18 Mai 1839 (Émeute du), VIII, 343 et sq ; les formules des insurgés, 350.
15 Mai 1848 (Émeute du), VIII, 52 et sq.
Maigne. Son rôle dans les journées du Coup d’État, X, 10.
Mail (Section du), III, 89.
Mailhe. Montre que le but de la révolution est d’abolir les droits féodaux, II, 786 ; IO32, 1037 ; soupçonné de vénalité, IV, 936 ; son vote à la mort du roi, 947 et sq ; 1642.
Maillanderie (de la), administrateur du district de Louhans, I, 429.
Maillard, vainqueur de la Bastille, I, 264 ; appelé par les femmes, les conduit à Versailles, le 5 octobre 1789, 340 ; son rôle à l’Assemblée, 344 ; arrêté, 1743 ; relâché, 1745.
Maillehois (Maréchal de). Ce que Napoléon lui doit, V, 342.
Main-Morte. Projet de 1848 contre la propriété de main-morte, IX, 364.
Mainvielle. Son rôle à Avignon, III, 126.
Maison (Maréchal). Son expédition en Morée, VII, 222 ; son rôle en juillet 1830, 251 ; VIII, 114.
Maistre (Joseph de), V, 218 ; IX, 70.
Maistre (Xavier de), V, 218 ; son œuvre littéraire, VI, 500.
Majorats (Cf. Droit d’aînesse). Leur institution sous le premier Empire, VI, 443 ; interdits en 1848, IX, 363.
Malardier, IX, 138 ; son rôle dans les journées du coup d’État, X, 10.
Malesherbes, avocat du roi, IX, 878.
Malet. Sa conspiration en 1812, VI, 400 et sq ; sa première conspiration, 473 ; comment elle fut réprimée, 474.
Mallarmé, IV, 1444 ; représentant du Gouvernement après le 18 brumaire, VI, 25.
Mallet. député de la Seine-Inférieure, VIII, 328.
Mallet-Dupau. Accuse la Constituante d’avoir ébranlé le droit de propriété, II, 1092 ; son idée de faire communier tous les hommes d’ordre dans ce même symbole : la propriété, 1093 ; pourquoi sa tentative était vaine, 1094 ; 1162 ; 1181 ; 1272 ; IV, 892 ; ses observations sur les rapports du maximum et du crédit des assignats, 1669 ; comment il juge la guerre révolutionnaire, 1692 et sq ; 1704 ; son impression sur Danton, 1736 ; 1745 ; V, 354 ; 418 ; VI, 2, 16 ; X, 260.
Malmesbury. Sa mission à Paris, V, 38a ; VI, 4.
Malleville (de), député, XII, 150.
Malo, commandant de dragons, son rôle dans l’affaire de Grenelle, V, 324 ; son rôle dans le complot de Brothier, 364.
Malo-Jaroslavetz (V.). Bataille, VI, 398.
Malon (Benoit), VI, 10, 11 ; VIII, 462 ; X, membre de l’Internationale dès le début, 295, 296 ; 299 ; membre de la deuxième Commission de l’Internationale, 319 ; 322 ; son rôle dans la seconde Internationale, 338 ; 339 ; 340 ; 342 ; abstentionniste en 1869, 343 ; 347 ; 253 ; ses lettres sur la manifestation remise du 26 octobre 1869, 358 ; ses conceptions sur le mouvement économique et le mouvement politique, 370 ; 375 ; 376 ; 382 ; 383 ; 384 ; au Creusot, 386 ; sa propagande en 1870, 387 ; le troisième procès de l’Internationale, 3qo ; signataire de l’affiche rouge, XI, 256 ; élu de Paris, 265 : 287 ; élu à la Commune, 308 ; 311 ; 313 ; 330 ; 382 ; 394 ; 415 ; il fait partie de la minorité de la Commune, 431 ; 432 ; 439 ; 451 ; 463 ; XII, 208.
Malouet. Son plan financier, I, 30 ; il reproche à tort à la royauté de n’avoir pas pesé sur les votes des États-Généraux, 232 ; il propose au Tiers-État de se constituer provisoirement en ordre distinct, 235 ; il propose l’envoi de commissaires, selon l’ordre du roi, 239 ; son inquiétude au sujet des idées que la Déclaration des Droits peut donner aux prolétaires, 303 ; comment par la Déclaration, la Révolution fut universelle, 304 ; il regrette, dans ses mémoires, de n’avoir pas approuvé Mirabeau, 363 ; sa vie, son caractère, 370 ; IX, 258.
Malseigne. Envoyé à Nancy par La Fayette, contre les soldats du régiment de Châteauvieux, I, 558.
Malte (île de), prise par Bonaparte, V, 465 ; VI, 112 ; reprise par les Anglais, 116 ; discussions à son sujet entre l’Angleterre et la France, 175 et sq.
Malthus, III, 847 ; IX, 377.
Maine, libraire catholique, IX, 190.
Mamin, déporté à la Guyane, VI, 23.
Manche (Dép.). Sa situation industrielle en 1811, VI, 522.
Manchester (V.), III, 201 ; 687 ; les ouvriers acclament l’élection d’Albert en 1848 ; IX, 16.
Mandar (Théophile), commissaire de section, II, 1277.
Mandat, commandant de la garde nationale, 11, 1284 ; tué le 10 août, 1290 et sq.
Mandats territoriaux. Leur émission, V, 300 ; leurs avantages, 30t ; leur inefficacité, 302 ; 359 et sq.
Mangin (Frères), républicains nantais, X, 99 ; 152.
Manifeste communiste, III, 446 ; sa rédaction, VIII, 555 et sq ; traduit en France en 1848, il reste peu connu, IX, 235.
Manifeste des Égaux, V, 306.
Manin, le héros de Venise, IX, 158.
Mannheim (V.), VIII, 396.
Mantoue (V.), V, 350.
Mantes (V.). Son Tiers-État demande le partage des biens communaux, I, 208 ; vente des biens nationaux, 491.
Manuel. Suspendu par le Directoire du département. Il, 1236 ; 111, 9 ; 38 ; 219 ; veut obliger tout culte à s’enfermer dans son temple, 219 ; 234 ; IV, 953.
Manuel. Demande la nomination au trône de Napoléon II, VII, 63 ; 74 ; 121 ; élu en 1818, 128 ; 140 ; sa défense de la liberté industrielle et de la liberté de la presse, 146 ; 150 ; 152 ; 155 ; 158 ; 159 ; 174 ; 186 ; son expulsion, 190 ; sa mort, 191.
Manuel électoral, X, 158.
Manufactures. Le régime de la manufacture en Allemagne, III, 453 et sq ; développement et conditions des manufactures de 1794 à 1800, V. 240.
Marais (Dessèchement des). Édit du 14 janvier 1763, I, 184.
Marais. Centre de la Convention, IV, 12O3 ; défendu par Robespierre, 1744.
Marais (Section du), III, 391 ; 392 ; IV, 1258 ; 1259 ; 1387.
Marant, député à la Législative, protectionniste, 11, 1032.
Marat. Commence à publier le i3 septembre 1789, I, 332 ; il avertit le peuple des manœuvres de la Contre-Révolution, 333 ; il demande dès la première heure la concentration du pou VOIR révolutionnaire, 335 ; il dénonce furieusement l’Assemblée de l’Hôtel-de-Ville, 335 ; sa pensée est incertaine et encore incohérente, 336 ; mais il éveille la conscience révolutionnaire du peuple, 336 ; il proteste contre la loi du marc d’argent, 431 ; combat l’impôt du quart du revenu en 1789, 435 ; son opinion sur le décret colonial de mai 1791, 572 ; il conçoit le prolétariat surtout comme une force politique nécessaire à la Révolution, 575 ; son idée de Fédération séparée, 576 ; il veut opposer aux nobles, ennemis de la Révolution, et aux bourgeois qui la trahissent, le prolétariat et la petite bourgeoisie, 576 ; en échange, il propose aux travailleurs un premier programme ouvrier, 578 ; il proteste contre la suppression des jurandes et maîtrises, 578 ; incohérence de ses idées sur ce point, 580 ; 600, 601, 6o3 ; informé du conflit du bâtiment, il ne proteste pas contre la loi Le Chapelier parce qu’elle entrave la lutte ouvrière, mais parce qu’elle isole les citoyens et les empêche de s’occuper de la chose publique, 612-616 ; 626 ; il devine l’intrigue de la cour, 670 ; il est informé en mars que la résolution de fuir est prise par le roi, 671 ; ses attaques contre Mirabeau, même au moment de sa mort tournent à la gloire du tribun, 680 ; ses articles sur la fuite du roi, 699 et sq ; ce qu’ils peuvent contenir d’authentique, 702 ; comment il accoutume le peuple à la thèse des modérés, après Varennes, à savoir que le roi a été mal conseillé, 704 ; son article du 21 juin 1791, 706 ; ses relations avec Vadier, 718 ; 732 ; 750.
Il ne critique que vaguement et indirectement le discours de Brissot du 20 octobre 1791, II, 800 ; 814 ; sa crise de désespoir à la fin de 1791, 816 et sq ; à l’occasion du décret sur les émigrés il veut ramener à la lutte intérieure, 847 ; le 1er décembre 1791, il entame brusquement la campagne contre la politique belliqueuse des Girondins, 871 ; comparé à Hébert, 1O51 ; il reparaît en avril 1792, 1060 ; 1167 ; il combat le projet de camp sous Paris, 1176 ; c’est lui qui alors semble accuser Paris, 1178 ; il relève la tête pour accuser La Fayette en 1792, 1242 ; peu écouté et découragé en juillet 1792, 1242 ; ses idées sur les enrôlements civiques, 1250.
