La Rose des sables/Notes

La bibliothèque libre.
Piazza (p. 228-230).

NOTES

Page 18. Notamment MM. Dawson et Fawcett pour les États-Unis ; Harvey Mason et Chipp, pour l’Angleterre ; Hans Zormer et Frischmann pour l’Allemagne ; Royo pour l’Espagne ; Rusen pour la Suède. Du côté français, MM. Bussard, D. Bois, Lemmet, Prudhomme, directeur du Jardin colonial de Nogent ; le docteur Maire, pour qui la flore du désert n’a plus de secret ; le député Nomblot, secrétaire général de la Société agronomique, esprit clair, cerveau meublé ; le lieutenant-colonel en retraite H. Gravereaux, propriétaire de la fameuse roseraie de l’Hay ; Gattefossé, ingénieur de la Société des Roseraies de l’Oued-Yquem ; Fontanille, directeur de l’Union des syndicats agricoles d’Alger, etc.

Page 50. Ici avec le sens de « mausolée ». Mais on emploie aussi le mot pour désigner un personnage ascétique attaché précisément au service du mausolée.

Page 134. Targui est le singulier de Touareg, — comme, plus loin, méhara, le pluriel de méhari.

Page 139. La formation celtique de la nation targuie, par le commandant Cauvet. Alger, Impr. algérienne, 1926.

Page 146. Carnet de route de la Mission saharienne Foureau-Lamy, par le général Reibell, ancien commandant de l’escorte de la mission. Paris, 1931.

Page 148. Et une soixantaine d’autres, selon un relevé du P. de Foucauld, moururent des suites de leurs blessures.

Page 149. Voir, pour plus de détails sur Moussa, le grand livre de René Bazin, Charles de Foucauld, explorateur du Maroc, ermite au Sahara, p. 466 et suiv.

Page 154. Baraquer, s’agenouiller ; opération qui s’accompagne, chez le chameau tout au moins, sinon chez le méhari, d’un terrible grognement.

Page 156. On appelle roses des sables, en minéralogie, « des agglomérats de carbonates de chaux qui, sous l’action du vent et de brusques écarts de température, forment une série de petits cristaux prismatiques soudés les uns aux autres et prenant l’aspect de roses, ouvrage artistique et méticuleux de quelque sculpteur de la pierre ». — Ces agglomérats, de taille variée et toujours charmants, abondent particulièrement dans les sables d’El Goléa. (Rapport sur le Congrès de la Rose et de l’Oranger.)