Poésies (Mallarmé, 1914, 8e éd.)/La Marchande d’habits
Apparence
VIII
La Marchande d’habits
Le vif œil dont tu regardes
Jusques à leur contenu
Me sépare de mes hardes
Et comme un dieu je vais nu.
Le vif œil dont tu regardes
Jusques à leur contenu
Me sépare de mes hardes
Et comme un dieu je vais nu.