Il se fait le journaliste de la Commune, III, 2 ; il lui trace son programme et retrouve confiance, 3 et sq ; il excite au massacre, 26 et sq ; et veut fermer la Convention à la Gironde, 30 ; 36 ; 67 ; son rôle dans les massacres de septembre, 69 et sq ; 72 ; il déplore les massacres surtout comme ruineux pour la Commune, 75 et sq ; élu à la Convention, 98, 102 ; il s’était cru vaincu aux élections de la Convention, 120 ; 133 ; il formule la revendication des pauvres, 138 ; 152 ; il est un isolé au début de la Convention, 368 ; son attitude défensive, il renonce à son plan de dictature prévôtale, 370 et sq ; désavoué par Danton, 379 ; il se défend contre les accusations des Girondins 382 ; ses appréciations successives des massacres de septembre, 384 ; comment il échappe à cette première attaque, 385 ; 398 ; sa prudence en octobre 92, 399 et sq ; son sens nouveau des responsabilités ; élargissement de ses vues, 406 et sq ; ses vues sur la politique extérieure, 407 ; 548 ; IV, 859 ; il veut que Louis XVI soit jugé avec apparat et sévérité, 860 ; 864 ; 870 ; son impression sur Louis XVI à la barre, 872 ; 876 ; 878 ; 879 ; 929 ; 942 ; 956 ; prudence de sa politique extérieure en décembre 92 ; 969 ; il désavoue les pétitionnaires, 1020 ; ce n’était pas un démagogue vulgaire, 1023 ; son article du 25 février 1793, 1030 ; il dut en être penaud. 1032 et sq ; 1063 ; son attitude envers Dumouriez, de janvier à mars 1793 ; 1008 et sq ; son changement d’attitude montre sa bonne foi révolutionnaire, 1103 ; sa politique d’union et d’espérance, 1105 et sq ; il s’épanouit et s’adoucit, 1108 ; son accord nouveau avec la Montagne, 1110 ; il la défend contre les Enragés, 1110et sq ; son système financier, impraticable d’ailleurs, l’éloigné encore des Enragés, 1113 et sq ; son union à Robespierre et Danton, 1115 ; son idée dictatoriale lui fait souhaiter la concentration du pouvoir exécutif, 1126 ; son intervention contre la section Poissonnière, 1132 ; 1160, 1101 ; après la trahison de Dumouriez, il se jette à l’avant-garde du mouvement révolutionnaire, 1171 ; il soutient Danton à fond contre les Girondins, 1184 ; accusé par les Girondins, déféré au tribunal révolutionnaire, 1194 et sq ; acquitté ; son triomphe à la Convention, 1198 ; 1258 ; aimé par le peuple d’une affection plus profonde qu’Hébert, 1320 ; 1332 ; il donne comme mot d’ordre l’anéantissement des Douze, 1338 ; son discours du 27 mai contre la Gironde, 1344 ; il se rend à l’Évêché, d’instinct, le soir du 30 mai ; il songe de nouveau.à la dictature, 1428 ; ses impressions sur le 31 mai, 1430 ; entre Barère et les Enragés, vrai chef du peuple le juin, 1433 ; son attitude le 2 juin ; il parle en maître, 1442 ; son rôle le 2 juin, 1446 et sq ; comment il absout les Girondins de l’accusation de fédéralisme, 1452 ; 1547 ; 1607 ; ses attaques contre Roux, 1608 ; à bout de forces et d’ailleurs peu capable de mener la lutte contre Hébert, 1622 et sq ; sa mort, 1631 ; ce qu’eut été sa destinée, s’il n’avait pas été assassiné, I632 ; sa pensée reprise par Ronsin, 1760 ; 1767 ; il défend Babeuf, V, 12 ; transporté au Panthéon, 28 ; 42 ; exclu du Panthéon, 71.
Marat (Albertine). Sa lettre aux hébertistes, IV, 1766 ; V, 38.
Marbot. lieutenant, frère du général, VI, 156.
Marbot, général, VI, 166 ; proscrit en 1815, VII, 78.
Marc, vainqueur de la Bastille, I, 264.
Marc d’argent. Conditions posées par la Constituante pour l’éligibilité, 1, 388.
Marcé, général, recule devant les Vendéens, IV, 1222.
Marceau, général. En Vendée, IV, 1683 ; 1815 ; V, 47, 340.
Marcellus (de), député, VII, 96.
Marcère (de), XII, 195 ; ministre de l’Intérieur, 198 ; 202 ; 210 ; 211 ; 218 ; 224 ; sa retraite, 224.
Marchais. Son rôle en juillet 1830, VII, 244 et sq.
Marchais (Citoyenne), femme de la Commune, XI, 484.
Marchand, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.
Marchand, ouvrier rémois, X, 98.
Marchand, commandant, sa mission, XII, 276 ; son retour à Paris, 278.
Marchandage, VIII, 362 ; le décret du 2 mars 1848, IX, 303.
Marché des Innocents (Section du), II, 1269 ; 111, 26.
Marchands de vin (garçons). Ordonnance d’avril 1804, VI, 550.
Marche, ouvrier de 1848, IX, 8.
Marchés (section des), IV, 1331 ; 1387.
Marchiennes (V.). Le Tiers-État demande la réforme de la jurisprudence sur les communaux, I, 206.
Marcou (avocat). Son rôle à Carcassonne en 1871, XI, 370 ; XII, 169 ; 169.
Maréchaux. Maréchaux-Ferrants, V, 260.
Marengo (V.). Bataille, V, 110.
Marescout, conseiller d’État, VI, 49.
Marestaing. Son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 412.
Maret, duc de Bassano ; . président du Conseil, VIII, 272 ; le ministère des trois jours, 273.
Margacot (Maurice), III, 204.
Margerin, Saint-Simonien, VIII, 188 ; 192.
Marianne (La). Société secrète, X, 100 ; 164.
Marihon, député à la Convention, IV, 1276.
Marie, député républicain en 1842, VIII, 432 ; 551 ; 556 ; son rôle dans les journées de février 1848, 567 et sq ; membre du gouvernement provisoire, IX, 2 ; 3 ; 7 ; 34 ; 35 ; 42 ; 48 ; 52 ; il veut se servir des ateliers nationaux pour diviser le prolétariat, 60 ; son rôle en juin 1848, 76 et sq ; sa palinodie sur la presse, 93 ; 102 ; m ; 116 ; 150 ; 168 ; 222 ; 259 ; 290 ; son rôle au Coup d’État, X, 12 ; 158 ; élu en 1863, 159 ; 210.
Marie-Amélie, femme de Louis-Philippe, VIII, 6 ; 46 ; février 1848, 570 et sq ; IX, 203.
Marie-Antoinette. Hésite en 1789 entre sa haine du comte d’Artois et sa haine du Peuple, I, 357 ; son état d’esprit en 1791, 658 ; la fuite à Varennes, 699 et sq ; une lettre à Fersen montre qu’elle ne se résigne pas et désire l’intervention de l’étranger, 746 ; II, 802 ; son extrême frayeur à la fin de 1791, 803 ; elle constate la lassitude de la Révolution à la fin de 1791, 826 ; ses relations avec Barnave et les Lameth en 1792. 827 et sq ; elle espère en la Législative, 831 ; elle pousse à l’acceptation de la guerre ; la guerre va devenir la politique de la cour, 875 ; elle a recours à Lameth, Barnave, Duport, pour tenter de limiter la guerre, 899 ; ils l’aident à rédiger le Mémoire à l’Empereur, 898 ; elle le recopie machinalement, sans foi, 900 ; décidée à la guerre, en février 92, 918 ; mission de Simolin à Vienne, 919 ; sa trahison flagrante au moment même de la guerre, 956, 957 ; elle continue en juin 1792 sa correspondance avec l’étranger, 1186 ; elle continue de duper les Constitution- nels, 1187 ; après le 20 juin, elle presse la venue des troupes étrangères, 1214 ; son état d’esprit le 3 juillet 1792, 1230 ; elle croit que la France a peur de l’étranger, 1238 ; elle sent venir la crise, 1282 et sq ; au Temple, elle espère encore en 93. la ruine de la Révolution, IV, 1190 ; attaquée par Hébert, 1616 ; condamnée à mort, 1681 ; sa mort, 1682 ; sa défense contre Chaumette, 1695.
Marie-Christine (d’Espagne). Son exil, l’intrigue du mariage français, VIII, 524 et sq.
Marie-Louise. Son mariage avec Napoléon, VI, 377 ; 384 ; 388 ; Impératrice ; le mariage, 460 ; son caractère ; ce qu’elle coûta à la France, 462 ; sa fuite en 1844, VII, 2.
Marie-Louise de Parme, reine d’Espagne, VI, 344 ; son sort. 350.
Mariette, député à la Convention, III. 111.
Maria (Paul), VIII, 96.
Marine. Sa réorganisation démocratique, IV, 986 ; son état au milieu de 1795, V, 123 ; son organisation sous le Directoire, 174 ; XII, 301.
Marine marchande. Son développement de 1794 à 1800, V, 228.
Marino, commissaire de la Commune, le 2 septembre, III, 53 ; administrateur de police, IV, i312 ; arrêté par ordre des Douze, 1316 ; relâché, 1323.
Marmande (V.). Comment il accueille le coup d’État de 1851, X, 18.
Marmite (La). Coopérative fondée par Varlin, X, 338.
Marmont. Mémoires, V, 432 ; VI, 108et sq ; la campagne de France, 585 et sq ; son rôle à Paris en 1814, VII, 1et sq ; il capitule, 5 ; 19 ; il abandonne Napoléon, 22 ; sa trahison, 23 ; en 1815, 70 ; 86, 88 ; 121 ; 159 ; 167 ; son rôle en juillet 1830, 243 et sq.
Marmottan. Élu à la Commune, XI, 308 ; sa démission de la Commune, 328. Maroc, V, 482 ; l’expédition de 1844, VIII, 510 ; le débat à la Chambre, 514 et sq.
