Journal (Eugène Delacroix)/10 août 1856
10 août. — Je passe la journée au Val. Je cause dans la bibliothèque avec Fould[1]. Mme Fould me parle de sa maladie.
Promenade avec elle et Romilly dans la forêt et en voiture. Il fait toujours une chaleur affreuse depuis plus de quinze jours.
Lagnier vient dîner, il est inconsolable de vieillir. Le jeune Achille Fould[2] vient aussi et s’en retourne avec nous.