La Science pratique des filles du monde/12

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DOUZIÈME MANIÈRE.

La bonne Ménagère.

Nous devons des avis et des leçons à toutes les classes de la société, principalement aux mères de familles, pour qu’elles ne perdent pas leur temps et que leurs enfans ne crient pas lorsqu’elles ont envie de tirer un petit coup, pour n’en pas perdre l’habitude. Voici notre recette qui, sans doute, sera de leur goût et nous vaudra des remercîmens.

Aimables époux de la ville ou de la campagne, de Paris ou des départemens, ou des autres parties du globe, car nous travaillons pour éclairer l’univers.

Vous êtes chez vous, vous regardez avec plaisir un marmot qui doit le jour à vos amoureux ébats, et qui s’est formé de l’éjaculation et du confluent de votre foutre. L’enfant est dans son berceau, vous venez de l’embrasser, le mari bande, il vient de donner un baiser à sa femme, il lui prend le cul, le con, lui touche le bouton, et le feu prend à la poudre, mais l’enfant crie, il faudrait le prendre dans ses bras, mais comment baiser.

Eh ! mes enfans, mes bons amis, ne vous désolez pas. Vous, Monsieur, approchez une chaise du berceau, troussez votre femme, placez-la sur vos genoux en lui portant la pine dans le con ; de ses deux mains elle berce son fils, vous embrasse de côté, vous remuez le cul, vous déchargez ensemble, vous avez du plaisir, l’enfant dort et le ménage est en paix. Le mari se plaît à répéter :

Je suis père d’un gros garçon,
Que je crois bien de ma façon,
Amis en voici la raison :
C’est que de sa mère,
Qui m’est toujours chère,
Je n’ai jamais quitté le con,
Pour celui d’une vezon.

L’autre jour par amusement,
Comme elle berçait son enfant ;
Par derrière la saisissant,
Je fous la commère ;
Ah ! pour un bon père !
C’est un plaisir bien ravissant,
De foutre en berçant son enfant.