Maroquiniers (Ouvriers), VIII, 236.
Maroteau. Au bagne, XI, 492 ; XI 1, 38.
Marouck (Victor), collaborateur de l’Égalité, XII, 208.
Marques de fabrique. Dans la loi du 22 germinal an XI, VI, 234.
Marquis, préfet de la Meurthe, VI, 450 ; 554.
Marrast (Armand), VIII, 240 ; son caractère, son attaque au capitalisme, 240 ; 274 ; son évasion de Sainte-Pélagie, 278 ; 374 ; son rôle en février 1848, 569 et sq ; secrétaire du Gouvernement provisoire, IX, 3 ; il en devient membre, 4 ; 7 ; 34 ; 35 ; 42 ; 48 ; 52 ; 60 ; 102 ; m ; 116 ; 150 ; 168 ; 222 ; 25g ; 290 ; X, 54 ; sa mort, 90.
17 Mars 1848 (Manifestation du), IX, 33 ; la victoire du peuple n’est qu’apparente, 33.
18 Mars 1871 (Journée du), XI, 276 et sq.
Mars (Mlle), actrice, VI, 511.
Mars-la-Tour (V.). Bataille, XI, 6.
Marsan. Ses découvertes, VIII, 522.
Marseillaise (La), journal ; sa fondation, X, 371 ; 372 ; 374 ; 375 ; 385, 286.
Marseillaise, chant révolutionnaire, II, 1263.
Marseille (V.). Sa prospérité au XVIIIe siècle, son commerce méditerranéen, I, 55 ; comment, d’après Meynier, elle implante chez elle les industries des peuples avec qui elle commerce, 56 ; son commerce avec l’Amérique, 56 ; puissance de sa bourgeoisie, 58 ; elle est soutenue dans son mouvement par la classe ouvrière, 59 ; l’élection de Mirabeau exprime cette alliance, 59 ; la prospérité continue sous la Révolution, 60 ; sa vie municipale en 1789, 414 et sq ; II, 1034 ; son adresse à l’Assemblée lue par Cambon, le 19 juin 1792, 12o5 ; l’adresse de son Conseil général lue le 12 juillet à la Législative, 1237 ; les fédérés marseillais en 1792, 1263 ; les élus à la Convention, III, 100 ; son état d’esprit en mai 1793, IV, 1279 ; passe à la Montagne, 1279, puis revient à la Gironde, 1280 ; causes de ce revirement, 1280 et sq ; c’est un fond de royalisme à demi-caché qui se soulève, après les attaques de la Gironde contre la Montagne, 1286 et sq ; prise par Couteaux, 1682 ; 1634 ; 1726 ; état du commerce en 1794, 1784 ; arrestation de Jacobins et troubles après le 9 thermidor, V, 2g ; assassinats de républicains en 1795, 98 ; massacres des républicains dans les prisons, 102 ; son organisation municipale sous la Constitution de 1795, 131 ; 296, 370 ; 557 ; VI, 200 ; sa situation économique en 1806, 265 ; 314 ; les spéculations sur les denrées coloniales, en 1808, 336 ; l’état industriel ; ses plaintes en 18i3, 530 ; 564 ; les royalistes y assassinent en 1815, VII, 82 ; manifestation de 1830, VIII, 35 ; 271 ; le banquet de 1847, 553 ; l’émeute de juin 1848, IX, 87 : ses trans- formations sous le second Empire, X, 64 ; le mouvement républicain de 1852 à 1863, 153 : une propagande icarienne sous le second Empire, 163 ; 307 ; le développement de l’Internationale, de 1868 à 1870, Cf. Bastelica ; la Commune de 1871, XI, 371 et sq ; nomme en 1874 un Conseil à tendances socialistes, XII, 152 ; le Congrès socialiste de 1878, 226 ; le collectivisme y triomphe, 227 ; les élections municipales de 1900, 291.
Marseille (section de), IV, 1331 ; 1387.
Martel, XII, 38 ; 96 ; 100 ; ministre de la justice, 199 ; 220.
Martelet. élu à la Commune, XI, 308 ; 463.
Martens, VI, 121 ; 208.
Martignac. Son ministère ; difficulté des conditions dans lesquelles il le prend, 219 ; la guerre de Grèce, 219 et sq ; luttes à soutenir contre les différents partis, 225 et sq ; les libéraux l’appuient, 228 ; la rupture avec eux, 230 ; sa chute, 231.
Martin. Son rôle au 10 août, II, 1290.
Martin, républicain sous Louis-Philippe, VIII, 268.
Martin, amiral, sa campagne dans la Méditerranée, V, 55 ; sa campagne de 1795, 122.
Martin (aîné), docteur, VIII, 145 et sq.
Martin, député, résiste au Coup d’État, X, 18.
Martin, membre de l’Internationale, X, 376.
Martin (André), charpentier, rédacteur à l’Atelier, VIII, 368.
Martin (Aristide). Condamné à la déportation, VIII, 278.
Martin-Bernard, VIII, 288 ; son rôle au 12 mai 1839, 344 et sq ; condamné à la déportation, 351 ; à Londres, X, 85 ; XI, 290.
Martin (Étienne), maire de Marseille, I, 430.
Martin (Germain), V, 244 ; 260.
Martin (Henri), VIII, 483 ; IX, 142 ; X, 115 ; adhère à l’Internationale, 295 ; son élection à Paris en 1871, XI, 264.
Martin (Nicole), babouviste, V, 326.
Martin (du Nord), procureur général du procès d’avril, VIII, 275 ; 328, 330 ; ministre de la justice dans le cabinet Guizot, 403 ; sa circulaire sur la presse en 1841, 408 ; 424 ; 427 ; 518 ; sa mort, 542.
Martin (Roger), membre des Cinq-Cents, V, 311.
Martin (de Strasbourg), VIII, 327 ; IX, 118 ; X, 99.
Martin-Saint-Léon, V, 260 ; 265 ; VI, 243 ; IX, 10 ; 283.
Martineau, rapporteur, disposé à faire élire les évêques par les curés, I, 432 ; 610.
Martinique (Ile), I, 560 et sq ; ses délégués servent bien la Gironde dans les affaires coloniales, II, 981 ; opposition des négociants et des propriétaires, 982, V, 174 ; des grévistes y sont tués par la troupe en 1900, XII, 287.
Martiniana (cardinal), VI, 76.
Marvejouls, député à la Convention, III, 111.
Marx (Karl). Son opinion sur la Commune, I, 5 ; sa philosophie de l’histoire, 7-8 ; 534 ; 591 ; son appréciation de la loi Le Chapelier est inexacte, 607-610 ; 625 ; 628 ; son interprétation de la Révolution, III ; VII ; II, 1098 ; son idée de l’histoire allemande, III, 446 ; 448 ; 457 ; son silence complet sur le régime manufacturier en Allemagne, 460 ; 514 ; 630 ; il a négligé de noter la hausse des salaires, dans son histoire du développement anglais au XVIIIe siècle, 705 : 812 ; 832 ; IV, 1458 ; V, 265 ; VI, 11 ; VII, 21 ; VIII, 62 ; 64 ; 227 ; 31g ; 543 ; ce qui différencie Marx de ses devanciers, c’est qu’il a compté sur la catastrophe finale du régime et le rôle de la force, 443 ; ses relations avec Proudhon, 470 ; 475 ; 478 ; 488 ; 526 ; 553 ; sa Misère de la Philosophie, 554 ; 562 ; IX, 3 ; 18 ; 199 ; 209 ; 214 ; 231 ; développement de sa théorie en 1848, 235 ; 339 ; 240, 242 ; 380 ; X, iii ; 6 ; son Dix-huit brumaire de Louis-Napoléon Bonaparte, 38 ; 162 ; membre du Comité d’organisation de l’Internationale, 243 ; interprète le mouvement d’organisation de la classe ouvrière, 244 et sq ; 287 ; 2gg ; 30o ; 354 ; ses idées sur l’intervention française en Italie en 1859, XI, 25 ; XII, 67 ; 79 ; 124 ; 208 ; 311.
Marxisme. Le Marxisme et l’héritage. IV, 1511.
Marxistes. Emploi du terme par opposition à possibilistes, XII, 246.
Maspéro, V, 468.
Massahuau, XII, 288 ; son ordre du jour contre les doctrines collectivistes, 296 ; question qu’il soulève dans le parti socialiste, 298.
Massard (Emile), XII, 208.
Massart, babouviste, V, 309 ; 327.
Massel, Saint-Simonien, VIII, 186.
Masséna, V, 338 et sq ; 388 ; son rôle à Rome en 1798, 401 et sq ; sa campagne de 1799, 503 et sq ; la campagne de 1800, VI, 104 et sq ; VII, 86.
Massey, babouviste, V, 309.
Massey, député à la Législative, protectionniste, II, 1O32.
Massiac (Hôtel), 1, 561 ; 564 ; la coterie coloniale qui y siège n’accepte aucune concession, 568 ; ses intrigues en Mai 1791, 573 ; II, 992.
Massiu (François), administrateur du district de Louhans, 1, 429.
Massiu (Institution). Foyer de propagande républicaine, X, 89.
Massol, républicain et maçon, X, 228.
Massou (Frédéric), V, 344 ; VI, 14 ; 167 ; 187 ; 190 ; 192 ; 195.
Masuyer. député à la Convention, IV, 1019, 1024 ; un des Soixante-treize, V, 41.
Matagriu (Amédée), IX, 192 ; 355.
Maté, menuisier, ami de Jacques Roux, IV, 1697.
Matérialisme historique. Limites de cette conception, I, 755 ; n’épuise pas la réalité de l’histoire, III, 465 et sq ; VI, M ; VIII, 220 ; développement de cette philosophie en 1848, IX, 236.
