L’Orbe pâle/L’air est lourd, si lourd, irrespirable
Apparence
Eugène Figuière et Cie, (p. 103).
L’AIR est lourd, si lourd, irrespirable.
Qu’il ferait bon au fond, tout au fond de la mer ! Toute ma chair brûlante aspire à cette vertigineuse fraîcheur.
Et puis, ne plus rien savoir de la terre et des hommes !