L’Anti-Justine ou les délices de l’Amour (1864)/32

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Vital Puissant ? (p. 20-26).

CHAPITRE XXXII.

Du conin goûté.

« Voilà quel aurait été votre sort, madame, dis-je à Conquette, si vous n’étiez décédée et que vous fussiez l’épouse de Vitnègre. » Expressions qui étonnèrent tout le monde, hors ma fille et les Brideconin.

Cette lettre, qui avait été lue après le champagne, avait mis les jeunes gens en rut. On descendit au magasin pendant que les autres serraient les débris du souper. Là, Trait-d’Amour, demi-grisé, me dit, en me désignant ses camarades : « Comment ces bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur et de ce qu’est le conin de votre maîtresse s’ils n’en tâtent pas ? Je n’entends nullement qu’ils y déchargent, mais seulement qu’ils y plongent rapidement leurs vits pour en sentir le satiné. Dès qu’un enconneur sera retiré, le mieux en état de nous deux, vous ou moi, achèvera madame et la fera décharger. — Je le veux bien », répondis-je. Cordaboyau, bandant raide, se présenta. Nous renversâmes ma fille sur le foutoir, nous la troussâmes et nous déclarâmes que nous nous tenions prêts à le désarçonner dès qu’il aurait senti le velouté de l’étroit conin de notre fouterie et que le clignottement de ses yeux annoncerait l’éruption du foutre. « En ce cas, s’écria le bougre, qu’une de ces trois garces se couche là, le con pommadé, pour que mon vit convulsif s’y précipite et décharge. » On pommada Rose-Mauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette, dont le con satiné le fit se récrier, mais il plongea jusqu’au fond. On l’observait… il clignotta de l’œil ; aussitôt Brisemotte et Trait-d’Amour l’enlevèrent comme une plume en jurant : « Le sacré bougre ! il va partir ! » et ils le mirent sur la brune Rose-Mauve bien écartée, et Connette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des garces, si madame Vitnègre ne l’eût surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervalles ; Cordaboyau déchargea en hurlant de volupté ; Rose-Mauve l’étreignit avec une délicieuse fureur.

Cependant, ce que je voyais m’avait raidi, et j’enfonçai dans le con humide de ma fille, qui, suffisamment limée, déchargea deux fois avant que je l’humectasse de mon foutre paternel. Elle gigottait, criottait, soupirottait. « Ah ! s’écria Trait-d’Amour, vous êtes l’âme de son con, cher maître ! il se fond en jus d’amour quand vous le perforez ; voyez comme elle en donne, l’aimable enfant ! Fous, divine garce, décharge ! » Ce fut ensuite le tour de Brisemotte ; Conquette, pommadée, fut étendue sur le foutoir ; il enconna ma fille. La grosseur du vit et sa raideur lui arrachaient de sourds gémissements ; elle travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait plus de trois pouces pour toucher au fond. Tout à coup nous nous apercevons que le perfide Brisemotte veut inonder d’un torrent de sperme le conin qu’il martyrise ; nous ne pouvions l’enlever et l’arracher ; son vit lapait comme celui d’un gros dogue dans la vulve enflammée d’une grande levrette. En ce péril, nous implorâmes, Trait-d’Amour et moi, la pudeur de Conquette. L’adorable fouteuse, fidèle à nos vits, donna un coup de cul en arrière et se déconna. Trait-d’Amour plongea rapidement son bracquemard en furie dans le con béant. Brisemotte, enragé, se jeta sur Rose-Mauve, qui ne s’y attendait pas, et la foutit en levrette avec tant de brutalité qu’il la fit crier, autant de douleur que de plaisir. En voyant Connette se lever : « Reste là, garce ! s’écria-t-il ; je suis dans une telle rage pour ce con velouté que fout Trait-d’Amour, que j’enconnerais la rue Maubuée et celle de la Tannerie ! » En effet, Rose-Mauve déconnée, il foutit Connette, la fit crier, enfila Minonne sans intervalle, et reprit : « Rose-Mauve, que n’ai-je là notre putain d’hôtesse ! La garce boîte avec grâce, elle a de blancs tétons, qu’on me l’appelle ! » Nous lui préparions Rose-Mauve, qu’il encula. Pendant ce temps-là, Trait-d’Amour se débattait sur madame Vitnègre, qui se plaignottait tendrement et déchargeait sans cesse parce que son enconneur ne la déconnait pas. « Que la bougresse qui est libre, dit-il chatouille les tétons de ma déesse : ça la fera me secouer. — Alors ! m’écriai-je, que Minonne lui chatouille le haut de la motte, la douce main de Connette les couilles du cruel pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds délicats de la belle enconnée. » Ce qui s’exécuta. De violents soubresauts, des cris, des exclamations de volupté : « Foutre divin ! divin con !… vit divin !… » marquèrent l’égarement des deux conœuvrants.

Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de Conquette Ingénue, et allait y mettre son vit : « Laisse donc, lui dit Rose-Mauve, tout enculée qu’elle était, cela est insensible ; mon con est libre, que ne le fous-tu ?… » Le bougre lui mit le ventre en l’air, et pendant que Brisemotte la saccadait en cul, Cordaboyau la saccadait en con.