Mathé, commissaire de section, II. 1278.
Mathé. Condamné à la déportation en 1851, s’évade, X. 27.
Mathieu, commissaire de section, II, 2178.
Mathieu, député à la Convention, V, 75.
Mathieu de la Drôme. Soutient le projet de rachat des chemins de fer, IX, 94 ; 115 ; 123 ; 222 ; son rôle dans la discussion du droit au travail, 259 ; 260 ; 262 ; 263 ; 265 ; 266 ; 35g ; 260 ; 374.
Mathieu (d’Épinal). Sa propagande dans l’Est, VIII, 174.
Mathieu (Cardinal), VI, 71 et sq.
Mathieu-Bodet, ministre des Finances, XII, 150.
Mathiez (A.), V, 431, 436.
Mathis, commissaire de section, II, 1278.
Matin (Le), XII, 264.
Maubeuge (V.). Investi en 93, IV, 1684.
Maubey (Claude), notable de Louhans, I, 427.
Maubreuil (de), VII, 8, 27.
Mauchamp (V.), IV, 1647.
Mauconseil (section), II, 1252 ; 1278 ; IV, 1132 ; 1224 ; 1231 ; 1232.
Mauguin, VII, 23, 25 ; son rôle en juillet 1830, 244 et sq ; VIII, 28 ; le 5 juin 1832, 180 ; 326.
Maulde, envové français à La Haye, IV, 1078.
Maupas. Ses relations avec Louis-Napoléon président, IX, 217 ; préfet de police, 218 ; son rôle au Coup d’État, 219 et sq ; 222 ; 223 ; 224 ; X, 1et sq ; 46.
Maure, III, 320 et sq ;
Maury (Abbé), député de la droite de l’Assemblée, son éloquence, I, 367 ; il défend les biens ecclésiastiques en faisant appel aux pauvres contre les riches, 446 et sq ; 490.
Maury, V, 132.
Maussion, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.
Mauzon, tulliste, un des soixante, X, 225.
Maviel. Son rôle à Marseille en 1871, XI, 372.
Maximilien (Archiduc), empereur du Mexique, X, 25I ; sa mort, 275 et sq.
Maximum. Pourquoi les Girondins y répugneront, II, 1012 ; ce sont les troubles ruraux de 1792 qui en donnent comme la première application, 1075 ; demandé par les pétitionnaires de Seine-et-Oise, III, 319 ; un premier projet des Comités d’agriculture et de commerce, 348 ; ce projet fixe seulement le moment de la vente, 350 ; en octobre et novembre 1792, la crise n’est pas assez forte pour entraîner la Révolution à cette réglementation, mais tout y tend, 328 ; les sections de Paris demandent son établissement, IV, 1017 et sq ; l’idée de réglementer les échanges grandit après le mouvement du 25 février 93 ; manifestations diverses, 1047 et sq ; l’idée apparaît également à Lyon, 1071 ; en avril 1793, les incertitudes de la Commune subsistent encore, IV, 1239 ; c’est le département qui le propose, 1240 ; 1576 ; comment il arrêtait le discrédit de l’assignat, 1668 ; les Conventionnels cependant hésitent longtemps, 1670 ; manifestation du 4 septembre 1793, 1674 et sq ; le décret du 29 septembre 1793, la taxation générale, 1676 et sq ; comment la Convention fixa les prix, 1678 ; la résistance des propriétaires et des marchands des villes, 1776 et sq ; nouvelles mesures de la Convention, 1776 et sq ; battu en brèche, V, 33 ; son abrogation, 78 ; conséquences de cette mesure, 78 et sq.
May, délégué du Comité central à Marseille en 1871, XI, 374.
May (Joseph), communiste, VIII, 450 ; IX, 249.
Mayence (V.), III, 198 ; son activité commerciale, 461 ; son histoire sous la Révolution, 586, 590 et sq (Cf. Forster) ; pris, IV, 1634 ; le siège avec Kléber. V. 48 ; demandé par la France en 1866, XI, 32 et sq.
Mayenne (V.), VIII, 538.
Mayenne (Dép.), IV, 955.
Mayer, ancien conseiller municipal de Paris, XI, 314.
Mayer, colonel, XI, 392.
Mazoa, délégué de la bourgeoisie de Castres à la Convention, IV, 1633.
Mazu, poète ouvrier, VIII, 486.
Mazzini. Son œuvre, VIII, 223 ; expulsé de Suisse, 292 ; 559 ; IX, 146 ; 158 ; 209 ; à Londres, X, 85 ; 96 ; 110 ; 243 ; XI, 42.
Méaulle, député à la Constituante de 1848, IX, 88.
Meaux (V.). Son Tiers-État demande la réglementation du droit de pâture, — I, 196, X, 180.
Meaux (Vicomte de), XII. 96 ; 156 ; ministre de l’agriculture, 174.
Mécaniciens (ouvriers), VIII, 36o ; décimés en juin 1848, IX, 82 ; leur société générale de 1848, 276 ; X, 179 ; leurs condamnés de 1871, XI, 489.
Méchain, V, 207, 213.
Méchin, muscadin, V, 39.
Mecklembourg (Hélène de). Mariée au duc d’Orléans, VIII, 297.
Méditerranée (Dép.). Sa situation industrielle en 1811, VI, 524.
Mège (Francisque), V, 330.
Mégevand, industriel, venu du Locle à Besançon, V, 240.
Mégy. Tue l’inspecteur de police chargé de l’arrêter, X, 377 ; son incapacité militaire, XI, 426, 427.
Mégissiers, V, 308 ; VIII, 236 ; X, 206 ; leur conflit à Paris en 1869, ce qu’il coûta, 363.
Méhé de la Touche, agent provocateur dans l’affaire de Grenelle, V, 324 ; VI, 145 ; agent de Bonaparte pour compromettre Moreau, 188 ; son rôle dans l’affaire du duc d’Enghien, 191 et sq.
Méhémet-Ali, VII, 220 ; son caractère, son œuvre, « beaucoup de trompe-l’œil », VIII, 222 et sq ; l’affaire de 1840, 386 et sq.
Mehring (Franz). Sa Légende de Lessing rabaisse faussement le rôle de Frédéric II, III, 474 et sq ; 509.
Méhul. musicien, V, 204 ; 219 ; 225 ; VI, 510. Meillan, député à la Convention, V, 42.
Meilland, insurgé de 1839, VIII, 346.
Meillant (V.), V, 277 ; ses habitants frappés en 1851, X, 28.
Meillet (Léo), XI, 287 ; élu à la Commune, 308 ; 430 ; membre du Comité de salut public de la Commune, 431.
Méjia, indien, collaborateur de Juarez, X, 276.
Mélas, général autrichien. VI, 104 et sq.
Méline (Jules). Son protectionnisme et ses boutades, I, 135 : V, 551 ; X, 152 ; XI, 30o ; élu à la Commune, 308 ; sa démission de la Commune, 328 ; XII, 199 ; 240 ; 268 ; 270 ; son interpellation sur le progrès des socialistes. 289.
Mellié. Les sections de Paris, I, 750 ; II, 1369 ; III, 391 ; IV, 1233 ; 1259 : 1260.
Mellinet, proscrit en 1815, VII, 78.
Mellinet, socialiste de 1847, VIII, 555.
Melsade, condamné de mai 1839, VIII, 351.
Melun (V.). Son Tiers-État demande la réglementation du droit de pâture, I, 196 ; II, 1075.
Melun (Armand de), IX, 26 ; 75 ; 177 ; 314 ; 315 ; ses projets sur l’Assistance publique, 318.
Melville-Glover, interprète des ouvriers français à Londres, X, 208.
Mémorial de Saint-Hélène, V, 475 ; 552 ; VI, 104 ; 106 ; 369.
Ménagère (La), coopérative fondée par Varlin, X, 338.
Ménard (Louis), IX, 55 ; 56 ; 58 ; 67 ; son Prologue d’une Révolution, 82 ; 86 ; 124.
Mendès (Catulle), XI, 312.
Mendizabal, ministre espagnol, VIII, 290 et sq.
Mengaud, négociateur français en Suisse, V, 403.
Ménilmontant (Faubourg). La semaine sanglante, XI, 464 et sq.
Mennessier, membre de la Commune, IV, 1321 ; administrateur de la police de Paris, V, 19 ; babouviste, 305 ; 327 ; 332.
Mentana (V.). Bataille, X, 280.
Menuisiers, V, 241 ; VIII, 231 et sq ; leur grève de 1840, 363 ; ce qu’ils fournirent aux commissions mixtes, X, 91 ; leurs condamnés de 1871, XI, 489.
Menzikoff. Son ambassade à Constantinople, X, 78.
Menou, général, réprime l’émeute du 1er prairial, V, 95 ; son rôle le i3 vendémiaire, 139 ; son état d’esprit, 140 ; son rôle en Égypte, VI, 119 et sq.
Mercet, agent provocateur de 1834, VIII, 277.
Mercier. Caractère de son tableau de Paris, I, 122 ; il constate l’esprit frondeur des ouvriers de Paris, 143 ; son chapitre sur le luxe des grands fermiers, 181 ; 550 ; 11, 997 ; Le Nouveau Paris, V, 70 ; 104 ; 195 ; 210 ; 218 ; 226 ; 441.
Mercier, général. Sa déposition à Bennes, XII, 273 ; élu sénateur, 284 ; tente de répondre à Trarieux et Delpech, 294.
Mercier (Dr). Son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 411.
Mercier du Rocher, I, 650 ; II, 947 ; IV, 959 ; 1146 : 1159 : délégué des patriotes vendéens à la Convention, 1160 ; 1294 ; 1295.
Mercure Français (Le), V, 218.
Mercure de France (Le), VI, 467 ; primé pour un article de Chateaubriand, 482.
