La Commune de Malenpis/André Léo
ANDRÉ LÉO
Le premier livre de cet écrivain, un Mariage scandaleux, obtint un légitime succès.
Puis vinrent : Les Deux Filles de M. Plichon, Jacques Galéron, Un Divorce, l’Idéal au village, l’Institutrice, le Père Brafort[1], romans d’un sentiment très-fin, d’un esprit élevé, d’un talent des plus sympathiques.
Outre ces œuvres d’imagination, d’autres travaux, — Lettre d’une mère de famille à M. Duruy, sur l’éducation ; la Femme et les Mœurs, Communisme et Propriété ; La Guerre sociale, discours prononcé en 1871 au congrès de la Paix, à Lausanne ; enfin de nombreux articles dans le Rappel, l’Opinion nationale, la Démocratie, le Siècle, etc., — ont puissamment contribué à rendre populaire le nom de notre nouveau collaborateur.
La Commune de Malenpis a d’abord paru dans la République française ; nos amis ne lui en feront qu’un meilleur accueil.
André Léo est en exil. Combien de calomnies, et des plus odieuses, répandues sur son compte ! André Léo attend avec confiance l’heure de mettre à néant toutes ces infamies.
- ↑ Il faut citer encore : Attendre-Espérer, — Double Histoire, — Aline-Ali, — Sœur Sainte Rose, — les Légendes corréziennes ; toutes conceptions d’un vif intérêt.