La Cloche de minuit/6

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Traduction par anonyme.
H. Nicolle (1p. 130-140).



CHAPITRE VI.


Où est-il, le scélérat ? Que je voie ses yeux, afin que si jamais je rencontre un homme qui lui ressemble, je puisse le fuir.
Shakespeare.


Appuyée sur le bras d’Alphonse, Lauretta, après une heure de marche, arriva à Inspruch. Désirant éviter les questions de ceux qui s’appercevroient qu’elle entrait pour la première fois dans le monde, elle cacha prudemment la surprise qu’excitoient dans son âme les scènes nouvelles, auxquelles elle avoit été jusque-là absolument étrangère.

Après un court repos, nos voyageurs se remirent en route. Ils arrivèrent à Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/139 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/140 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/141 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/142 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/143 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/144 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/145 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/146 Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/147 aux deux hommes. Ils s’approchèrent de Lauretta. Elle fit un nouvel effort pour se débarasser ; mais cet effort acheva d’épuiser ses forces. Elle tomba dans leurs bras.