Mercure du Rhin (Le), VII, 50.
Merey (de), évêque de Luçon, inquiet de certains passages du bref du Pape, I, 647.
Mercy-Argentreau (Comte de). Sa correspondance, I, 352 ; il déconseille la fuite du roi, 355 ; confident du roi, 662 ; 673 ; II, 808 ; sa correspondance avec Louis XVI et Marie-Antoinette, 810 et sq ; 834 ; 913 ; 918 ; 920 ; 923 ; 924 ; III, 164 ; IV, 1191.
Merilhon, VII, 174 ; VIII, 34 ; 350 ; il a le sentiment de la lutte sociale engagée en 1839, 350.
Mérimée, VI, 512.
Merlin, juge versaillais, XI, 486 ; XII, 34 et sq.
Merlin, diacre, signe protestation de civisme, I, 636.
Merlin de Douai. Intervient sur la question des biens communaux, I, 202 ; II, 773 ; IV, 1084, 1087 ; V ; 22 ; 72 ; 139 ; 15g ; ministre de la Justice, 282, 284 ; 288 ; 292 ; 294 ; 3235411 ; élu directeur après le 18 fructidor, 423 ; 531 ; démissionnaire au 30 prairial, 532 ; proscrit en 1815, VII, 78.
Merlin de Thionville. Son intervention dans l’affaire de Saint-Domingue, II, 960 ; 992 ; 1281 ; III, 19, 41 ; 378 ; 608 ; IV, 867 ; 1729 ; V, 27 ; 172.
Merlino, député à la Convention, IV, 1272 ; se rallie à la Constitution de l’an VIII, VI, 46.
Mérode (F. de). Ami de Lamennais en 1830, VIII, 87 ; son rôle en Belgique ; les idées de Lamennais permettent la collaboration de catholiques et de libéraux pour l’indépendance, 105.
Merveilleuses. Nom des femmes élégantes sous le Directoire, V, 370.
Méry, VIII, 14.
Messageries (Ouvriers des), V, 44.
Messier. Signe protestation de civisme, I, 636.
Meslé. Membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.
Meslier (Curé). Son testament ; Voltaire n’en a pas publié les passages contre la propriété, I, 136 ; 537.
Messager (Le). VIII, 339.
Messerer. ébéniste, un des Soixante, X, 225.
Métais (Ch.), V, 196.
Métallurgie. Son développement pour les besoins militaires de la Convention, V, 238 ; 255 ; son développement sous le premier Empire, VI, 513 ; son développement de 1852 à 1870, X, 167.
Métallurgistes, VI, 542 et sq.
Metge. Accusé de conspiration contre le premier Consul, VI, 146.
Métropolitains (Evêques). Pouvoir que leur accorde la Constitution civile du Clergé, I, 527 ; la Constituante s’en méfie et promulgue le décret du 14 novembre 1790, 528.
Metternich. Sa politique à l’égard de Napoléon en 1813, VI, 424 ; l’entrevue de Dresde, 430 ; ses relations avec M. de Vitrolles, VII, 11 ; 49 ; 81 ; VIII, 40 ; 111 ; 292 ; il s’attache à brouiller la France et l’Angleterre, en 1840, 388 et sq ; ses alarmes en 1846, 332 ; 559 ; 564 ; IX, 154.
Metz (V.). Incidents militaires en 1790, 1, 557 ; IV, 1276 ; V, 557 ; VI, 20 ; VIII, 262 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 95 ; la capitulation, XI, 12.
Meudon (V.). Le combat du 3 avril 1871, XI, 360 ; 425.
Meulan (V.). Son Tiers-État demande le partage des biens communaux, I, 208.
Meunier (Victor), IX, 230 ; 233.
Meunier. Son attentat sur Louis-Philippe, VIII, 296.
Meurthe (Dép.). Ses élus à la Convention, III, 111 ; état de la propriété sous l’Empire, VI, 450.
Meuse (Dép.). Ses élus à la Convention, III, 111 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 523.
Mexico (V.), X, 251.
Mexique. Origine de l’expédition, X, 134 ; place qu’elle tient dans l’histoire du second Empire, 134 ; les créances du Mexique ; la triple action anglo-hispano- française, 135 ; l’expédition de 1862 à 1865, 251 ; la fin de l’expédition, 275 et sq.
Meyer, III, 112.
Meyer (Gaspar), plénipotentiaire hollandais. Ses relations avec les babouvistes, V, 314.
Meysenbug (Malwida de), IX, 209.
Mézières (Alfred), IX, 184.
Miaczinsky, officier polonais, III, 159.
Mialon, condamné de mai 1839, VIII, 351.
Miaoulis, amiral grec, VII, 220.
Michaud, général, V, 47.
Michel, commissaire de section, II, 1278.
Michel, passementier, III, 9.
Michel, administrateur de police, IV, 1312 ; arrêté par ordre des Douze, 1316 ; relâché, 1323.
Michel (Charles), tailleur, un des
soixante, X, 225.
Michel (G.), V, 234.
Michel (Louise), XI, 452 ; devant les juges et au bagne, 492.
Michel (de Bourges). Son début au procès des dix-neuf, VIII, 120 ; 247 : il propose la tactique du silence au procès d’avril, 275 et sq ; 327 ; 334 ; défend Laity, 334 ; IX, 137 ; 151 ; 216 ; 218 ; son rôle dans les journées du Coup d’État. X, 8 et sq ; 87.
Michelet. Son interprétation mystique de l’histoire, 1, 8 ; il s’est trompé dans son interprétation de l’histoire du Dauphiné, 96 ; il juge mal l’attitude de Mirabeau, le 16 juin 1789 dans la question de la constitution de l’Assemblée, 243 ; II, 759 ; son erreur sur l’origine de la guerre en 1792, 837 ; 1134 ; 1277 ; 1284 ; ce qu’il a su de Lange, III, 328 ; ses erreurs sur le rôle de Danton au procès du roi, IV, 922 et sq ; 961 ; 976 ; 1031 ; 1033 ; 1280 ; 1369 ; 1371 ; 1395 ; 1399 ; 1400 ; sa sévérité pour Lhuillier, 1414 ; 1563 ; 1619 ; 1740 ; V, i ; , ses appréciations erronées sur le socialisme, 7 ; 18 ; 543 ; son erreur sur le socialisme cause du bonapartisme, 551 ; VI, 193 ; s12 ; 220 ; 222 ; 300 ; 320 ; 342 ; 350 ; VIII, 348 ; son cours eu 1844, 50ô ; son livre contre les Jésuites, 516 ; 520 ; son cours est suspendu, 559 ; IX, 22 ; 27 ; 167 ; 211 ; 379 ; X, 96 ; 152 ; ses funérailles, XII, 198.
Michelot (J. E.). Membre de la Fédération des communistes en 1848, IX 235.
Michet. Juge. Député à la Convention, III, 111.
Michonis, commissaire de la Commune, le 2 septembre, III, 53.
Michot, IX, 70 ; résiste au Coup d’État, X, 18.
Miekiéwiez. Son cours est suspendu, VIII, 520.
Midhat-Pacha, XII, 200.
Midi (Région du). Son esprit en mai 1793, IV, 1275 ; l’insurrection royaliste en l’an VII, V. 536 ; VI, 263 ; état de ses classes laborieuses aux environs de 1830, VIII, 59 ; 60.
Migelly (Aspasie Carie), meutrière de Féraud, V, 92 ; 97.
Migeon, candidat officiel abandonné, X, 44.
Migneret, préfet de la Sarthe, IX, 225.
Miguet, V, 73 ; V|, 28 ; son rôle en juillet 1830, VII, 240 et sq ; VIII, 2.
Miguel (Dom), VIII, 135.
Milan (V.). Le décret de 1807, VI, 308.
Milet-Murrau, V, 217 ; 503.
Milioukow, VI, 12.
Mill (Stuart). Influencé par le Saint-Simonisme, VIII, 85.
Millau, garçon cordonnier, I, 682.
Millelot (père), imprimeur de Clamecv, X, 18.
Millelot (fils), imprimeur de Clamecy, X, 18 ; sa mort, 84.
Millerand, XII, 262 ; ministre du commerce, 271 ; sa situation comme ministre, 281 ; les grèves amènent des interpellations contre lui. 282 ; sa réponse, 282 ; le nouveau banquet de Saint-Mandé, 286 ; 287 ; comment se posait dans le parti, la question de la participation ministérielle, 297 ; la question Millerand au Congrès international en 1900, 306.
Millet, délégué des colons de Saint-Domingue à la Législative, II, 962 ; sa défense de l’esclavage, 964 et sq.
Millet, peintre, VIII, 521.
Milliard (A.), républicain, X, 151.
Milliard des défenseurs de la patrie, V, 447 et sq ; ce que devient la promesse faite, 448 ; comment la loi fut appliquée, 449 et sq.
Milliard des émigrés. Le projet du ministère Villèle ; les débats qu’il provoque à la Chambre des Pairs, VII, 199 et sq ; à la Chambre des députés, 208 et sq.
Millier, député à la Convention, IV, 1251.
Millière. Son rôle dans les réunions publiques, X, 328 ; 371 ; 374 ; 376 ; signataire de l’Affiche rouge. XI, 256, 287 ; 390 ; 415 ; sa mort, 465 ; 472.
Millière (du XVIIIe), XI, 451.
Mincey, commissaire de section, II, 1278.
Mines. Au XVIIIe siècle, décrites dans le discours de Mirabeau du 21 mars 1791, I, 67 ; iv ; leur développement en Angleterre au XVIIIe siècle, III. 687 et sq législation minière sous la Constituante, IV, 1566 ; leur exploitation de 1794 à 1800, V, 252 ; projets sur les concessions en 1848. IX, 364 ; X, 167 ; progression de salaires sous le second Empire, 176.