Je bandais si fort en entendant et voyant tout cela, que j’allais enconner Minonne ou Connette ; ma fille, qui déchargeait, me dit tendrement : « Un autre con… que le mien… peut-il vous tenter ? » Cette tendresse vraiment filiale me toucha au cœur : « Ôte-toi, dis-je à Trait-d’Amour, tu dois avoir déchargé : » Il déconna, et moi, ému d’un amour paternel sans bornes, j’enconnai ma fille sans laver. « Mêlons nos trois foutres, lui disais-je en enfonçant, que ton con filial engouffre le vit paternel avec délices ! Remue du cul, adorable enfant, rends-moi tout le foutre que j’ai déchargé dans le con de ta mère pour te faire. Ah ! comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je l’engrossai de toi ! Elle était chaussée, parée, un peu chiffonnée et si chaude, qu’elle se mit sur moi et s’enconna pour m’exciter davantage. Elle me disait, en saccadant : « Pousse… enfonce… mon con est préparé, je viens d’être foutue par ce beau commis aux aides dont tu es si jaloux. » Et elle saccadait… Pour moi, je foutis avec fureur comme je te fous à présent ; c’est moi qui t’ai engendrée en fouterie dans son con satiné… quoique tu ressembles à Louis XV, qui, dit-on, l’avait foutue… — Mon cher père, ô vit ! ô vit divin ! répondit Ingénue, oppressée de foutre et de tendresse, je sens à mon insatiable conin que je suis votre fille, je le sens au plaisir… que me fait la céleste idée que mon père me fout !… Déchargeons ensemble… cher papa !… j’ai plus de foutre… avec toi… qu’avec tout autre… Ah ! ah !… fourgonne… fourgonne… vit papa !… le foutre est long à venir, j’ai tant foutu, mais je n’en ai que plus de plaisir… Ah ! foutre ! délices !… Vitnègre, ô monstre qui me déchirais sans me pouvoir enfiler, que n’es-tu sur moi, ton vit noir me pourfendrait le con !… Fout-à-Mort, effondre-moi !… Cher papa, divin fouteur, je pars… je décharge…a…arge… à l’intention de Fout-à-Mort !… » Et elle se pâma dans un égarement, un délire ineffable. Cependant, elle avait croisé la jambe sur mes reins et elle me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con ; je dis qu’on la rechaussât, et à chaque coup de cul elle fit claquer l’un contre l’autre ses hauts talons, comme faisait sa mère pour me rappeler en foutant la beauté de son pied. Ce spectacle parut si délicieux à mes trois drôles, qu’ils enconnèrent en furieux, Trait-d’Amour, Rose-Mauve, Cordaboyau Connette, et Brisemotte Minonne, et qu’ils les firent crier comme des dépucelées.

Dès que j’eus émis, je dis à mon secrétaire de déconner, de m’enlever et de me porter sur un fauteuil ; il m’obéit. Ma fille palpitait ; je la montrai se chatouillant elle-même le con. Trait-d’Amour rebanda comme un enragé ; il se précipita sur elle. « Enculez-moi, s’il vous plaît, monsieur, lui dit-elle ; il me semble que ça me fera mieux décharger — Oui, s’écria le bougre, vous avez le con trop fatigué ; et il lui perça le cul sans le mouiller. — Je vais redécharger, lui dit-elle en continuant de se branler elle-même. — Attendez, attendez, lui cria le jeune perforeur, je vous branlerai en vous enculant. » Conquette enculée et branlée roucoulait de plaisir. En ce moment, Brisemotte, qui finissait Minonne, se jeta sur Rose-Mauve, abandonnée par Trait-d’Amour pour ma fille ; elle se fit enculer et branler ; Cordaboyau retourna Connette et lui en fit autant ; Minonne libre alla gamahucher ma fille, que son frère tenait enculée, et moi je branlai Minonne. Les trois bougresses s’écriaient que l’enculage branlé était divin.

Pour moi, j’étais dans mon fauteuil, un doigt dans le con de Minonne que j’avais à peine la force de branler, tombant de sommeil et bandant encore pour toutes quatre. Il me devenait indifférent laquelle j’enconnerais, je le dis. Brisemotte m’avança Rose-Mauve tout enculée ; j’allais enconner ; la vive brune Minonne se retourna, mit ses fesses d’albâtre sur ce connoir en me représentant son con « Je te vois ! s’écria Conquette en s’arrachant du cul le vit de Trait-d’Amour ; si ce Cupidonnet doit mourir en vit, c’est dans mon con. » Elle se mit sur Minonne, m’étreignit dans ses bras et m’engouffra. « Oh ! s’écria Brisemotte qui nous portait tous quatre, que n’ai-je le vit assez long pour les enculer tous les trois ! »

Ainsi finit cette belle soirée ; la partie fut remise au dimanche suivant. Conquette, après avoir fait amplement bidet, se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois gaillards rémunérèrent leurs belles, et revinrent me prendre pour me porter chez moi, où ils me mirent au lit.