La Science pratique des filles du monde/14
QUATORZIÈME MANIÈRE.
Le Pouvoir de la bouteille,
Ou la Femme complaisante.
Une maîtresse qui entend bien ses intérêts, une épouse qui veut enchaîner son mari et le rendre fidèle, doivent être complaisantes et ne pas faire les prudes et les bégueules. Il en est qui fouteraient du matin au soir et qui ne voudraient pas toucher un vit, ni le regarder ; d’autres qui ne veulent baiser qu’en bonnes chrétiennes, en regardant le ciel du lit, et qui ne répondent pas à l’appel par un seul coup de cul, il faut se fatiguer, s’éreinter à les limer, il semblerait que vous foutez votre vit dans une planche à bouteilles, il y aurait de quoi faire débander le père éternel, ou satan avec son vit d’airain.
Parlez-moi d’une femme qui aime à paillassonner ; elle sait se prêter à tous les goûts de son mari, elle fout en cul, en con, en bouche, en tétons, en aisselle, et lorsque son ami est fatigué, elle l’enfourche, fait entrer le vit dans le con, remue le cul, en haut, en bas, de côté, en avant, en arrière, comme si elle avait une grosse de camions[1] dans les fesses. Elle le suce, le baise, lui fait langue fourrée, l’inonde d’amour, enflamme ses sens, et le fait décharger, fût-il de marbre ; elle noie sa pine dans le foutre.
Une femme de cette espèce est un trésor, elle mérite d’être adorée ; que celles qui ne le sont pas et qui nous liront le deviennent, et on leur élévera des autels.
Pour bander ferme,
Buvons la bachique liqueur,
L’eau ne fit jamais un bon sperme,
Mes amis, vive un bon buveur,
Pour bander ferme.
C’est de l’eau claire,
Que forment, l’hiver, les glaçons,
Des buveurs d’eau, la triste affaire,
Est gelée, et dans leurs couillons,
C’est de l’eau claire.
D’une bouteille,
Quand j’ai tiré cinq ou six coups,
Au con, mon vit rend la pareille,
Et je me saisis quand je fous,
D’une bouteille.