Mineurs (Cf. Anzin. Loire, etc.), VI, 559 ; VIII, 226 ; X, 192 ; 350 ; 363.
Minimum de salaire. Semblait moins révolutionnaire au XVIIIe siècle, que le droit de coalition. III, 696 ; la Convention songe à un projet de loi dans ce sens. IV. 1670 et sq ; une proposition en 1848, IX, 304.
Ministères. Leur composition sous le Directoire, V, 282.
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DU COMMERCE ET DE L’INDUSTRIE. Sa création en janvier 1812, VI, 531 et sq.
MINISTÈRE DU TRAVAIL. L ’idée à la commission du Luxembourg, IX, 273.
MINISTÈRE (GRAND). Cf. Gambetta.
Ministres. Comment en 1792, la nomination de ministres patriotes les amène forcément à étendre leurs responsabilités, 951.
Miollis. Son rôle à Rome, VI, 374.
Miot (Jules), IX, 137 ; arrêté le 2 décembre 1851 ; déporté en 1851, 27 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; 330 ; 428 ; 430 ; 446.
Miot de Mélito, VI, 156 ; 458.
Miot (Jacques). Mémoires, V, 478.
Mirabeau (le père). Ses Éléments de Philosophie rurale, I, 180 ; ses idées sur le fermage, 181.
Mirabeau. Son mot sur « les avances d’idées » de la Révolution, I, 37 : appuyé des riches et du peuple à Marseille, 59 ; son élection, 60 ; explication de son mot sur Paris « qui ne sera jamais une ville de commerce », 112 ; sa diatribe contre Paris qui « a créé la dette » et vit « d’opérations financières » est injuste, 127 ; il note que le peuple ne veut pas demeurer dans les ateliers, 132 ; élu par le Tiers-État, quoique noble, en 1789, 154 : il s’oppose à ce que le Tiers État se constitue provisoirement en ordre distinct, 235 ; il l’anime à la résistance, 236 ; il veut diviser les privilèges et fait décider l’envoi d’une députation au clergé, 238 ; dénonce la manœuvre de Necker sur la question du vote, 240 ; il s’effraie de l’initiative de Siéyès, 242 ; son apostrophe du 23 juin 1789 à M. de Dreux-Brézé, 252 ; il souffre de la séance du 23 juin, songe toujours à faire faire du roi le chef de la Révolution, 255 ; ce fut toujours sa grande espérance, 255 ; son idée de la révolution humaine, 255 ; il dénonce le 8 juillet 1789 le rassemblement des troupes comme cause de l’agitation, et donne aux soldats le signal de l’indiscipline pour la liberté, 258 ; il montre l’impossibilité du rachat des dîmes, 298 ; il veut renvoyer la déclaration des Droits après le vote des articles constitutionnels, 30i ; les partisans du duc d’Orléans se servent de sa popularité, 316 ; partisan du veto absolu, gêné par le mouvement de Paris, 324 ; il cherche le 5 octobre 1789 à éviter le choc entre la Révolution et le roi, 344 ; histoire de sa vie. son caractère, 359 ; sa conception de la démocratie et de la royauté, 359-362 ; ses relations avec la cour ; il veut entraîner la royauté dans la voie révolutionnaire, 363 ; ce qui serait arrivé, s’il avait réussi, 364 ; mais la mensualité qu’il recevait de la cour l’abaissait, 366 ; son plan d’ailleurs était chimérique, 367 ; il emporte pour la royauté le droit de guerre, 376 ; .ses interventions dans les affaires de Marseille, 415 ; 426 ; il combat les plans financiers de Necker, 436 ; dans la question des biens ecclésiastiques, il affirme la toute puissance de la loi, 433, et le pouvoir sans limites de la Constituante, 454 ; puis il tente de voiler la portée de l’acte, 455 ; son discours capital sur l’assignat-monnaie, 470 ; il défend la Constitution civile ; 542 ; sa déception le jour de la Fédération 555 ; hostilités contre lui au début de 1791, 556 ; son attitude dans les incidents militaires de Nancy, 559 ; il veut l’abolition de l’esclavage, 563 ; 567 ; il défend la petite industrie contre la grande, 626 ; il insiste près du roi pour qu’il adopte son plan, 660 ; jugé par Fersen, 664 ; sa mort, le 2 avril 1791, 679 ; impression qu’elle produit sur le peuple, 679 ; qu’aurait-il fait s’il n’était pas mort ? 682 ; rien certainement : la fuite de Varenne l’avait frappé d’un coup formidable, 683 ; grandeur intellectuelle de sa mort, 684 ; 752 ; jugé par Hébert, II, 1052 ; III, 467 ; IV, 1504 ; IX, 263.
Miramon, conservateur mexicain, X, 134 ; 276.
Mirande (V.). Comment il accueille le Coup d’État de 1851, X, 18.
Mirman, député, XII, 301.
Mirecourt (Eugène de), VIII, 463, 513.
Mirecourt (V.). La noblesse demande le maintien des communaux dont elle touche 1/3 des revenus, I, 209.
Mirés, financier, X, 47.
Miribel (Général de). Chef d’état-major, XII, 240.
Missions à l’intérieur. Sous la Restauration, VII, 135.
Missolonghi (V.). Le siège, VII, 220.
Mitchell (Robert), journaliste, XI, 210.
Mittié, jacobin, IV, 1426.
Mocquard, conseiller de Napoléon III, X, I38.
Mode (La), journal, VIII, 284.
Modène (duché de). Ses relations avec la France en 1796, V, 330 ; son insurrection gêne Laflitte, VIII, 99 ; l’insurrection, de 1830, 106.
Mœser (Karl Friedrich von), III, 551.
Mœser (Justus). Note l’impuissance allemande en 1789, due à l’absence d’un Tiers-État, III, 448 et sq ; sa fierté allemande, 450 ; ses Imaginations patriotiques, 452 ; ses études sur le développement des manufactures, 453 et sq ; son idée de transformation du servage, 489 ; mais il critiquait les droits de l’homme et leur opposait le droit exclusif de propriété territoriale, 494.
Mohilev (V.). Bataille, VI, 392.
Moilin (Tony). Sa mort, XI, 472.
Molé (Comte), VII, 121 ; il se retire du ministère, VIII, 32 ; sa phrase sur la République, 262 ; président du conseil, 291 ; 297 ; il reste au ministère malgré l’échec de la loi de disjonction, 297 ; il dissout la chambre, 302 ; 303 ; sa lutte contre la coalition, 339 ; 340 ; il dissout la chambre, 340 ; sa démission, 341 ; 511 ; 514 ; IX, 56, 126, 127, 128, 142, 144, 187. 190, 196 ; son jugement sur l’opinion publique du second empire, X, 73.
Moleschott. Savant, X, 288.
Molières (Gilbert des). Élu le 5 août 1789, représentant de la Commune de Paris, I, 311.
Molinari (de), économiste et publiciste, IX, 256 ; 30t ; X, 315 ; 327 ; 328 ; 329 ; XI, 262.
Moline de Saint-Yon, ministre de la guerre, VIII, 542.
Molinet (de), membre des Gourdins réunis, XI, 295.
Molitor, général ; la campagne de 1823, VII, 191.
Mollevaut, député à la Convention, membre de la commission des douze, IV, 1310 ; 1316 ; V, 42.
Molleville (Bertrand de), I, 690 ; ministre de la marine, II, 835 ; sa fourberie, 836.
Mollien. Elu à l’assemblée des représentants de la Commune de Paris, le 31 août 1789, I, 311.
Mollin, membre de la deuxième commission de l’Internationale, X, 319.
Moltke (de), XI, 2 et sq ; 4 ; ses plans dans l’éventualité d’une guerre contre la France et l’Autriche, 156 ; 223.
Momoro. II, 1262 ; sa propagande en Normandie en 1792 ; la loi agraire, III, 134 et sq ; dans une brochure de I793, il atténue la loi agraire en taxation, 326 et sq ; 39 1, 392 ; commissaire en Vendée, IV, 1294 ; i6o3 ; 1756 ; arrêté le 13 mars 1794, 1763 ; 1764 ; sa mort, 1766.
Momoro (Citoyenne), déesse raison, IV, 1709.
Monaco (V.), IV, 972.
Moncey, général ; sa campagne sur la Bidassoa, V, 54 ; son rôle à Paris en 1814, VII, 1 ; 19 ; 86 ; campagne de 1823, 191.
Monde [Le), journal, X, 142.
Moneux, commissaire de la Commune, le 2 septembre, III, 53.
Monge, nommé ministre le 10 août, II, 1299 ; V, 201 ; son cours de géométrie descriptive, 214 ; 399 ; 402 ; il part en Égypte, V, 464 ; nommé sénateur, VI, 51 ; 295 ; ses travaux scientifiques, 300 ; 512.
Monier (Ch.), socialiste délégué à Bâle, X, 354.
Moniteur (Le) I, 11 ; IV, 1240, 1247 ; 125 : ; 1316 ; 1330 ; 1596 ; 1600 ; 1758 ; 1792 ; V, 83 ; 103 ; 199 ; 200 ; 206 ; 209 ; 211 ; 212 ; 228 ; 232 ; 233 ; 240 ; 245 ; 246 ; 250 ; 251 ; 259 ; 262 ; 265 ; 270 ; 284 ; 209 ; 333 ; 361 ; 362 ; 305 ; 367 ; 372 ; 382 ; 396 ; 404 ; 419 ; 432 ; 451 ; 478 ; 489 ; 490 ; 497 ; 502 ; 521 ; 527 ; 558 ; 561 ; 572 ; VI, 17 ; 20 ; 24 ; 26 ; 30 ; 55 ; 177 ; 178 ; 102 ; 196 ; 412 ; 466 ; VII, 27 ; 28 ; 169 ; VIII, 24 ; 28 ; 160 ; 396 ; X, 16 ; 40 ; 46 ; 47 ; 66 ; 74 ; 114 ; 144.
Moniteur (Le petit), XI, 474.
Moniteur universel (Le), IV, 952.
Moniteur universel (Le). Réclame du sang, XI, 470 ; 478 ; XIII, 209.
Moniteur républicain (Le), VIII, 343 ; 350.
Monmayou, membre des Cinq-Cents, V, 191.
Monnaies (Cf. Assignats). Mesures de la Convention sur la monnaie d’or et d’argent en 1795, V, 81 ; 152 ; sous le premier Empire, 295.
Monod (Gabriel), III, 328 ; V, 23.
Monroë, ambassadeur des États-Unis à Paris, V, 407.
Mons (V.), III, 191.
Monsigny, musicien, VI, 510.
Monstant. Député à la Convention, IV, 1276.
Montagnards. Leur rôle à la législative avant les massacres de septembre, 111, 24 et sq ; leur jeu contre la Gironde dans le procès du roi, IV, 870 ; Cf. Jacobins ; ils acceptent les missions aux armées et dans les départements, 1138 ; ils avaient aussi leurs erreurs mais voyaient les périls présents, 1167 ; ils soutiennent Danton contre l’assaut de la Gironde à propos de Dumouriez, 1183 ; soulevés unanimement par Danton contre les Girondins, 1187 ; la lutte à outrance, 1188 ; ils s’emparent de la Révolution, 1189 ; le 27 mai, ils prolongent la séance et reçoivent le peuple à la Convention, 1352 ; ils nouent avec lui le pacte d’insurrection, 1353 ; mais c’est encore à l’intérieur de la Convention que, le28, ils voudraient résoudre la crise, 1356 : résolus à aboutir le 31 mai, 1402 ; leur situation difficile, 1403 ; comparés aux Girondins, 1448 et sq ; leur tâche précise est de sauver la Révolution par la concentration des forces nationales, 1582 ; au point de vue des idées leur triomphe marquerait plutôt un fléchissement, 1583 ; Robespierre les anime d’un esprit nettement gouvernemental, 1627 ; leur indécision lors du mouvement de prairial, V, 91 ; leur rôle pendant la journée, 92 et sq.
Montagnards (Société des). Société républicaine du Sud-Est en 1851, X, 19.
Montagne (section de la), IV, 1331.
Montagut. Son témoignage sur le 31 octobre, XI, 259.
Montaignac (de), ministre de la marine, XII, 174.
Montalembert. Ami de Lamennais en 1830, VIII, 87 ; traduit devant les Pairs, pour son école non autorisée, 89 ; son nouveau programme, 89 ; 336 ; 339 ; son intervention pour la protection des enfants, 356 ; 412 ; 500 ; son comité pour la liberté religieuse, 501 ; sa protestation contre le projet Villemain, 503 ; son contre-projet exprime les prétentions catholiques à la domination, 503 ; 515 ; 534 ; son opposition au projet Salvandy, 559 ; son état d’esprit en 1848, IX, 27 ; le maintien du budget des cultes, 28 ; comment il mène la campagne électorale de 1848, 44 ; 49 ; 68 ; 73 ; 76 ; son discours contre l’enseignement public et laïque, 106 ; 119 ; 122 ; 123 : 127 ; 130 ; son action à la rue de Poitiers, 136 ; 144 ; son discours sur la liberté ; il soutient la loi de répression du 27 juillet 1849, 153 ; 155 ; 156 ; 164 ; ses argumentations contre l’enseignement officiel, 171 ; 193 ; l’expédition de Rome à l’intérieur, 197 ; il combat le projet de rachat des chemins de fer, 360 ; 380 ; 383, X, 34 ; son rôle au Corps législatif de 1852, 40 ; 42 ; son opposition à l’empire, 52 ; sa politique extérieure, 76 ; il échoue aux élections de 1863, 159.
Montalivet, (comte de). Ministre de l’Intérieur, VI, 566. 574, conservateur, ministre avec Laffite, VIII, 32, 33 ; il laissa à dessein se dérouler l’émeute du 14 février 1831, 100 ; ministre de l’Instruction publique dans le cabinet Périer, 119 ; 179 ; 566.
Montargis (V.). Comment il accueille le coup d’État ae 1851, X, 18.
Montauban (V.). Mouvements fanatiques, I, 540 ; 540 ; les élections à la Convention, III, 92 ; IV, 1274 ; adresse de tendance socialiste de la Société populaire, 1706.
Montaut (Barrai de), complice de Thiers, XI, 443.
Mont-Blanc (Section du), IV, 1044, 1046.
Montceau-les-Mines (V ). Les grèves de 1882-83. XII, 241.
Montcenis (Cf. Le Creusot).
Montchenu (de). Commissaire français à Sainte-Hélène, Vil, 65.
Montdidier (V.). V, 12 et sq.
Montchello. Ministre de la Marine en 1847, VIII, 542.
Montereau (V.), IV, 1802.
Montesquieu. Son influence sur les Constituants, 1, 231 ; sa prudence dans l’ordre religieux, 535 ; IX, 257.
Montesquiou (Marquis de). Son avis sur les assignats. II, 1019 ; 1020 ; général, 1250 ; III, 194 ; 655.
Montesquiou (Duc et abbé de). Son discours à l’Assemblée nationale, le 11 août 1789, pour défendre les dîmes ; habilement il attaque la propriété individuelle de la noblesse et de la bourgeoisie pour défendre la propriété corporative de l’Église, I, 294 ; comment un communiste aurait profité de ce discours, 295 ; VII, 18 ; 26.
Montesquiou (Mme de), VI, 465.
Montfalcon (de), VIII, 145.
Montgolfier, VI, 295 ; 512.
Montier (A ). Robert Lindet, III, 95 ; V, 84 ; 85 ; 574 ; VI, 22.
Montier (du), II, 834.
Moutigny, entrepreneur parisien en 1791, I, 613.
Montijo (Eugénie de). Cf. Napoléon III. Se marie à Napoléon III, X, 74 ; s’oppose, puis consent à l’intervention en Italie, 114 ; elle veut que l’armée de Châlons s’éloigne de Paris, XI, 9 ; sa responsabilité dans la déclaration de guerre, XI, 204 et sq.
Montlosier (M. de.). Demande que la noblesse se constitue en ordre distinct, I 235 ; député de la droite ; proteste contre la distinction des actifs et des passifs, 382 ; son Mémoire à consulter contre les Jésuites, VII, 214 ; sa mort ; l’église lui refuse les obsèques religieuses, VIII, 335.
Montluçon. (V.). La propagande républicaine sous l’Empire, X, 95.
Montmartre. Les ateliers I, 480 ; V, 403 ; les canons, XI, 274 ; le comité spécial de la rue des Rosiers, 275 ; (Cf. Clemenceau ; 18 mars) pris au début de la semaine sanglante, 451 et sq.
Montmartre (Section du Faubourg). IV, 1331.
Montmirail (V). III, 322 ; bataille, VI, 586.
Montmorency (Cardinal de) I, 686.
Montmorency (Mathieu de). VII, 168 ; 186 ; délégué au Congrès de Vienne, 187 et sq.
Montmorin. Ministre modéré renvoyé avec Necker, 1, 259 ; 658 ; ministre des affaires étrangères, II, 831 ; son incapacité entre les intrigues de la cour et la Législative, 832 ; sa retraite, 832.
Montpellier (V.). V, 203 ; VI, 564 ; exécutions en 1815, VII, 113 ; IX, 139.
Montpensier (duc de). Frère de Louis-Philippe, V, 102.
Montpensier (duc de). Fils de Louis-Philippe ; la question de son mariage en Espagne, VIII, 526 et sq ; 548 ; XI, 161.
Montretout (V.). Bataille, XI, 262 ;
425 ; 444.
Montreuil (Section de), V, 86 ; au 1er prairial, 94.
Montreuil (V.), IV, 1387 ; X, 295.
Montreuil (de), député catholique en 1848, IX, 72 ; 89.
Montrouge (V.), IV, 1387 ; XI, 425.
Mont Valérien, XI, 354 ; tire sur les fédérés, le 3 avril 1871, 359.
Monts de piété. Leur réorganisation sous le Directoire. V, 162 ; la loi du 24 juin 1851 les réorganise, IX, 316 ; X, 35 ; 66 ; les dispositions de la Commune, XI, 345 ; le décret du 6 mai ; il est trop tardif, 420.
Mouysset, député modéré, II, 943.
Moraucez (V.). Proteste contre la concentration capitaliste du fermage, 1, 216 ; fait entendre des réclamations contre les villes et leurs habitants, 222.
Morand. Son rôle au 18 brumaire, V, 580.
Morbihan (Dép.), IV, 955 ; V, 541 ; la campagne de Brune en 1800, VI, 138.
Moreau, ouvrier serrurier, VIII, 228.
Moreau (Ainé), peintre, V, 223 ; VI, 503.
Moreau (Jeune), graveur, V, 223.
Moreau, juge à la Haute-Cour de Vendôme, V, ? 23.
Moreau (général), V, 46 ; 338 et sq ; sa campagne en Allemagne en 1797, 390 ; ses relations avec Pichegru, 424 ; sa campagne de 1799, 503 et sq ; la campagne de 1800, VI, 104 et sq ; la bataille d’Hohenlinden, 112 ; son opposition à Bonaparte, 162 et sq ; comment il ne fut pas inquiété, 166 ; son arrestation en février 1804, 187 ; raison de la haine de Bonaparte contre lui, 188 ; son procès, 193 ; sa condamnation 194 ; il sert contre Napoléon en 1813, VI, 433.
Moreau. Son rôle dans les réunions publiques, X, 328 ; membre du comité central, XI, 287 ; sa mort, 473.
Moreau (Hégésippe), VIII, 278.
Moreau de Saint-Méry. Élu représentant de la Commune de Paris, le 1er août 1789, I, 310 ; veut faire consacrer l’esclavage, 571.
Moreaux (René), général, V, 46, 47, 48.
Morée. L’expédition de 1828, VII, 212.
Morel (Benjamin), député, VIII, 23.
Morel, ajusteur, un des Soixante, X, 225.
Morel (Nicolas), Babouviste, V, 305, 327.
Morellet, III, 690.
Morelly. Son Code de la Nature. esquisse un communisme vivant et hardi, I, i36 ; IV, 1532 ; inspirateur de Babeuf, V. 22 ; précurseur ignoré de Fourier, VIII, 306.
Morès, antisémite, I, 447.
Moret (Chevalier de). Pressent la dualité du Tiers-État, I, 136.
Morey, complice de Fieschi, VIII, 279.
Morhéry, ami de Blanqui, VIII, 34.
Morin. Pose la question du droit de grève à la Constituante de 1848, IX, 288 ; 289 ; 360.
Morin (Frédéric), X, 48 ; 89 ; 102 ; 151 ; candidat en 1864, 278.
Morny (duc de). VIII, 567, conseiller de Louis-Napoléon, IX, 217 ; son rôle au coup d’État, 219 et sq ; 223 ; 224 ; 225 ; sa démission en janvier 1852, X, 34 ; ses circulaires sur les élections de 1852, 39 ; son rôle comme président du corps législatif, 42 ; il continue la politique industrielle de Guizot, 54 ; ses origines, 54 ; la loi de sûreté générale, 111 ; 118 ; la créance Jecker, 134 ; ses manœuvres pour dissocier les Cinq, 147 ; 150.
Morogues (baron de). VIII, 56, 58, 68 et sq ; 356.
Moroy. Babouviste, V. 305 ; 327 ; 329 ; 332.
Morris (Gouverneur) II, 996 ; IV, 927 ; 930 ; 954 ; 998 ; sa conception de la démocratie, 1011 ; ses jugements sur la politique de Danton, 1736.
Morris. Ministre de la Justice, XII, 271.
Mort-civile. V, 160.
Mortemart (duc de). Nommé ministre par Charles X en 1830, VII, 250 ; VIII, 6.
Mortier. Élu à la Commune, XI, 308 ; 335 ; 463.
Mortier. général. La campagne de France, VI, 585 et sq ; son rôle à Paris en 1814, VII, 1 et sq ; en 1815, 70 ; 86 ; président du Conseil, il se retire au bout de quatre mois, VIII, 273.
Mortimer-Terneaux, II. 12O5 ; IV, 1132 ; 1176 et sq ; 1255 ; 1371 ; 1386.
Morus (Thomas), III, 674.
Moscou (V.). Son évacuation et son occupation par Napoléon, VI, 395 et sq ; l’incendie, 396.
Moselle (Dép ). État de la propriété ; son morcellement en 1807, VI. 451 ; les conditions des travaux et de la vie en 1801, 558.
Moskowa (Rivière). Bataille, VI, 395.
Mosneron. député à la Législative, défend la municipalité de Paris, II. 1060.
Most, socialiste allemand, XII, 208.
Mots. Les idées de Talleyrand sur les mots et leur sens ; comment s’y reflètent encore les tendances générales de la Constituante, II, 1127 et sq.
Mot d’Ordre (Le), journal de 1871, XI,
270.
Motte. Son interpellation contre M. Millerand, XII, 283.
Mottu (Jules), X, 234 ; maire, son rôle dans les négociations entre Paris et Versailles, XI, 287 ; son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, 410 et sq ; élu conseiller municipal de Paris en juillet 1871, XII, 17.
Moulin, général, exclu des Conseils par la loi du 22 floréal, V, 438 ; élu directeur le 30 prairial, 532 ; son rôle au 18 brumaire, 570 et sq.
Moulin, député à la Convention, III, 111.
Moulinet-Duplex, membre de la Commune, III, 435.
Moulin-Saquet. (V ). XI, 433.
Mouly (Mgr.). Evêque lazariste, X, 132.
Mounet (Denis), maître ouvrier arrêté à Lyon et détenu plusieurs mois comme instigateur du mouvement de 1786, I, 91 ; élu en 1789 par l’assemblée primaire de la soierie, dans les élections pour les états généraux, 95.
Mounier. Veut l’intervention individuelle des membres du Tiers État auprès des nobles, pour une entente, I, 235 ; propose un titre au Tiers État qui veut se constituer en Assemblée, 244 ; propose le serment du Jeu de Paume, 246 ; s’oppose à ce qu’on reçoive la première délégation du peuple, 256 ; proteste à l’assemblée contre le renvoi de Necker ; conquis par l’accueil de Paris, 269 ; il dépose au nom du Comité de Constitution, un projet très conservateur, 308 ; son rôle comme président de l’Assemblée, le 5 octobre 1789, 344 et sq ; sa retraite après le 6 octobre ; sa vanité blessée ; sa rancune contre Mirabeau, 370 ; il demande que l’éligible ait une propriété foncière, 379.
Mouraille, maire de Marseille, IV, 1279 et sq.
Moustier (de), ministre des Affaires étrangères, X, 274 et sq.
Mouton-Duvernet. Renvoyé devant un conseil de guerre, VII, 78 ; exécuté sous la Restauration, 112.
Moynier. juré de la Haute-Cour de Vendôme, V, 327 ; favorable aux accusés, 331.
Mucius Scævola (Section), V, 27.
Muguet de Nanthou. S’élève contre la réponse du roi à la Déclaration des droits, I, 342.
Muiron (Just). Disciple de Fourier, VIII, 320, 321 ; 447 ; 466 ; IX, 230.
Mulâtres, I, 560 et sq ; leur condition ; les colons ne veulent pas qu’on leur accorde le droit de citoyen, 56o et sq ; sacrifiés le 12 octobre 1790 par la Constituante, 568 ; II, 958 et sq. Mulard, chef des travaux publics, I, 584.
Mulhouse (V.). Réunie à la France, V, 406 ; VI, 287 ; les conditions du travail en 1830, VIII, 63 et sq ; 65 ; 70 ; efforts philanthropiques de quelques patrons, 75 ; la République de 1848, IX, 15 ; le rôle de la société industrielle en matière de retraite, 310 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, 328 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 92, 95.
Müller, général, V, 54.
Müller (Jean de), correspondant de Forster, III, 585.
Mulotins, frères quêteurs, I, 650.
Mun (de), VIII, 89 ; XI, 474 ; défend son élection en 1876. XII, 196 ; invalidé et réélu, 196 ; 198 ; il demande des mesures contre l’anticléricalisme, 200 ; sa propagande de catholicisme social, 233.
Munichal, commissaire de section, II, 1277.
Municipalités. Leur constitution en 1789, I, 406 et sq ; leurs conflits avec les directoires départementaux, 412 ; comment elles profitent de l’achat des biens nationaux pour commencer l’abolition complète des droits féodaux, II, 766 ; pourquoi la Révolution avait développé la vie municipale, 1233 et sq ; dans la Constitution de 1793, IV, 1584 ; leur composition sous la constitution de 1795, V, 131, 132 ; comment peu à peu elles sont délaissées par les patriotes, 524 et sq ; leur réorganisation sous la monarchie de juillet, VIII, 98 ; dans la Constitution de 1848, IX, 107 ; intensité de leur vie sous le second Empire ; X, III ; la loi de 1871 est née de préoccupations conservatrices, XII, 17 ; projet de loi de 1873, 129 ; le projet de loi est réformé dans un sens républicain, 144 ; la fête du 22 septembre 1900, 305.
Murat, (Général). Son rôle en Syrie, V, 473 ; son rôle au 18 brumaire, 580 ; son rôle en Espagne en 1808, VI, 348 ; 410 ; VII, 42 ; 49 ; 50 ; sa mort, 88.
Murat, (Lucien). IX, 150.
Murat, mécanicien, X, 212 ; . le premier procès de l’Internationale, 316 ; sa défense, 318 ; 320 ; son rôle dans les réunions publiques, 328 ; 330 ; délégué à Bruxelles, 334, 335 ; 340 ; 352 ; délégué à Bâle, 353 ; 354 ; le troisième procès de l’Internationale, 390 ; XI, 287 ; élu à la Commune, 308.
Murat (père), tisseur, un des Soixante, X, 223.
Muret (P.), V, 377, 38o, 382, 392, 489 ; 497.
Muret (Th.). Sa brochure : La Visite aux Ouvriers, IX, 132.
Muscadins. Jeunesse dorée, V, 38 ;
leurs luttes contre les Jacobins, 39 ; 71.
Musée des Familles (Le), VIII, 284.
Musées. Leur organisation de 1794 à 1800, V, 211 ; leur enrichissement par les guerres sous l’Empire, VI, 500.
MUSÉE DU LOUVRE. Par quels procédés on l’enrichit sous le Directoire, V, an.
MUSÉE D’ARTILLERIE. V, 212.
Muséum. Son organisation de 1793 à 1795, V, 206.
Muséum (Section du). IV, 1318 ; 1331 ; 1395 ; sa pétition après le 9 thermidor, section de Babeuf, V, 25 ; 30.
Musique. De 1794 à 1800, V, 224 et sq.
Musset (Alfred de). VIII, 83 ; histoire de sa réponse à Becker ; 400 ; IX, 25 ; 226.
Mutualisme. Premières conceptions dès 1792, II, 1116 ; Société du devoir mutuel, organisation des chefs d’atelier lyonnais, VIII, 264 et 19 ; son journal, son esprit, 265 ; son rôle en 1834, 267 et sq.
Mutuellistes. Leur lutte contre les collectivistes au Congrès de Bâle, X, 353 et sq.